Beispielsammlung zur Theorie und Literatur der Schönen Wissenschaften

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et naturet.

glendue, et ii nyy en a aucune doni la masse de tra--il n' augmente continuellement. Ces terres erit gent

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blancs, ne les rends pas vola ges. Μalbeuteti semento est uiae. tentation d inconstance, οὐ elles nyont oue

trop souvent occasion de succomber.

sique de l'arnour; dans la facilitέ de satisfaire sans conint inte et satis assiduitd ce penchant insurmo table et

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tions; ie puis atra quer de toutes Paris, et miner solix-dem set. les Pi incipes et les ressoris de la vie; je puta ὀtousser par des supplices lenis Ie germe matheureuπqu'une n grosse porte dans son sein, iacond.rout satiane et pour m a tyrannie. .

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nature. Oui sans doute; et s'il emi Itoit une religionqui autori sat, qui tolerat, ne sut-ce que par son siletice, de pate illes hora eti1 s; si d'ailleurs Occuphe de questiona Oileus es ou Iεditieuses, elle ne dorario it pas satis cesse

contre les alite urs ou les instrumena de cetie tyructile;

si elle falsoit uti crime h l'e lave de briser ses chalties; si elle laus roit dans son se in te juge iniqυε qui co damne tot fugi iis h la mori; si cet te religion ex istoit,n laudio it en hi ouiser les ministres laus les dόbris do

notre empite.

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Socrate auroit dit que si toua lea crimes pouvolent sotro uver tur une visime idtes ce sero it colle-lh qu iliaudroit ab attae. Ηatons-nous dono de substituer . l'aveugle sdroeitε de nos peres, les lumieres de la raison et les sentimens dela mature. Brisons les chaines de latit dei victimes de notre cupidith; dussioris-nous renon cer . un commerce qui ii a que l'injustico Poux bala et que te luxepour Objet. Μ ais non. II n'est pas belain de seire te sacrifice dea productions que l'habitude nous a Tendu Cheres. Vous pouvea les tirer de vos colonies fans les Peuplerd esclaves. Ces productions peuvent sitro cultivoes par des maius libres, et d)s lors conlammἡes sana

Craint-on que la faciliti de vivre sans agi r Rr uniat naturellemetit fertile , de se passer de vἔtemens lausuu ciet brsitant, plonge les hommea dans I oisivet42Pourquoi dono les habitans de l'Europe ne se bornentis iis pas aux trauaux de premiere nέcenit48 Pourquoia'εpulsent . ita datis les occupations labori euias quinctiati stant qua des fantaisies passageres 2 u est parminous mille professions plus pεnibles les unes que les autres, qui soni l'ouvrage dea nos institutions. Lea Ioin oni fait hctore sur la terre uti essa im de belatas factices qui n'aurolent damais exista Ians elles. En dis . Dd a tribu-