Oeuvres d'histoire naturelle, Volume 3

발행: 연대 미상

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L troisieme genre embrasse lesmonstres qui ont molns de parties qu'ilis'en a te donne Laespece. L quatriem genre enferme ceu qui Ont, a contraire plus de parties que 'etat nature ne te comporte, sol que ex parties ne solent a propres h pes pece sol que tui etant pro-pres esse s' uouvent en plus grandisombre. XXXII 'κ Mutet soni des speces demonstres, qui pro Des utet .viennent de accouplement de deu individus 'especes dif&rentes, qui participent in de a nature de ustis do

L resse lance des ut et ave les individus doni iis tirent leur origine, ne se manifeste pasta'une manter uniforme dansioute les speces; 'esma-dire , qu'esse 'a a lim constam-ment dans es Emes parties On croi cependant avoi re- nanque, qu'en genera te corps u ule tient plus de laris melle que u male , inue es extremites iennent plus u male que de la femelle. X HL Si te germes soni contenus ori inairement dans des uestiora ovaires de la femelles, i ta attere seminalei'est'u'une es pece g*Πς- de fluid nouuicier, destineo deveni te principe u develop rhypothesis' pement, 'o viennent les divers traiis de rememblance desensans ave ceu qui eur on donne te ou 3 ourquoi es monstres 7 Comment se forment les Muleis 'LAIssoN le premier cas, comm molns cappant, Qto Uursin e equivoque Attachons Ous auidem dernier , plus susceptibies de determinationis 'analyse.

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tions.

Mur parties urnumeratres.

si ne me paroit a qu'on e puisse rendre asson qu'en re- courant a hypothese des germes originairement monstrueuX: refuge heureux, ais qui ne plast pas galement . tous es Physiciens. LE rapporis des utet ave les speces auxquelles iis dolventes naissance, euvent εtre ranges ous plusieur genres. Omne considereron ici que les apporis de couleuris te rap-poris de forme. LEs apporis de coiileur 'expliquent facilement par hypothes de la liqueu seminale, considere comme fluid nourrucier. Oniai combientia qualite des alimen iussu surcia couleurdes corps organisses. a Grave rougit te os de animaux quis'en nourrissenti O varie les uances de vegetau e leur falsant pomper differentes speces de teintures; 'est,sourie dire en passant, u genre 'expεriences qui est bien digne de Patiention des physiciens. I semit trε propreis perfectionneri'histoire de la vegetationis , nous decouvri la veritable desetination des principaucorganes I). Mais dir Non , les couleur que te flusde seminal imprime au

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Tement.

J reponds, que a dispositiona reflechi certaines couleum

depen de la natures de Parrangement de parties Or, cette nature' et arrangement etant ne sis determines, i paro1etrε possibi qu'il se conserventis que les nouueau sucs qui furviennent 'accommodento ette determination comme novi rentreverrons tentot. L nourritur influe encore beaucou surcies proportions: de toute les parties .cette verit si connue nous condui aux rapporta de forme. DEux objet principaux 'omen icio notre meditation logerme me uide seminal Analysons es eu idees utantque nous e sommes capabies. XXXV. Nisi que te germe est me bauche o me s. Idee quχα

cise O si faut entreprendre 'explique mechaniquementes sormation des organes me que laionne hilosophie reconnoitratre au-dessus de se forcesci ou i faut admetire que te germe contient adhaellement en accourci outes es parties esssentielles ala plante ou a Panimal aei represente. XXXVI a principale disterenceriu'sso a donesentre te germe conaquen QPanimal developpe, 'est que te premieris'est compos que *ςWφdes seules particules elementatres, Qque les mailles qu'elles formento soni aussi troites qu'il est possibie aurate que dansle second te particules elementatres sont ointes a ne infinited'autres particule questa nutrition leur alas ciees, 'ue les maiules de rabres simples flant austi larges qu's est possible'u'elles le solent relativement a la nature a Parringement de leurs principes

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tite de a consistance, indique dans es elemens ne variete relative donibliis. Celle-l depend. inficies bres elementatres des os ni origi-nairement plus de consistanceis soni molias susceptibles Sentension que celles des aisseau o des membranes.

4. I 'ζ2 XXX HIL L degre 'extensio de chaque organe est de

seminale si plus relatis a la uislance qui a produit. Cette uis ance est icives varietes le vide nourricier u la liqueu seminale Bis a don entrece fluide, te germe certains rapporis qui determinent la consistanceis extensio de chaque partie. Ces apporis, si nous vovions aisoniae fur es dees connues, ne aurolent tre quedes apporta de forme, de proportions de mouvement de chaleur, c.

seminale autant 'especes 'elemens qu'il en enue dans lacompositionis germe. et' in tes leniens 'une meme spece soni plus disposses 'uni que ceu d'especes differentes. 3'. Quoles mailles de chaque parti observent ne certaine proportio ave les molecules relative de la semence. 4 41E 'essicace de la liqueu seminale dependis degrede so mouvenientis de si chaleuro du Ombre des partu cules elementatres de chaque Ipece. Emid'ex XL κ principes posses, a generation des utet sembletius. ἴ' ' 'eclaircis usqu' u certai potnt. De accouplement 'unone avec ne ument nait temulet proprement diti

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CETTE productio existoi deja e petit, mais ous a formestu Cheva dans les vastes de laciument. COMMENT e Cheus a-t-i et metamorphose ' 'oci tui Hennent ea particulier ces longues reilles 3 ourquo la queueefmelle si e foumi de crins Lyeclaircissement de ces deux potat achevera de developpe ma pensee. J dis don que les elόmens de la liquem seminale Epo dant a ceu du germe, a semence de Me contient plus de particules propres , fourni a developpement de oreille quen'en contient celle u hevat Qque 'un auire cote elle amoin de particules propres a dεveloppe la queue que 'en acette derniere.

DE-LA exces Salongement dans es mailles de orentes robliteration 'une parti de cesses de la queue. XU. N 'objectera an doute, que les semences me objections germes 'une meme spece dolvent se repondre exactement, VPQR ' que par consequent ilis' a questa semencera Cheva qui puisse Dire developper te germes contenus dans le ovaires de laci

menti

dans te rappon de la semence germe, ii estisne certaine latitude qui permet ara liqueu seminale d'un animal de deum topper te germes 'un auire qui n'en differe pas extrεmementea forme en grandeur. ON 'objectera encore que les notion que e donne dela liqueu seminale germe soni tro compossies, Vula multitude des elemens que ' fais enirer .la diversite des combinaison qu'elles supposient.

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I J reponds que nous ne saurion nous scire de tro grandesidees de Par qui regne dans es uvrages de la Nature , esur-tout dans a structure de Corps organises. UNE utre objectio beaucou plus considerable est esse qui se ire de certainsmuleis, dans tesquel on observe des pamties qui ne iennent absolument que u male. TEL est ce utet qui provient de paccouplemen d Co avecla femelle u Canard Qqu'on assure Moi des pieti parfalte-ment essemblans a ceu du Coq.

J'Avou quo e ne aurois satisfaire a cette obiection, si lesei est te qu'o te apporte mais e dout de la parfait res semblance de ces ted ave ceu du Coq: 'en appelle don au examen plus approfondi. Importane XLII. JEJouhaiterois fore audi'u'on multiphat les experiences, .... generRtion des uleis Rien ne seroi plus propre a repania

I destrerois su tout qu'on 'assurat, si dans es petit qui proviennentis individus de me me spece is dans ceu qui pro- viennent 'individus 'es peces differentes, si est constaminent de parties qui iennent plus u male .d'autres qui iennent plus de a femelle, si cette esseniblance est Oujour unia torme, o si esse varie 3 DAN punisci'autre casin ourroi faire interveni la liqueur feminale de la femelle, ciuisoniae sur cette liqueu comme 'aifait fur cellera male. O pourroit conjecture ave quelque vresse lance ou le

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COR P ORGANIS S.,retnier cas, que la semence decla femelle contient les elemens, particulier hisne o plusteur parties .celle du male, ceuxqui soni propres aucautres. Ρου te secondeas, o admettroit que es combinaison chaim gent dans differentes speces. Palde de ces conjectares on Ourroit parveni a rendremison des divers traiis de rememblance qu'on croi observe cn-hro es enfans, ceu auXquel iis dolvent tu aislance maisi studroit oujour elabsir our principe que les eu semetices ne laurolent agit pune an pauire. O pourroit encore ave te secour de la meme hypotheseexplique la formatio de quelque monstres. ΡΑ exemple, si deu animau donicies semen ces ne contiendroient que les elemens propres a developpemen d troncvenolent 14'unir, c qui en proviendroit serottine masse oblom

XLIII. A generation enlarme n utre poliat ussi inte principe de

culatio dans le germe germe.

Volci comment te conqois la chose Je ne pense a qu)illa asse aucune circulatio dans le germe non seconde Je crois pluto que ouis est dans uia repos parisit Qque les solidesne contiennent alor auculae liqueu ih mais pendant la fe-ς condation, ta liqueu seminale est porte dans es organes dela circulatio dii germe Esse es dilate, cette dilatation

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23 P tant naturellement vivi de a reactio du aissea fur a li-queu , a circulation commenc a 'operer Le uide semines porte par cette oleo oute les parties , ouure les mailles des fibres simples, cies et en ta de recevoir es sucs que lamatrice leur enuole. lles continuent insi ari'elargi par ne es pece de ductilite analogue a celle des metaux, usque a cequ'elles aient attein tes ornes de leur extensio respective. ρ ter XLIV. ou ce ciue e viens 'expose surria generation, teur en Visa ne te prendra si On eui, que our u roman. e suis I moi-memessor dispose a renuisager ous te meme poliat de ue Jesens que e n'ai satisfait qu'imparfestemen au phenomenes. aisje demandera si Pon trouve que les utres hypotheses satis- fassent,ieux Je fera i dessus eu reflexions. R; ες ions. XLV L premi ere, que e ne aurois me res udre a stan- donne une ausi belle theorie que res cesse de Germes pro existans , ou embrasse des explication purement mech niqueS. L seconde, γ'il me paros qu'on auroit dii sther 'apa profondi davantage la maniere doni 'opere te develo ement,avant que de hercher a penetre cesse doni copere a ge

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De la mustiplicatiun de bouture, de cella par rejettons. XLVI. L. A conservation de a vie dans inaque portio de riit princi

Pindividu divise , Paccroissemen de ceti portion, la productionde se nouueau organes, a multiplication par rejettons, sonties principaux ait qui 'offrent maintenant . Otre Xamen, XLVII. L premier it 'explique lacilement ε qu'o . Premi admet que chaque portio contient outes es parties neces se . i. I, latres h la vi de animal, Qque leur structure est telle, que a vie leur separation du Tout ne cause aucun derangement datis 3Pii x φλleur eu.L'oasERVATION confirme uneis auire de ces stippositions relle nous monue les principaux visceres ethndus 'un bout

tio separe. ENPIN, esse nous appren que les plates qu'on alto es animaux en es metiant en ieces , se consolident avec ne extrem facilite, parcia dispositio singuliere qu'on te leures des aisseau rompus ou dechires is se approcher, a seτε ita LE lanelion vitales 'εtant oin interrompue par a se tion, te su nourricier que chaque portio renferme continue.

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Explication.

ce premier uvrage de amature en succede biento unautre plus considerable auque celui-la fert, our insidire, de preparatis, e eu parte de a productio des Gganes qui anquent aux differentes portions u Ver our

deveni des animitu complets. Arretons-nous u moment afuture ne de ces portions qui on et nautilees in deux extremiteS.

XLIX. A extremit anterieur dot parous une thte, , laposterieure une queue D milieula bourtet, ouvent insensibie qui se forine a liaque extremite, sortis bouto πε petit,d'une couleur plus latre que te restera corys. I grossit par degres, urend la forme 'une potnte mousse Cette o te syalonge de our en our biento on' decouvre des anneaux, a traver desqueis paroisseia de nouueau visceres, qui sem-hlentis'Etre qu'un prolongement de anciens. Elafin laciεte la queue se monuent, accompagnees de oute les parties qui leur soni propres Oestis Veria est, auque i ne manque plus que 'acqueri la grandeur de ceu de son spece.

O volt par e petit etail, D'il en est de la multiplicationde es Vers par Muture , comme de celle des lantes. Ouis'opere dans te un 8 dans les uires par u developpementde parties preexistantes. Nulle mechanique a nous conlati ca-

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