Beispielsammlung zur Theorie und Literatur der Schönen Wissenschaften

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Di iii se by Coos le

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6 d istoris he Schristi er.

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Uigileuis mari ille, sim melinen verbient gemat L

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Qui D'eot assorh, que Neron aprbs a voir resuia da signeria mort de deux coupabies, auroit hpargnε te lang des Citoyens y Il repandit celui de la mere, celui de son prε-cepleur, celui de milles personnages illustros. Qui auro it cru eu voyunt Auguste si cruei, que Rome et sespremthres igies eus Ient hchaph . sa fureury Changementadmirabiei ii se fati des Ioix de douceur et de moderation, pardonne . Cinna, regrete la mort de Mecenas, s attache . Agrippa, cherit les Citoyens, doniae tous sessottis . la republique, meuri en ioci Empereur. La vertu emprunte quelque clioso de belles person-nes, uri merite mediocre les orno plus incompara hi ment, qu'un excellent merite ne pare les au tres. Vous

geε sol il lui reiid justice et tui donne inigri eurementie thmoigna go que Saul rendit . David, uous ρte plus jusse quo moi.

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Lo dest de se persectionner est plus communεmentun esset d' amour- propre qu'une horreur sincere du

Depuis que te metite a cesse de noua donner deamaitres, it n'est guhre de superioritε qui ne init deve- noecidi euis: ceu π que la Daisi ance et la fave ur revht nide l'autorith publique, soni durs ordina trement, et ja-

'mais ori ne trouva de moderation dans ceum que la fortune ou i argent ont mis au-dessus de nos totes.

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sa suerin ere. i

Un merite ab ara donni de la fortune ne fert qu'hxetidi e celui en qui it se trouve, plus ridicule. Lesnoms de Polite. d'Aut eur, de Savant soni des titres injuri- eum, quand on ne j ouit pas de ceun de la grandeur, ouΘ'avec eux oti est datis la basiesse. Ιls ἡtolent honora.