Œuvres de J. Delille

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PB LIMINA IRE. xvij dite di stylo, cara risii isent e iure, qui est torminsi par uia magnis quo pisodo surda mori

Vivre licia Campassiae, et an Prsis sirer, Contreio sentiment de Virgilo ui-monio, a vi d unculiivatour hiellovi'uia philosopho. Lo troisthino pavolt tellus iravallisi de totas.

Deso tisant. Datis a description dela peste il

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xviij DISCO URS

dans tota te leui vigueur et dans leur enti dromaturith.

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Comme indigno de lui, algi si te ibi dos

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son, la continuitsi des oscriptions oblato k lalongiae te lectour, fatigii de Cette multitude de tableaiax Quoi qu'il on soli, e conseillerois

I 'uti dos detix est attribu&kine personiae quia PasS quelque instant do a vi h faire obeau vers et e veste ire de belles actions.

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PB LIMINA IRE. xxiij Il est plein de graces de fratcheur, et de Cetto

Ιl me reste litarier de ma traduCtion et des difficuli sis que ' a renconti sies. Comm COS difficulisis iennent principalemen d la dif-ssiretice de deuelangues 1 , elles 'ont On-

Verselle Imais matheureusementi Projet est plus siduisantque possibie. o demande comment les homines, qui ori eucia momeorigine, orati parier disserentes langues mais ori evroit

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demander pluto comment i a sit possibi qu'une grando quantitsi 'homines pariat la monte langue. En effet, ii sotroiivemne si frande dis retice dans la conformation de nos organes la combinaison des sons est Si varii e si infinie, qu'il est bien trange uJune multitude 'hiros se solirsiuni constammento articule de la hine se on nemomerauite de Ons,lour exprimerine certaine suile didi es, qui Droit pia tre exprimi e toti aussi facilement par ne Dule infinio d'autres combinaiSΟΠS.

par a forco 'une habitude continuelle, Urmonte les obstacles que a nature et la Dule des hasariis mettolontra 'identit de leur langage mais db 'lu'il se sont sparos lanature a repris se droiis, te langasse 'est altor insensibi menta et ces altorations Ont augmento de gύnsiration 114ύnύ- ration au oint que te premierieuplem' plus entendi Ialangue dia second. ne coloni de Normaniis su lain dusibcle dornier alia Potablir surdes cotes de aint-Domingue, et forma les ilibustior et les boucaniors plant resisis vingt

gne coci a Chine, orsque oute les productions dii pays,les plantes le animaux, soni si dis renis Joignec cela

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onflamme 'imagination, alagmente letabit des mois y sontalongos, boni anis: a natur ne prosente que des objetsi ianis; es mois y on doux et flati urs. Datis te pay dunord, 'Organe est ressorrhia te froid iussi latronoriciation est dure, pareSSeuse la nature ' prosente que desol eis hidetix, horissos cla tristesse du climat se communique aiax espriis es siletice lugubre declamature proditi la taciturnitύ, accourcit les mois, multipli tes monosyllabes. I out scies langues moridionales, compossies de mot dis rent , Onch-peu-prhs e monte cara thre de douceur et d'harmonioe colles dii norit disserent de monte par es mois, et seressemblent galement pari'apreto de fons. La difforetice dos mois qui composent les langues amὐ-nera Πύcessati ement colle dumi ni de ce langues Ce qui fait les ot d'une langue, 'est la dis rente combinaison de soΠ et e qui fait soti gonie, 'ost a dissi rento combi-naison de mot entro elix, leui suapporis avec es dites M'ilseXPriment apporis qui euvent varior 'uno infinit demanthres, qui euvent tre plus direct ou plus 1 ύηύchis,

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xxvj DISCO Uus

plus justes ou molns exacts Ce qui ait en Ore te goni dos langues, 'est leur facilit ou difficuli ci exprimer de certaines id cles, leur richesse u leur indigens e leui force utour Diblesse, leur prύcision Ou leur prolixitG. Mille causos petivent Varier eur sinieri plusleur de celles qui varieti tesinois 'une langue varient son sinie. Nous avon dit quedans telle langue L auroit uiae foui de mois qui marique-roient hisne a uire te genre de vie 'un perapte in sine Πύ- cessatrement uno foui de mot qui tui seron particuliers. On remat quera totis te obj et qui rapperont continuelle

toiates leur qualitύS; on aura des adjectiss: on observera leur dis rentes actions fur es corpso on aura de VorbOS. Les Arabesint cent inquante mois ou exprime te mollion, et trois conis poli exprimer i mo Ser 'ent. Nous avon dit ussi que les mois 'une langue serotentdoux, que les uires ei Oient urs: Cela di termine encore