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L . se trouve en accourci, outeria suit de generations futures. a prodigieus petitesse de Germes, es et hors deraneint de causes qui operent la dissolution des mixtes. senirent dans interieur de plantes, des animaux B en de- Viennent meme parties composantes is lorsque es composes iennent a subi lacio de dissolutions , iis en sortent , ansalteration , our otter dans at o dans ea , ou ourentre dans 'autres Corps organises. I n' a que les Germes qui contiennent les out organuques, de meme spece que elui dans teque iis se soni introdulis, qui ' developpent. ores dans Pecorce 'un arbre iis ' arrεtent, iis y grossissent eu-Lpe donnent insinaissanc aux outons, ait racines, vix branches, auX euilles,au fleursis au fruits. ortes dans le ovaires de la femelleo dans les Esicules seminales du male, iis Montra principede la generatio du Foetus. V. L. A maniere doni 'opere accroissemen des Corps orga Dissicultenises, estin potia dethysique tres-obscur Lorsque nous auron βμjex uiae sol bie conς comment ne simple fibre rosiit
S'etend nous comprendron comment ne graine devient unarbre, o commentis oeu produitis animal.
O peu flaire te des experiences ou decouuri te luixque les Corps organises observent dans leur accroissement Onpeut resse des echelles exactes de ou extension respective. On peut observe jusqu' u certain Oint, a structure inte-
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ζηλη I enre de ces Corps le e des organes qui separent edistribuent e sucs nourriciers. On eui ncore ramene aucalcul paction des aisseaux,, a vitesse des liqueur qui circulent Toutes e connoissances, quinque recteus es, ne suissent poliat ou dissipe les tenebres qui ou urent a mech nique de accroissement. Essayons ' supplee , en possent des principes qui nous condulsent a ne hypothese aisonnable, VI. L Nature ne a potnt par fauis Tout a sabaison su sanie ou a cause prochaineis immediate. 'etat actuet 'unCorps est la fuit ou te pro duit de so elat antecedent; upou parte plus juste , et at cluet 'un Corps est determine par sola etat antecedenti Grad tions VILI est une gradation entre lesatres, it en est une aussiv*i'ς isti φβ dans leui accroissement. Tous parviennent par degres insensi-bles perfection qui eur est propre. est e qui se nomme develo ement dans es Corps organises.., ἡ ''ρρ' VIII. LE plantes aes animaumque nou voyon avjourd'hui, on don passe successivement par ous es degres de grandeur
compris entre celui ou iis ni commence 'etre visibies ournous, elui ou nou les o on maintenant Si nous observon a microscope, la graine 'une plante ourceus d'un animal nous nous convaincrons que te Corps organis qui en doli mitre, existe deja e petit axe toutes sesparties essentielles.
Nous admirons la sagacite dumaturaliste qui a suci premierdecouuri te apillo laus Penveloppe de Chenisse. IX. E developpement insensibi de outes las parties du Coips organii , se ait par iacimtrition.
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X. Es alimens soni un Elange 'air , ' ea , de terre, Alimens. de eis, 'huiles, de so tes, de lusievrs uires principes differemment combines. XI. ova tre rendu propre , falae corps celasange passe Leu Pro. par divers genres de aissem , qui diminuent graduellement: θ' - ''R' doni si prouue action. LE uns e reςoivent, 'autres le preparent , de troisiemos te distribuent prepare , a mutescies parties. XII. 'Acrao des aisseau suppos dono trois operation Trois ope- L separation du superfluci la decomposition 'une partiedes principes is la)εunion de plusieur dans ne mme masse analogue a la nature du Corps organisse. XIII. Es aisseau , in que ous Iesciuires organes , soni composition: originairement formes des Hres Imples, 'ema-dire, qui ne sont z. pas elles-mesne composees 'autres fibres , e qui troit a Pim fini mala d elamen particuliers L nature, a forme, Parrangement de ces elεmens determinent respece u Corps organisse. XIV. 'ExTRΑ1 nourricier se distribu au fibres simples , Distributis i
LEs elemens de fibres sontes son qui reqoit les particules durauid nourricier.
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I 'AFFINIT de ces particules ave les lemens, te ren pro
L colaformationis parrangement des leniens leur permet de 'etendre en out sens usqu' uti certain polat, de cede aliis a rimpression durauide nourricier. O peu se representer une fibre simple comme ne speced'ouvrage a reseau. LEs atomes nourriciers 'insinuent dans es mailles, Cles agrandisssent pe peu, en Out sens. LEs aisseau qui rei olvent aliment grossier qui vient dudehors, ceu qui te preparent, lant nourris par 'autresvaisseau plus petits destines , repandre et aliment pa tout. CEs aisseau versent Ie recteu extrait dans te intersticesque les fibres laissent enlr'elles , 'o si passe ensuit dans es mailles de ces dernieres par ne sorte de succion, ou '-hibition E commerae petits v isseaucon eux-εmes besein 'hue nourris, o peii suppost qu'il se nourrissent par e--mEmes,du su qu'sis contiennent , o de elui qu'il rencontrent enueles diversiaqueis de fibres qu'sis parcourent. XV ENPii torsque les mailles 'une bre simple , se sontautant agrandies que la natur Cl'arrangement de leur principes on pucie permetire, cette bre esse de croitreo ne reqoit plus que a nourriture destine a remplacer celle que latranspitarionis te mouvemens intestina dissipent i .
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De la generation des Corps reanifes Des Mon stres cies misisen generat. Principes, conjecture su Dur formation. XVI TOus es Corps organises multiplient Wpendant que Introduc.
I lo des dis lutions exerce son empire destructi larua masse xkψ de Etres vivans, a tot de generations residera a conservation des speces, Cleur assure immortalite. XVIL A ecneratio est un de ces secret que a Nature agener semble 'Etre reserve cie croi cependant qu'On te lui arra :,a. Echera uelque our. 'en juge principalement par te nombre seu'on ἡ-la nature des decouvertes doni on a dej enrichi cette mattere. 00yti 'Les verites physiques fruit de observation de experience, se multipherontis se perfectionneron sans cesse Les verites metaphysique , plus independantes de sensis de machines, liees a n petit Ombre sidees abstraites, ne se multiplieroni as, an doute, en Eme proportion. ne intelligeiacequi connostroit a fondrae Drces de Pesprit humates, ourroittire Phoroscope de sciences predire te degre de perse liora ou hacune 'esse parvientia. e serois fortiori 1 penserque a destructio de notre globe 'arrivera que orsique es homnies auronceptas la connoistanc de productions qu'il ren- ferme Mais et evenement ient a 'autres qui ne paroissent pas plus prochains.
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Poeus avant la secondationa La oussere des etamines it laliqueti que e male foumit, n'efmelle que te principe de sondeveloppement ΤXIX. O la attere seminale Melle te vόhicule u germe,' la gratiae o Poeus, te logement destine a te recevola C sonicia, deu hypotheses qui se disputent la preferenci, leur combat 'est a pres de finir. Anim v XX UNE decouverte imprevue Dite par te microscope datis . . '' ' dernier ecle, a par donne de a superiorit acla seconde hypothes fur la premiere. J veu parte de la decouverte des
qui soni mances en age, o altaque de maladies veneriennes,n'offrent polat de es animaux.
XXI. Sur es fati reel o apparens, o a imagine que les animalcules permatiques elotent les auteur immediat de lageneration On a suppos ingenteusemen qu'il subiss)ient des metamorphoses analogues a cesses de Insectes ou du Tetari Mais on 'est partage fures manter de la fecondation. LE uns ne oulant potat reconnoitre 'ovaires dans es femelles
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nmelle des animau vivipares, ni cru que 'animalcule 'atarachoit quelque endroit particulier de la maline, d'o si tiroitia nourriture destine a te latre croitre. LEs aiatres, partilans declares des ovatres , eulent que te Verespermatique s'introduis dans la tescule, qui selon ux , se delache de ovaire tombe par a rompe dans a matrice, que e sol dans ceu vesicule qu'st preme se premiers
XXII Cas hysiciens appliquent aux grain de laudi sere Applicationdes etamines, e qu'il dissent des animaux permatiques syst me, Ma
etamines , comme u petit oeus, qui contient te germe de laΡlante future Iis nous font remarquer, que la graine, Vant lasecondation, 'est qu'une vesicules, pleine 'une liqueu limpides, dans laquelle les meilleur microscopes ne nou decou. Vrent aucune trace 'embrion mais que si Pon examine cetiemem graine prὸ la secondation appercevra n Ointverdatre , fori essemblant ais grai de la oussere des et
de probabilite inietque observation cependant te rendent a me de ani molns outeux, our ne rien dire de plus maux peta
Osis' puraεcouvri de cesser dans la semeiace de queuque animauX. O a decouver dans cesse du Calmar, de petit Corps aresctori, qui paroissent tre analogues au Vers permatiques, Tome III. B
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ζη AP II qui ourroient flaire douter que es Vers solent de verit bies animaux Ι . Ε les suppostant eis, ilis auroit lie de penser, D'il enes de la liqueu seminale comme de tant 'autres speces deliqueurs, que AuTEu de lamature a juge a propos de perupter de differentes speces 'habitans. ENFIN, o croit avoir apper ἰ de semblabies Vers dans lasemenc de quelque femelle de Quadrupedes. QUELLE place assignera-tionis es Vers que rote leu ser Non oue dans le systesne doni nous pations ZIMAGINERA-Τ-ON u'ils 'accouplent avec ceu qui habitentia semenc d male, Qque de ces accouplemens naissent les germes, uteur de a generation Τα seroi recule la difficulte
au autres, ou forme differens ovis individueis ΤXXIV. OsEROIs-3 joindre ici me conjectures surcia gen&ration , , celles de tant de avans hysiciens qui on traiiecette mallere 3 ne reflexion que e rois juste , Menhardi ale faire. O ne lauroit avoi tro de conjectures suris sujet obscur. Ce soni utant de iis qui euvent nous conduire u ra par differentes outes , o nous donne lie de decouvri de nou- velles erres Les conjectures sont les tincelles , a seu des
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quelles la honne hysique assume te ambeau de experience. HAP iii- I love la modeste timidite des hysiciens , qui 'en ennent aux fatis; mais e ne aurois lamercia hardiesse ingenteus de Ceu qui entreprennent quelquemis de penetrer auHela Lai sons agi rimagination mais que laciaison enne oujour Iahride de ce oursier angereux Tournons-nous de tous es cotεc formons de nouvelles conjectures eniantons de nouvelles hypotheses mais ouvenon nous oujour que e ne soni quedes conjeeliares, de hypotheses, is te mettons amais la place de fatis. Es dans et sprit que e hasarde de publier me songessu la genεration.
XXV. ou Corps organis cros par developpement. A momentis it commence 'Etre visibi , o lui volt, ilion.' ''trhs-en petit, te memes parties essentielles qu'il mira plus en grand dans la uite. -EL 'EproR que nou sessions ou explique mechanNquemen ta formatio du moindre organe, nous ne lautionsen ventra bouti Νου sommes don conduit , pense , que les Corps o ganis es qui existent aujourd'hui, existolent avant leur nactance, clans de Germes o Corpuscules organiques. XXVI. 'AcTE de la oneration eui onc,'Etre que leprincipe duraeveloppement de germes. XXVII. E developpement 'opere parcia nutritioruta nutrition 'est proprement que 'incorporation des sucs Murricier dans te mailles de fibros elementatres.
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cua GlL CEs principes possis, se demande -i h. VIII. Latoussiere des etamines Ga liquerer seminale ne
menes decla occupe. generation.
Os eu les reduire a trois principaux: Lx essemblance des enfans a per . la mere cles Monys tres, cies Muleis. FIXONs-nous a Phypothesi qui admet des oeust dans es femelle vivipares, qui reconnos Ces oeus pou te heu des germes, e eu dire, ou proli ues. Des mons XXX. O nomme Monfre , Oute productron organise , t ς' dans laquelle la conssirmation , arrangement is te nombre de quelques-unes de parties ne vivent a les regles ordia
Quatremn XXXI. DE la, quatre genres demonstres
L premier enferme ceu qui soni et parcia consormation extraordinalae de quelquesvines de leur parties. L secon genre comprend les Monstres qui in quelques