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aerien sublime, libre, qui ne se latae pasentralae dans la talite de son compagnon te restre Lamuit silentieus publiea immortalitέ de mon me annone un our ternet L Cie sal tout servi a bien de homine: te stupide sommeil nous instruit les songes Ggere ne solatrent pas inutilement. Pourquo done pleure la perte de ceu quine sontias perduc Po quo mes tristes e Res erreroient-elles autour de te tombe dans une amiction incredule Quoi ilis auroit latin Ange Un leu Ahgrie seroit asso i danslatoumctes Non iis vivent Iis viventra unovgritable vie, qui Udtoitias encore commemcω surcia terre, qui Heloi pa connue; Sun oeii de tendresse iis laissent tomber u re gard 'une commisctation cesine surimo γ' complent me bie plus de rassio parmi les moris Oui, laterre est te vraiddsert, a Waye solitude. Combien te tombeau est-i vivant
peupla Gest ici antre glancholique de laertation cla valla de la mori, obseurit desse bres Cypres , t pay de illusion & desombres varieci out , out se la terra estombre, a dela, out est inlii l a solio
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seule exest se contraire . . . uelle solidite, olii ny aura plus de changementi Ce est ici que e commencement de nou. existenee, te fossile crepuscule de nos Nurs, lapale lueur 'un seu naviant , ne avenue lethinire de la vie nous est encore sermis , lamori, laicissante mori, peu seule leve ce pus sint verroin, carier e grossier obstacle aea gile, &-- donner, a nous Embryons, la
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brillant in mille des notres tempεtes de la vie. Quelle nombreus cohorte de plesse venost montre a mon sprit, dans me r8veries Quelle perspective infini de joyes oujores re missantest Iusqu'm moment ou rid& de la mori, doni insatiabie langue de se demande ha-que our de mission Setres pour a nourriture, me tirant en stiriaut de mon sommest, eme trouva ruinε. Oti soni mainterant ces sim perbe dctorations que mon imagination avolt RHUes Les ruine ae e caban ciment saeu stagile limo, sont, en comparasson des
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qui depuis longiems 'est plus se glisse, dansle silene de la nuit, comme in assasta, rigare en parcourant uncias agreabim paeune euriosit fatales, elleba acla reeherche dei Mine elle ne trouve plus aeun siere elle
in propos de la Lune , i'Αutem avolt placesici unende Apostrophe, que uous u i tonsia traduite.
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elle ne reneonire que les Ombres de me a
creet La des tres aussi immortet que leum superbe mestres , enchaines murcia vis a neram meuruissantes, labourent tecondes dans
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harbares, sint orceis, orsque te tyris use favoris leo condamnent, de mendier ave les tristes restes de leur corps u minde misere, dans ces m8mes, siau par leurvaleur. 'indigene Wles maladies incurabies, cruelles eo ames, salsissent impitoyablement, ave me fureur reunte, une seule de mathe reux sans sperance, sontra tombeau inrefiage Combiende morastes plaintisi opita ne vomissent-ilspas Combie de matheurem Pupirent apres a triste consolation Pylire recus' Combien, qui autreseis dans te sein de rabo danee, implorent autouraehu la id maindela charitet,' ee qui revolae, 'implorent en vain. ovous, laches ensans de la voluptet, qui mam disse les visites que lamode preserit, rende en ici, repose uous de vos dehinches. Donne a ces matheureu quelque portio devotre superfluo uous detitvre de la tyrannied deuout mala, telle est votre impudence , que ous ougisse de ce qui est bieni Heureux, si es auxis tombolentque surdes hommes de e genre inis niua prude e ni a sertu ne euvent nous en giendre. La hine temperane est altaque par des ma