Oeuvres d'histoire naturelle, Volume 3

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De ea mi imperiale Leopoline, de celle de M. Peteribouet des Academies Rodiales des Sciences de Londres, de Monipellis , de Mochiam de Copenhailue, de Don des cademies de In situ de Boloene, de Hariem , de Municis, de Siemi , de Curim de la Nature de Bersin; Correspondant de Mademi Rodiale de Sciences de Paris.

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CET TE OU VELLE DITIO

e de Notes que a a Duxere a cetra nouvelis dition de monLivre. Si elles volent lavantare de lui plaire, si ne es trouT roit ni tro ampla ni tro multiplieta Depuis a premiere in Hication de cet Briton. I sa , on avolt fait Hen des decolivertes relatives au divers s et qui di sint traites V expos succinctae es deeouvenes entroit essentieriment dans se pla que is 'etois forme our e perfectiomement de mon trauasi e devolssailleurs metire mon Lecteu Dporte de jure par LLmisne, de Paccord sin ulter de linteum decies obfervations ave les principesque lautis lacte retablis sur origine a reproduction des Eues

vivans.

o ne publie pas es additions Dusti forme de Supplemens, comme is me etsistrabor propossie De supplemens aurolent exigedes Introductions plus ou molns aifonni es, qui avroient accru 0utravasi; cie mena emens que is ictis a massante me sollicitotentis preferre la marche a Ius facile ou a plus courte Mur ierctaque supplement a la parti de ouorare a laquetis si se serostrapporte, si aurai falla retrarer ette parti en accourei, mas supplemens ferolent delenus se ope an iure en forme.

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correspondans, 'avroient potnt et equivalentes auxesiaifons alvi rellas qui exsent oujour mire e Texte V Note qui ' rap- sorte immediutement ea la Note 'euchaine naturellament dansi pri acie qui precede Uta ce qui suit.

esses interrompent a lecture ita Texte N Uprit oujour Dup tient parce uli es tres actis, 'aime pas a tre retarde dans saanarche. 'a senti cela, dou diminue rinconvenient eis usquVI 'etoit pomis, iat eu sola de placer es principales Notes la ' de Chapitres, des articis o de Paragraphes. TO Ura Ie Notes additionelles Ont et indiquees parin AEne particulier qui es eme que tui emplo par toti dam ite dition de mes euvres II ne su oi pus eanmolas de diffstingue alas ces additions i convenes encore que D Lecteti phiret uver u Uoi ctaque addition, qui put vola tin cotipd'cui ce que chaome renifermost 'essentiet Ia done re se ne Tabis indicative des Notes additionnesses, qui ourrost servis Mon lasouhattost, a transforme ces Notes en Supplemens danstin volume separe. Jent bien, que des que e eommentot mon propre Texte je ne devois ien have acie Texte a. at e Misse te quIIemit dans es premieres ditions Iai seulement transportera lamaet les Tures particulier de articis que, fauoi places illaboradans e corps de lipare tim'apam qinis ferolent misux en marge, parce que e Chapitre en parostroit modis decove.

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i ERTISSE AEENT

L eran nomise de facts nouueau oraiment intere sans queia inferes dans cette dition de mon iure, is endroni j'espere plus digne de attention des Naturalises hi ophes II, compartaron ces fuit ave les consequences que enisi deduites iis me jugeront de nouueau; e si leur paroissol que iat et ui fit dira prete fidele de a Nature , im serois tres salte cie exarderois comme ne recompense gloris Dd'un travat doni iis euvent seulsa Mier e but, lamanter Feries discultes. A Genthod pres de Geneve is 3 'Octobre 778.

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CONSIDERATION S

PREΜIERE PARTIE,

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avoi tent d'analyse les faculte de notre Ante i , j'a eslaye sanalyser origine te developpementis la generationdes Corps organises O ne presumera a que 'aie retendudecouni te mystere de la generation il est encore voti auxyeu de plus grand physiciens 'at stulement clierche a ramene ceti belle parti de Histoirematurelle a des principes plus philosophique que ceu qu'onis ache de leur substitueri

LE huit premier Chapitres de ces Comiderations son laproductio de ma eunesse. Je es a delaches 'in plus grandouvrage, que 'avois intitule Contemplation de a Nature, qui 'etoit γ'une fuit de meditations philosophique sur a Nature Ii tot deja fori vance , orsque e interrompispou travaille a me Recherches sur tu fuge des fuisses ausis Plantes , que e publia e 1 sc et . Engage depuis dans

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la publication de cet crit, 'attendre de nouvelles lumieres de expetiences doni la hysique 'enrichi cliaque our. J Avors admis se lation , comme te prIncipe te plus coii- forme aux fatis ora saliae hilosophie Je supposiois quetout Corps organis preeristoit ara secondation, Qque celle-ci ne falsiit que procurer te developpement dii out organique destiuae alaparavant e miniature dans a graine u dans lyceus effayois 'explique comment la fecondation operoitcet effet mesure que 'analys is, e me persuadois de plus en his qu'on demontreroi un ou la preexistence du erme dans la femelle, que 'esprit seminali'engendroiliten. ΜΑis j ne aistis Uentrevoir, Ge ouloi voi poli rat-Dnne plus solidement. Queique fatis me paroissolent equi Noques; d'autres fatis,'etoier. contraires en apparence, quoiaque e sentisse te qu'ilo auroit de moyens de te concilierave me idere, e 'etois a content de me tentative ence genre Je ne cessot pa uia instant de pense qu'il ' avolt potnt de generatio proprement dite, Qque out se reduis it u simple developpement. J'avois en main divers ait qui sembloient concouri a te prouuer. Je achoista'approfondi cessatis; e les comparois enir'eux, e les decomposio s; 'oppo- sol mon hypothes a celle qu'un celebre Academicien enoit de publier parallele, qui ne 'etoit a defavorabie, achevola de me confirme dans me premier principes Cependant i restoit oujour a demontre que e Gerni appa

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