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D sei de la ecvoltu on vitiaitre la palmDans te maincla discordes, a mille des altarmes, Cent Dis en remissant a u riser es armes. Rome , que monstre affreu s'Eleve dans ton seia Son coeu rout en silenc un horribi desseim Durae Catilina , de s troupe homicide La notro ambition arme te bras perfide imus Ont aveo sermen sigii Parret fatal Qui dote Dira de Rome ui tombeau genesal. Que Die proteger cette cites checrie λDemai pou les Romatos illa'est plus de patrie. L Universis subi larao des Coniures, Et rous te senatevrs pares fer massacres
Vont de leur corps langlans rougi iesiot du Tibra; Ciceron volt te mal, ii parte, Rome est libre. Mais melle auguste main par d'invisibies traiis Semble de italoquelice annobli les attrait Soe la elision, done a Iarte fidele La presente auchum ain plus ouchante, plus belle. Sous e simple paret qu)elle ectate 'apas lLes plus feroces coeur ne aut resistent pas. Damoteur eterne de tout e qui respire Dan Atheue idolatre elle tablit Empire. Bemensone autrefot dans la temple introduit
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Mais e seu pue detruit, enfin Pon vi en Franee Benaitre de et ar rectae cla pultance: Ain quan tes rimat. enfans des Aquilons , N imprimen pias a. inor a sein de nos vallo , Quand aptet uia long deuit, immortelIe nature Reprendis Die duciour se fleursis a parure; Elle semble annoncer de plus touchans plaisirs, Et de plus dou bienialis couronnant nos aesirs . Elatera nos eu plus de magnificence Telle e ce siecte heureuxis brille lyeloquence.
tot , divi morret dontri sublime vota
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De la Hire u Clelisne lolae rivale. Massilio de cet ar ignore es retaris; Lemiel sur si helle ame pulse se tresors
L auguste vetrite dans son coeu se retire, La persuasio fur es teire respire; Des traiis decla veri se discour imprimets, Semblent porter a Cie nos coeur qu elle a charme , Et uous v menageant mille heureuses retraites, En peindre les plaHirsis te douceurs Parisites. Qu ave forcera viceri repousserae traiisl Saras compte les graud nom , t γε les forsalis. Guidet par te ambeau que prete Evangite, I penetre u ceu te plus secret azile Ce flambeau redoutable en se maius aginec, D'une emovabie horreur glace implete, Et changeant saraumiere en mille delat de laudin, De I incredulitet reduit te masque en Oudre. Masillo a devoi rapelle e pecheur, Sa voi instruit te simple, ectonne a grandeur, Fait trembler I richesse, attendriti pulsiance, Console rinsortune, adoucitra indigenceron est touchi, aincu Le Seigneu est veno, Laisaison est foumiis,' te ceu est change. Mais cetaomme 'est plus mille fleur arrachees, Autour de so tombea languissent deflacchees , Ueloquence abattue en vetemens de deuit, Cherche Ps'ensevelit dans te meme cercueil. . . . De Portes destrepas melle voicis rapelle pVient-on ioindre insulte aria douleur mortelle . . . A ce nom seu ses yeuxis ouvrent enfinue se jour de douleur succede n ou strein, Sondron eoru defleurs tous es traiis rembellissent
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Ien atteste te murs, e mura si retentiam, De ea sublime voicles sons harmonieux, Qui deis tas de houe elevent Pam au CieuT. Avee molns 'apareit, ea main nous la pressente; Mais pour etre plus simple est elle molns ouchantes Non: 'i faut mesure so prica se biensests,sa modeste beaute ne perira amais.
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Ses tristes enfans ave Petre eeolvent de se mauit leves dangerem, Coupabies vant que de na1tre, Eo naissant iis soni matheureux. Leae dispute a l'Eau, mi dispute ara Tertis vantae fata de leur latre Ia guerre; Cie irritet, suspen tes coups; Livi a leur passion ces obiet de chaine; Leur Rugue sone cur eucia plus crueile petis Que pulsi inventer ton Ourroux.
Par de chalimen memorabies Tu te euges, graud Dieu' mais tu rapes en vain; aque instant de nouueau coupabies Bravent la laudre dans a mala. L homme a crime euhardi ve craint plus ea iustice. Migneues que a bonte arrache a a malicea Decies seu da ne 'enflammeri
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ut prendisne face nouvelle. A des ommes impurc iniustes, inhumaius, Succἡde une race fidelle, une nation rhommes lainis. Mailres deae s .pancha , vatoq*qura de isus es ueri Triomphans des qurmensis triomphans de demces... Mon ei ies admise esto LPortique' ton Helaos ne ut qu3- vain fanisme cest dans le Chretiea seur, que tu euae troavera' mr Te que tu ras imagine.