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hellissentenis do la somptueu se basilique de Sa int-Denis revele en tui uti architecte hahit , un artiste delicat, sachant restaurer ire vieillos seuvres d 'art et ne pas to ut sacrifier augout dia neus. Ces queiques pages soni partiCuliereinent precte es mur l 'archeologie, potar ritistoire de la sculpture, do Pol vrerie, de la ciselure, de la peinture sui' verro. ny rencontre la trace de oe grand momement architecturat, qui, parti de Laon vers te commen mont du siecte, re ut a Salut-mnis uno impulsion si secondo, et que te Concoursempresse des populations contribuait puissamment a devel opper. Les merueilles decrites par Suger D 'ont pas toutes disparu, heurouscment: il seruit interessant d'alter, son livro a Ia main, eludier colles qui subsistent encore, commo leportati du milieu ou quelques-uns de ces vitraux ornos
de legendes qu'il fit peindro par des maltros de disserentes
chesne, on 1641, solis te titre suiuami: Sugerii abbatis liber de rebus in administratione suia gratis . Felthien ler produisit, en 1706, dans les preuves de son numire de Pnbba e do Saint-mnis, et D. Bouquet, en 1763, En inserula seconde partie dans Io grand recueti des Historietis de la France . Duchesne en avait pris te texis dans un manuscrit de I'abhaye do Mint-mnis, te meme, selon tot te appa
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la relatur. III. Des la consecratio-le regiise de Sami-Denis. A vanido retunir en un meme tabl au tous les resultats de sonadministration, Suger avait dria relato, dans ian opuscido speciali les circo iistancos isse la reconstruction et do la dedi cace do son egit M. Gest immedi ut ementa pros Cetto dern iure ceremonio qu'il en cntreprit te recit; car, dans Polivrago precedent, Ccrit en 11 45, coliti-ci ost cito comme ach vo :ON Peut, Par consequent, en rapporter la redaction a rannocmemo de la consecration de la nouvelle hasilique s li 43ὶ.L'autevr y a intercale uti asseχ long fragment d une de seschartes, d Onnce vers 11 40, fragment relatis a la pose desprenatores plenes et a la dedicaces des Chapelles, qui voti aient d'avoir lieu It notis a laisse, uti peii plus halit, dos
traiis remarquatilos de la perseverance opini utre aveo la-quolle it polii sui vati l execution de sola monument. Ν' est-ce Pax un spectacle Otonnant quo celui de co petit hommo nu
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trouver, contro l opinion de tous, les grosses poutres quimanquent a Sos olivriers, inspectant les palais antiques de Rome pour 7 clic relaor des colonnes de marbro, imaginant,pour en venir a ses filas, les combinaisons les plus audacteuses, comme de satre transporter ses materiaux, surmer, par les Sarraetins pLe livro do la Consecration de Pegliso de Sa int-Denisost redonc te mome genre d 'interet que te precedent. Commetui, it aetepublio en premier lieu par Duchesneen 1641,d'apres un manuscrit de la bibliotheque de Claude-Alexandro Petau . Les deux demieres pages, qui manqualent dans cetexempla ire, Ont ete restitu eos en 1723 par Mabillon, dansses Vetera Analecta, conformement a un manuscrit de l'ah-hnye de Sa int-Victor . Le textu a ete donne ensuite, d'apriis Ducitesne et Mabillon, integralcment par Felibien, et inconapi elemetit par l . Brial . Les originaux ayant dispara, j'ai du ni e guid Ρr uniquement fur ces disserentes repro
IV. Letires. Nous somines lOin de posseder toutes testeti res ocrites par Suger. It ne nous en reste que Vingt-six. Mais ce Sont, heureusement, celles qui correspondent a laperiodo la plus importante de sa vie 114 1151J. Ces docvllienis soni des temolns in ecusabies de sa sollicitude pour l. V. Pages 2 9, 221, 222.2. mxt. Francor. Scriρt., IV, 350. Diachesne, en cet endroit,
appliquo ii tori h la dsidicace de l'eglise la date de 1.10, qui est
sculcment celle de la consecration des chapelles reconstruitesd'ahor l. La premi ere de ces cerimonies se sit trois ans plus tard. V. pages 227, 414. 3. Vet. Anal. , P. 463. 4. Felib., preuves, p. mxxxvir; Rer. Gallic. Script., XIV, 3l2. Doublei et Felthien i 'ont egaleinent analyssi
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i ient toujoum egat, et ce devolaement prend, enuem te fit situ prince qui avait ote son ami, tout te caractere de Passeetion paternelle. II nostriende plus tOucliant queses instancespour rappeter Lovis te Ieuiae dans sola royaunae, si ce n'estpeut-siue les demiers conseiis qu'il donne a ce monarqiae auinoment de mourir, en Pelagi geant a gariter torioum aveolui Ia letire qui les contient . On ne connal trait qu'imparsa itement Ia nature et reten- duo des relations dii nainistre de Louis VII, si l 'on se hor-nait a consulter les epitres emances de sa Inain. Dansi impossibilite A'inserer in eoetenso colles qui tui starent ad res- Sees par uno solato de person nages Conteniporatiis, j 'en uid resso uue listo conlptote, in liquant la date et i 'ol et de chacune, ainsique les disserentes fources qui les rensermetit. Cette nomenclature, comprenant l'analyse de cent cin- quant Six Pieces, aute placee a tu sui te des Letires de Suger. C'est encore rin tigabie Ducti estie qui init au jour lapius grande partie d'une aussi vasto correspoudance : unuti seu lement avant tui, Baudouiu avait traduit eu Dancais quarante-six lettres, tirees d 'un munuscrit latin . Aux centeinquante-sept qui sgurent dans te recueil du premier,
Martene en Bjotita vingi et une, en 1717 . Les continua leurs de D. Bouquet les repro luisirent presque Sans exception, au commencem ni de eo stocle, et eu donnorentencore quel ques nutres, pulsees dans disserentes collections 1. V. pages 258, 280.
Sur ce nombre, it y en a buti qui ne soni ni ad ressees a lyahbe Suger, ni sicrites par tui.
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Imperiale, ocrit au tretatume siuese, est te fieul Osi On retroiave ario urd'hui des let tres de Suger : il nous a sourni des Variantes utiles pour cinq d'eutre elles . IV. Chartes. La partie la molns Connue peut-etre desaeuures de notre aut cur est la serie des acies qu'il redigeacomnae abbe de Suint-mnis. Et cependant ces locuments conliennent i 'expression do ses plus in limes pensees; iis forment te complement et les preu es dii niemoire sur sonadministration abhatiale. L s uns Oiit pour olla et des sondations pieuses, comme Son testament, pluce tres-remam Iable et doni te debui furtout est plein d 'elevation : Suger recrivit des 1137, fix se malues avant leti inori du roi, doni tos symp- tomes etaient hien satis potir cvoqiter dans son esprit I'ideede Sa propro sin. Los autres, concus dans ilia but d humanite Don mollis nobio, a meliorent la condition des reli- oux et des liomines-liges dii monastere. TEIS SOnt, par
exemplo, celui qui as anchit les habitanis de Sa int-Denis et de Satnt-3Ιarcet des servitia des de la mutn-morte, set celui qui creu te village de Vaucresson sur un territoire jusque-luinculte et inal same . Cette derni cro sondation devini te tr pedes Dilles neuoex qui se multiplici ent depuis lora dans lodomat ne royal, particuliorcinent fous Louis VII, et qui furent de veritatiles hiensatis pour la classe agricole. Dissemineos dans DOublet, dans Duchesne, dans I eli-hien , les chartes de Sugor ont et o rcuntes ici, au non bre
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ment par sola objet, mais par Sa valeur propre, et par rimportance des renset emenis qu'elle nous Murnit. Elle est divisee en trois livres et dediee a Geostroy, un au tre molite de saltit-Denis, qui avait sati prometire a Guillaume, en se separant de tui, d 'executer ce travati. L'autevry a joint, en guise d'appendice, la letire encyclique adressee par te monastere a tous les fideles a l 'occasion de tu na Ort do sonabbe, letire doni la redaction tui avait Ete confiee , et otisoni relatos les delatis dela sin ta plus edifiante. La Vie de Siger est encore uti pati orique, si l 'On v ut uia is elle est Plei ite de traiis interessa iiis, doni la nature meme demoratre Paullienti cite. Il n'y a poliat de plan : Guilla uine accue ille pulc-mule, d l'avoue, totas les solivenirs.qui se pressent dans S an esprit. Et pourtant, te lecte ur citarine lesuit sans sati gue, soli dans Phunibi e cellule oti te ministre de deux rois expiati te fasie de sa jetinesse, soli datis Ces reu-nions du soir oti it derout ait a ses moines, Surpris d'une science si longue, Pla istoire de son pays ou les gestes despreux gesta Mirorum fortium) . I 'ologo des qualites de sonheros Occlipe te si ore Guillaunae heau coup plus que la narration oti l 'apprecialion do ses uctes les plus importanta :ui ais ian ainae toujOurs a penetrer dans la vie intime deshommes illustres, et te confident de Suger nous procureamplement ce plaistr. Son Ouvrage, torsque les Bonedictius rinsererent dans lerecueti des Historiens de la France, avait eu deja trois edi-
et Felibien 1706ὶ . Une traduction Dancatse en sui donneso des 1640 par Baudouili, et uile aiatre dans in collection de
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tres de Suger. L'abbi de Mint-mnis n'a-t-il potnt laisse d'autres loriisque -- D'on trouvera reprodulis dans cetis edition 3 navali certainement commenes, dans les demieres annies desa vie, une Histoire da Lovis le nune e la mori r interrom-pit, comme ratteste te isere Guillaume . Mais des dein chroniques qui nous soni parvenues mus Ce liue, aucune ne Parait siue son in Te, mἡme en supposant que la partieposterieure fi 1151 ait his Houtee par in continuateur. Lesauteum de l'mstoire lites ira ont donne sur potnt des explications asso convaincantes pour qu'il init inutile d'yrevenis, malgre les conclusitans oppos- de D. Gervat se et de Minte-Palaye . Il en est de motae d'une partie desehroniques de Satnt-mnis, qui avait ole egalement attribulea noue auisur e un savant memoire de M. Lacabane, insere en 1841 dans la Bibliothoque de l'Mole des Chartes , a demontro la lausseto de cette opinion. La chronique Ad cyclos paschales protend, il est Hai, que Suger troaillaitii Phistoire de France k I'epoque de son llection : α Temporibus illis historiae Francorum scriptor erat'. - utelais cetis phrase, si esse ne renserme pas un anachronisme, doli eue pri sedans un Sens generat, et cappliquer, soli h une collaboration, soli 1 quelque travati preparatoire fur te regne de uis te Gros. Gest encore aveo molns de Mndement qu'on
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conseiller i mais uouloir que celui-ci ait tenu la plume, cela ae saurait utre satis des indices probanis; et te choix quisiit lait de son neveu, te chancelier Simon, pour lire cetio charte de commune en assemhlee sqlei uelle, n 'est pas u feraison sussisante. Il saut done qcsepter pour authentiquesinus Ies emis qui portent te noni de Suger dans les manus is, et n' accepter quo ceux-lη. Cette regie, qui est la plus simple, est fouvent la meilleure.
rat evra ne sauraient sciuiseir. Matheureusement, te lecteur sera parsois arrete par des inconvenients plus graIes, dessautes de grammatre, des constructions vici euses, et memequelques harbarismes inpositus dans la hasse latinite. Ilsussit qu'il soli averti. et qu'il se rappelle que les scribes
4. Huguenin, Sugeret lia monarchie friaricatae, l99-201. 2. V. page 382. 3. 4 His mira are parualle, his la in execroi e. n Sharon Turper, Histrer of England during the midine am, I, 143.
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halaille ou quelque drame u raconter . ses a centa s'ani-mhnt, et une certaine mi Se en Mene vient colorer Son recit.
egpoth, tout cela psi trace de main de malue . Le si egedu Piliget Ait aussi l'ol et d'une doscription heureusementeonduite, qui trahit te temoin oeulaire Ii saut signater Nu-lement, au debui de la de Lotiis te Gras, un emat de parallelου entre suillaume te Roux et te prince Muis, sonadversatre, esses soriant des hanalitas de la chronique, et Paraissa ut inspire par les fouvenirs de rantiquite . Gest que suger, plus quaucun de ses contempora inspent-otre, eruit nourri de la lecture des ectivains anciens, sacres hi profanes; hi On peut s'etonner fi bon droit que, tesayant tellement pratiques, leur ayant emprunte un si grandnoinbre de pensees, it ne se soli poliat approprie da vantage leum theilleures qualites, qui soni celles de la sorme. MDere Guillaume nous apprendqu'il avait toujoum a la hon-Che quelque citation de l'Ecriture ou des poetes : il recitest
Par is juriu' a trente vera d'Ηorace, contenant une morali inutile . Et ici, ron ne saurait taxer son secretaire de com-Plaisance: car il n'est pas un de ses livres qui ne soli ema illud'une laute de texies de Virgile, de Lucain, d'ΗOrace.