장음표시 사용
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sur nos principales sicoles de calligraphie et de peinture
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Je n'essaterat pas de dἡfinir les sitsimenis qui sont enlrsis dans la composition des grandes initiales de la bible de Satnt-Denis;
sans monae recourir au manuScrit original, On en aura tineidsie sussisante et exacte en Ouvrant Γοuvrage de M. te conite
contiennent aucun indice qui nous fasse entrevoir dans quelle region ces beaux volumes oni sito exsiculsis. J'ai donc siprouusi une usiritable satisfaction quand j'ai ren- contrsi te meme systhme d'initiales et Sornemenis dans un
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sacramentatre de i 'abbaye de SatnNDenis ms. latin et 29o dela Bibliothsique nationale , dans un sacramenta ire de lysidisede Νοyon, qui est arrivsi a la bibliothsique de Reims apias direpasse par trabbare de Sain J hierri, dans un sacramentatre de
dans un sacramentatre Sorigine incertaine, mais qui parati
i 7333 de la Bibl. nai., p. 9o et i 38ὶ nous ostre des S doni les extrsimiles en ser de flhche rappellent tout a sait les S de la seconde bible de Charies le Chauve. It y a une telle originalitε dans les grandes initiales et les
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Les comparaisons qui viennent aesitre indiqusies, et qu'onpοurrait silendre a beaucoup Sautres cas, ne peuvent laisseraucune espsice de doute. On ne saurait hsisiter a former une famille des manuscriis qui renserment te genre de grandes initiales doni la seconde bible de Charies le Chauve nous offretes types les plus nombreux et les plus parsalis. Or cette famille comprend les sacramentatres cariovingiens de Saintamand , de Noyon, de Sain Denis, d'Αmiens et de Chartres. Ν'en devons-nous pas conclure que les Ornemenis doni nous recherchonsi'Origine sitatent familiere avx sicoles calligraphiques de la prο- vince de Reims et de la province de Sens 1 l'sipoque cario- vingienne λ Ne Sommes-nous pas fondsis a conjecturer quec'est dans cette rsigion de la France qu'ont dsi sitre exsiculsis et la seconde bible de Charies le Chauve et te sacramentatre de
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fructueusement demander aux Sacramentair .
Iis renserment des, ins Ormations his,oriques, fouvent sortimportantes, notamment dans les calendriers doni beaucoupSentre eux soni accompagnsis, et dans les listes Jhvsiques, de biensaiteurs et de sidsiles qu'on y a si siquemment inscrites suries marges ou dans les interlignes.
Je ne parierat pas des calendriers, qui pourmient a eux sevis sol mer te si et d'un msimoire trὐs dsiveloppsi, et doni je me bo nerat , donner quelques exemples dans l'Appendice. Je prἡ- senterat simplement quelques Observations fur l'usam Sinssirer dis serentes listes dans les sacramentatres. Cet usage se rattachait directemens a l'institution des anciens diptyques, fur tesqueis sitaient inscrtis les nonis des sivoques et ceux des biens aiteurs Vivanis ou ti sipasssis. Aux diptyques proprement diis furent substituos de boniae heure des catilers ou des seuilleis de pa chemin, qu'on plaςait fur sautes pendant la chlsibration de la
Vorox la nouvelle ldition des Aeta Sanctorum Aprilis, II. x, col. i. et laplanche II du Provisum que te P. Pape-brove a joint a ce volume.' Dipi ham Leodi se ex consulari factum episcopale et in illud commentarius R. P. Alexandri Wilthemii Leodii. 1659 in-solio), p. 29-
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POur Otre plus certain illotre compris dans les commἡmorations dii faint sacrifice, On tenuit a avoir son nona grausi suri'autel ou inscrit fur les seu illeis du livre que te protre avait solis les yeux au moment ou il rsicitati les prisires du canon. Les sdsiles almaient a tracer eux-momes leurs nomS SOit Suria table ou les montanis de l'autet, soli sur les marges du Sacramentatre, et cest ainst que s expliquent Ι'irrsigulariisi des inscriptions et la barbarie des caracseres dans la plupari destistes de ce genre que nous pou Vons examiner en Original. Νοtre savant consi sire Μ. Edmund Le Blant' i'a parsaltementconstate sur l'autet de regiise de Minerve en Languedoc, et j'en signa erat une dougaine Sexemples dans les sacramentatresque je passerat en revue . A sorigine, ces noms sitaient 1 siciles par te esitsibrant. Le fati est tres clatrement sinoncsi dans uti traiisi liturgique, qu'on a longiemps attribusi a Alcuin, mais qui parait Atre un peu plus i sicent: WUsus fuit antiquorum, sicut etiam usque hodie Romana agit ecclesia, ut statim recitarentur ex diptychis, id est tabulis, nomina defunctorum κ