Cartulaire de l'Abbaye de Saint-Bertin

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xiv PR, FACE. idem Oelle et idem nolle, firmitate amicitiae, revocare, hac oratione

iterum omnes alloquitum

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au trement, comment aurait-il attrihusi' a Simon II, qui sui abbd do 1176 1 ii 87, te poenae sur la vie de saint Berlin, quo

sait arrivsi colle annee m6me On no doli au seconii continuatcur de Simon que que l- quos satis et quel ques chartes, concernant i administration do

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lexi uellemcnt reproduitis. Los notations marginales des cha-pitros deviennent de plus en plus rares h partir du chapitro xxiiido nolre troisio me partic pag. 344J et cessent totalomoni a partir dii chapitro xi viii p. 362 . Cette observati On dsim Ontroque te moliae Alard a sali plusiours additions au continualeur

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de Simon entre les chapitres xx III et xLvi II, et que ce dernier chapitre et les sui vanis soni totis de tui et ne se trouvalent

pas dans les originaux d' apros lusqucis it a sali sa copio. Nous avons dria parto des em prunis satis par Mabillon aucartula ire de Fol quin . Avant lui, Aubcri Lem ire en avait tirs

init probablement servi quo de simples coptes. La plupari de celles qu'il a publiges ne figurent mhme pas dans notre cartulaire, soli parce qu'elles soni postgricures h l'Φoque oliti se tormine, soli parco qu elles n'silaiciat poliat de naturo h y

l'avons dria dit, te seu l. parmi lcs savanis modernes, qui aitdsi uillsi te Cartula ire de Folquin ; il en a tiro trei ge diplomes, qu'on pcut lire dans te fixi dirae livro de sa Diplomatique, et dontia plupari oni sitsi reprodulis dans les Historiens de France. Mahil lon n' a sali que montion ner la charte JAdmald, qui deja publide avant tui par Lem ire et Locointe, a eth rei in primoedepuis dans te Gallia christiana, Od on lit oncore imis au tres chartes relatives 1 Sa intineruia . . I 'une d ollos, te diplomo de Charios le Chauvo, du ao juin 877 ', ost donnge, discnt tesauleum du Gallia , d'aprhs lo cartula ire de rabbaye, ea cham turio Sancti Bertini. Ce ferait pourtant satre injure a l'exactitude des Bonedictitis, quo de supposor imprim de d'aprsiste cartulaire original une pi hce qui est plei ne de lautes. D. Mariane et D. Duranil, chargsis de recue illi r dans toti te

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et non d' apias te cartulaire original, quo te diplomo do Charies le Chativo a sitsi imprimo dans lo Gallia christiana. Sui vaniles avidum de l'Ηisloiro litiora iro do la France , it oxis lati a Paris de ux copios dii recue ii de Fol quin, l'unc a Salii NGO main-de Pros. l'autre a la Biblioth hquo royalo dans io sondsilo Gaigni sires; on les 3 cherchei ait va inement a iij urd hui. Ilox isto bien a la Biblioth hquo royale, dans l'ancion soniis latin

tin manuscrit portant te n' 5439 et in litui si Chartularium monasterii Sancti Petri in Suhiu, rubo Sancti Ihrtini, in dioecesi gii domarensi : mais ce D'est ni te recupit que nous publions dansce volumo, ni inpino la collection de charios satio en doliors de ce recue ii par Fol quin . En osset celle copie, qui date dei 67i, se compose de deux parties; a la sin de la premi ero onlii. Finis antiqui chartularii Sancti Bertini; et la seconde com me iace par culte note, qui est de la main do Balveto : Ineipunopum chartularium Sancti Bertini, quia tamen et ipsum retustum est. Los detix cartula tres forment 354 pages et soni suiuis do

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ΡR FACE.ces lignes : Chartularium istud eae originali Miuti Bertini deseribi jussit uir illustrissimus Iohannes Baptista Gibertus, anno MDCLXXI. mense martis. Steph. Balugius. Mais la plus ancien ne pisice qu'on trouvo dans co recueil est te diplomo de Charios loChauve doni nous partions tout a l'heum, et On γ reuiarquela plupari des lautos qui te defigurent dans te Gallia. Toutestes autres chartes, emaneos principalement des rois de France et d'Αn eterre, des ompereura d'Αllemagne, des comtes de Flandro et do Guines, soni de beaucoup postgri cures h lamori de Fol quin; Ia plus recente est de Ia o9. Los archives de Sainlinertin devalent conteuir encore untroisthmo rccucit, portant te nOm de cartulaire, et qui rense aii une lettre SYves de Chartres au legat Conon, cito par los autours de l'Art de viri sier los dates . Τoutes ces collections diversos sitatent bien disserentes du rocucit de Fol- quin, auquet, ainst que nous l'avons dria sati obser er, lolitro do Chronique conviendrait beaucoup mieux que celui do

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sipare, toute la substance de notre cartulaire. Cet ouvrage

est te Chronicon erelasiae Sancti Bertini, compossi par deand Ipres, dans la seconde mollio dia xiv sidcle, et publio par

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reurs, des mis de Franco, des comtes de Flandre et descomtes de Guines; les anciens documenis, antiquitates, dei'abbaye do Saint Bertiti, les annales, histoires, chroni quos et archives publiques, archiva publica, des abbayes de SatnNDenis, de Berg-Mint-Hi nox, de Waten, de Marchiennes. de Blangi et ΨΑndernach; los oeuvres historiques de Vincent de Bea uvais, de Iacquos de Vitri, de Marini Sanulo et auires; en sin tes texies de mille privilsiges et chartes authentiques tant de l'ogli se de Sa int-Berlin que d'autres sigilses . C'est dans cet amalgame d'ἡlemcnis divors qu'est venu se tandrenotro cartulaire. It y est morcelo, tronquo, nasiconnaissable; noire odition tui renit son unith et son autorito; et, malgi sila publication de la chronique de Ioan d'Ipres, les trauauxoriginaux de Folquin, de Simon et de ses continuatours Ontiniat te merite de la nouueauto; et te thmoigna ge de ces auleurs, pour les satis anciens, est autrement respectable que celui delean d'Ipros, qui n'sicrivit que longiemps apres eux.i I.

Dans te rapide examen que nous allons latre de ces traValix, nous P Serons thghrement fur les renseignem enis Otrangem

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qui taliae . . Charios, solito notre chroniqucur, sit ensuite sa

la trente-lroisi simu an nec de sola regiae, sui situ empore ur

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y reussirent. Apres fa mori, Charies s'arrogea sans contradiction le gouuernement des Francs. Asserini fur son trone ii se prit de grande amitisi pour uti certain Haga non, donita raco et Ia n lesse sita ient inconnues aux Francs, l'elevaauciemus de totis les autres seigneurs et en fit son conspillorio plus intime. Les Francs Lindignhrent de la savcur accordeo a uti inconnu; iis Hirrithrent contre leur mi et tui tondirent des emblichos dans la villo royale de Laon. Echappsi