Oeuvres / Delille, Jacques, Volume 3

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Et plus digne de moi , u ciet et de tot-meme

Eutre dans te secret de a boni supremes Gest, o qui la perdis. Au momen d dangerNs amour vigilaut devat la proteger. Tu avais consocia fragile innocence Son honheur sui δέ truit paris moment 'absisce. 'N'abandoune doncias a to uteria rigue urL'έpous queri main choisit prὸ de mon coeur. Je ovoue Dies traiis in te te criminelle; Mais tu me punis tro e te en eant surisIle.. La voil de aut tot fedo utant te regurds,

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Savourant Pambroiste et chantant te Iouanges, Partager ton honheur etria ooire aveo eu ;

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Borne dans soniouvoir bom dans sa sagesse, Est dans se volontes sujet a repentir. Dieu, qui ne eu errer, ne eul se dementies: Sa divinit meme et a sublime essenoeΜetiant une limite Usa toute-puissancei I ne peut de se droit accorde Pabandon. Sa grande ur a tui seu interdit e pardon, Et sa longue indulgence, en reprenant Ia laudre , Par des coups clatans, hesol de s 'abso udre. Aussi, comine Iriclair chappe de se mains, mrrἐvocabie arret u mattre des humatus, Aa hut arqge 'en haut par son ei redoutable, Porte de so courroux te trait inevitabie.

Iusque-l, ous deum, paron chatiment iuste, Satisfaire, en soumtant, a ce monarque auguste. Je vous apporte ici secord res absolus. Ces ardin soriunes ne uous everron plus.

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Elle sonu an passant Iesilantes dilaui es

Avant que de mouri sumta tige natale, Surae rameaux soufirans Iaisse-mo te salsir; C'est leue dernier tribui, et mon dernier plaistr.

Ici ines fouvenir soni utant de snpPIlices, Et me plaisir perdus , se changeant en ouleura, De me selicitέ composent me matheum. Charines de visiter nos demeures agrestes,

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Tot que baignent nos pleursiou la derniere sols, Quelle tu Mas reque, et quelle tu me volsi Die nous a retire salon te paternelle Tu me vis innocente, et is pars criminollet Je pars avec douleur, helas Et sans retour lAinsi, pleurant ces lieux si chersa son amour, D premier desiuinaincla compagne clidrie, En quittant son beroeau croi quitier sa Patrie. Adam ne pleur ptant Dans sa male douleurn voudrai porter seu tout letoid du matheur. Ter te ch/ne, qu'embrasse in Plante Minis , La defend de Porage et deme ure immobile. Gut a cou il4'έcrierim ma chero moltid, Ecoute Ecoute encorda voix de Pamittet Ainsi que tot, 'alma ces riantes deme ures,

Ou,' comme nos ruisseaux coulaient nos douces heurea

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Ici nos attentat repandirent te deuit, Et mon ingratitude, en dέsastres seconde , Des promesses O ciet deshέrit te monde. Cesilaines, es coteaux, a nos regard si doni: Tout ce qui nous fui ober depose contre nous. Je pars mais dans mon inur 'emporte Pespctanee L'espoi marche oujsvr aupris decla fous ranco. Non , es ceu les plus chers ne seront potat trahis. Die nous eui sέpatas, Hil nous avai ha s. Saloni se fati voir dans sa justice memes Ch/re pouse , on n est potnt matheureu quandis almo Nos coeurs etaient unis dans la prosperitis, Iis resteron unis contre Padversite. Quelle douleur ne c/de . t dotice presencelra pnis braverrexit, mais non pacton absence.

Uunia Pautis, en n our, nous nous ommes perdus Maisiour nous te matheu est undie de plus. Mens Ma main essuira tes Iarines, et les iniennes Perdron leur amertum en se molant auctiennes.

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Ali4er vos trauaux et foui ager vos peineis, Et parmi la rosee, en e selour mortet,

Nourrisse dans votre ame aveo perseverance

I exemple salutatre instrui se votre race.

Quand tot de ce beau lieu, qui nous vi tant de Ais,

o savourer vos fruit , ou visiter vos bois, Auclle de cultive cette plain si belle, B vous faudra luiter contre u terrain rebelle, Et du sillo ingrat, reus pέnihlement, De votre sat pressante arracher alimenti Dites , vos ensans, devenus vos victimes Volla Otre destin et te pri de nos crimes. D mal qui ous punit iis ni tous heritέ; QCiΙ en leζguent histoire a leur postetriis, Et que de leursciscit Pimpression profonde Courbe tous te humain sous te stre, monde

ob l Combiencie voudrais dans te plus dou elimata ous bessi uti asile et diriger vos pagl1Iais i est temps que 'aille a Die de celdmenco

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Et dans e lieu 'axi re attes Otre Din. Entourέ de vos fit et de vos fleur natasantes,Vous l/veris a ciet vos mains reconnaissantes, Et vos chanis 'alinresse et vos hymnes illainoue D solet renaissant salueront te retour. Ainsi rastreu Satan aura perducia prola; Et te ciet, qui uous Plaint, ous devait cella ole. II dit, prend son essor, remonte vera Ies ciena