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ouver vos bras et Otre coeur, et Ous ave PQ
me ou Iesmannouriens et do venerationio deursmoeurs, leura lata et leur culte cavis'est uous quim avis uver Io sanctuaire de Goettingue car 'estvous qui , me sat connotuerae Hoyno, IesΜe iners, ea lumen bach, Ies Moy er; 'eloqueno du docteur Ammon, et Ia sagesse dei. I Abbol do occum ear 'est uous qui 'ave mon-tro des ommes si mur dans ut torret si ingrat, et tant de fauoi et de persectio dans uno contrDoaussi troite ies Saxon donnerent adis de sersa ne partie do I'Europe et Icura descendans eclai-xent aujo diui ais e quo je n oublieres amata, mon cher ami, 'est de myavoir tenu dans monoxi de ma famille, te do pero et de isere, et do avoi permis de dilater mon me aveo ous Jovias revola, summe et me ensatis a ce sentiment de bo eu se Oint et lo chagri de qui iter monoatriarcho 'Hannovre, et lyenvi de leur parte de luidans 1' effusion de mon coeur, de son attachemon lis digno epouse, a se heureucensans tae leur diratque Ies generaux Francias tolent enlourses de tout
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en aveu de l'humanite eroissent, eurissent et se secondent Dan laus Ies climat que 'ai parcourus depuis 15 ans, 'at renconu de hommes pura et des ames sortes mais 'e coit uous, mon vespectable ami, quo e devois trouver a laesi de mes Oyages, Om- me Io complement heureu de me observation et do me decouvertes; vous ous dies penchis vers moides la premihre eutrevue et cette confiance honorabie pou votre caractere melo ma reconuolssancoheaucoup 'ormess. Uno autre sertolia uni a celleria ce sera dolo terra'esquisse fur a plutosophie de an ' a nouo sociis te: do verse de Iarmes fur es caracteres qui me appellerontra'cire qui 'a combi de honiel Iorsque e os lira a me collegues. Ie riguerat Phonneur 'en 1airo in extraitiour ne de nos suam-ces publiques, et de Iire ave onctio et ave sorteles morceau et nergiques qui sans ne notice serotentcroire avx auditeura que 'estri'ouvrage 'un oraleurenflamm do touincia vigueur de l'age j veo quevous entendie do votre abine silencim les a plaudissemens de noue public et que ou voyim
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ti tout te reste do I 'Europe, et cetis originalite aeulo seroi piquante our elui qui te parcouri Labaret de bois la petite masse des au dans Ies seu-ves o les rivieres, te, si es vrai, une graude a tio do I beaut d paysage mes la auteu et lonombre de chaines de montagnes la culture deci oli-vier, I beauto: des ponis, a quantit de couvenis et 'hermitages placέ sur Ies montagiles 'uno manter pittoresque, out cela donne ada campagne ne
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physionomio imposante; aeo ne Peu vola sancin-l0rct. Ajoute que de sontaines construites par les Maures, et des chateau butis et abandonnes pax ux, se uouvent semes dans Iusteurs Provinces, aur-tout dans Ies meridionales. I ne marique a PΕspagnoque de sorεt et de Ia verdure, 'est une belle istissans heveu et an fratcheur. Les maisons docampagne soni rares, e Peu de fureto: a les habitere est Ia cause La population e nombreus esten genera asse robusto, mais 'uno petit staturo
et dyun visage dέcolorέ. a Paleu des oves et celledera campagne Ont Peut-εtre Ia meme cause Lesgens instruit sontis petit nombre: I inquisition avolt Terionc a se buchers, malacia politique empechoit de permetire, qu'une uation qu'eIlo vovioit Duvex-ner, prosita de lumieres de se Volsina, et secouat unciola que ignorance aeulo povvoit porter. Unparticulier che teque o auroit uouu unisuvrago philosophique eloti Puni Par uno amende, par ne prison rigoureuse Les universitis de Salam que,d Alcata etc. ae offroient quo de Iecons de droit justiciair o de theologie Les sciences Physique yetoient negligees, Ia belle literature moderno eniterement inconnue, et l'έtude de Ia morale, si elle nos'appuyoit pas sura'evangite, prohibeo, et representes
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Seville et k valencocles oulevemens avolent
dέja ramen une Parti de a nationc mala es grand qui perdent eura pensio , es moines qui perdent leur influente et leur proprieras, et les pay
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Bien aimo 'Apollon favori des neu foeursi objet de nos respecta, delices de nos coeurat
Un peintre plus habile et plus hardi quo moi,
se chargera, a ii eut de e scabreu emploi. Tu presere a tout une amitte sincere, qui uo Passe amat Iea bornea docia sphere. Cest dono cetis amitte qui vient en o Maurio payerri Ioyaut d Plus juste retour. Tu mo connota a-Peine, et to coeur magnanimoni'accorde so amour, 'accorde son estimet D uno tello saveur, oui j aena inutes Prix; mais sici en suis ouche, o, en suis potat surpuis. Jo no connotisois poliat in personale charinante; mala ton humeu assabie, honnete, biensessante, Disiligo b Cooste
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qui de ramon publieris in is digno, et,
depuis long -temps our motis' et oi plus, secreti Io brutois duraesi do in voir, de Pentendre. A me voeu te destin ensin aigna se rendre. Enivrora bonheu de Pentendre, te voir, en secret e concus e temeratre spoiraeutro honoret tento de in bonliseriouchante. Tu Ius dans a penaee, et remplis mon attente.