Oeuvres / Delille, Jacques, Volume 3

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Sactions o supporter ou enger noto iniure.

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Qui centriois ranimant notre sorce expirante, Aurior de Ia melέe, a mille des assauis o Au post de rhonneu ramen nos drapeaua, gruit, commestiuireseis au champs de la victoire,

Eux qui sana mouvement fur cette me ardente

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, PARADIS PERDII.

Et des trait, de sarioudro eis oneta daris nos flaues

Iidit impatiens de rompretium enim es, Tons sortetit a laesias do murem das enises,

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L IURE

Leues noris,'existent plus mari ita sonaias a tous effacέs tu live decla vie. mpnis chercliant leur prole et qu/tant des autela, Dieu, par leur culte impie, prouua les mortes

Parmi Peneens et Por et les seses pompeuses Uhomme Ies adora sons cent formes trompeuges,

Et dressant . la brute, autet imposteue Dans sa gloire invisibi oubli son autenr. Muse, dis-- les rangs, Ies chris de Mite a se Dans que orde sorti de sa conche enflam e Chaeun satiat son poste, et docile licia linuunearissante estite invironne son hos, Tandisinula lota planant datis 1 vaste etendusta Aule dans les air noue eneor suspendue. Les premier furent ceu don te santomes alas, Couinant v leur genoua les crέdules humains, Decla terre idolatre usurpἐrent mommage En sacerati ura Die placἡrent leur image, Qui , iusque sur son trone assis dans te mini lieis, Oiarent amorne Poenioudrvant 'un meti Diae desistis impurs, des rates eriminelles, Hosanaient de Sion les Pompes solennelles. leve εte est oloch, doni les affreu autela

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Honore se autela, ource de leur matheurs. Surde mont renonune par opprobre des minurs,

Lleux crueis oti te meurire et Ia dehauche impure Vitirent aeu do Io outrage amiger la nature , Iusqu'au ou me:inorabΙ ou vengeant Eternet Leiteux Iosias renuersa Ieur auteI. Apres euxis avancalent' sises sprit immondes Qui de Pantique Euphrate asservirent les ondes Iusqu'. Phumble ruisseau qui de hordiasyriens Separe en serpentant te notrs Egyptieus. Astaroth et Baal furent les nom vulgat res Qui distinguaient leue sex et non leur caraeteres. Des deu sexes divers chaque esprit a te choix Chacvnieut en tu seu les uni a Ia seis Tant leurratre est parsiit, tant leu soupte nature Surpasse des mortes la grossiἡre structure Cet amasi os de chaira, 'organes, de ressoris , Qui captive uoue ame et surcharge no corps.

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Dea viemes de Sidon renouvelai te devit; L. Henre nn oue enite leuestroupe virgimilo, Tandis que Adonis de acrocho natale

Quand de son rei variant te triste echiel Desilies de Iuda vitu'amoue crimineIEt de leue eulte immHIes ins sime pratiques

Du templetu mi Die profanerae portiques.

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, PARADIS PERDU.

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L IURE I.

Se glias dans la temple , et iusque sur Paulet, Au pontife inspira Ii do Gemal Par tui des filara' cla beatale luxu Outragea Ie saint liet lestiis et Ia nature; Binante Iesaintais, ilis me dans lus cour ,

Ἀέ1tre des oriatis questa nature abhorre Et tot moue Miri par impudiciis, Ouae tot protecteue de Phospitalite, Poneraviter Phorreue,' in violitus inome.

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Titanae premier ne Salum aveo soninis De empire des eteo Puniar Pautre hannis,AIeua , pcres, enfans, immense olonie Que la Crete audieseis requi de PIonio Qui chercliant surdes monis une image de cisux Couro du sombre Ida sur Polympe oravis A Delphes, , Dodone inspira son Milae Et des ethamps oriens agrandit son empare; Ou qui, fulvant te die proscri par Iupiter, D fougueu Adria hanchi Pettroite mee. Traversa Hesperie, et desilaines celliques Porta iuriu'a Thul ses auteIs sanatiques p tous ces dien guerrier , adis Phonneu dos Heux, Moule in s uui te vulgaire des di x, L,ir morne Posit reint, curtant dans leur tristesse

contre te desespotes defendu son emur Eu memes , a mille de Ieur ruine immense Syapplaudissent lout has d'un reste dyespgranee. Satan Pen aperqoit cil)έsite, et ses eux Expriment de son coeu Ies sentimens donteis. mis enfin reprenant son audace premiere,