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Qui ourroit prouuer qu'il ia' a pas des animau qui se nourrissent par Oute habitude de leur corps , -peu-pre conameon imagine que se ait la nutrition ducio alliu 3 iii ourroitassure qu'it 'existe poliat de animaux 'une petitesse presque infinie, de figure spherique ou ellyptique, sans at scula membre, an aucune parti exterieure , doni les sens tous interieur se ornent unique ment a decouvrir e qui se passe au- dedans de animal, non potnt e qui est au-delior 3 QuipOurroit prouuer que es animau ne outent a uia aussigran platsi a senti ce qui se passe dans leur interieur , querest elui que les uires animaux outent a voir e qui se passe autour 'eucympi ait si te simple ouuenient de li-queur auque la vi de es animalcules a te attachee, ne leur procure a des sensation ausi vives que e soni celles quel impresion des objet exterieur procure avx uires animauXΤ
CXXXIIL κέε sistos cependant de conjectures, qui aient es animal-queique fondement dans observatio ou experience. Om- ..: , Ae paron te animalcules en question, aux obpes .aucautres compatris Insectes qui se multiphent de bouture. Dison qu iis se residui R. rQ'ipq naturessemen te uias au intres is qu'il forment insi des globules plus ou moin sensibies, peutaeire meme des lamens plus ou moin considerabies. Suppositas encore qu'il se propagent, oit par ne division naturelle, emblabi ou analogue
e se partageant avec ne extrem facilite, commerae petites
ssis ain de analogie, a te confirnaee depuis , par es belles observations de Rrs de Aussu RE , PALLA MEANI NLLLER, CORTI B onto differentes estpeces de ces animalcules, se divisernaturellement les unes en deux, es autres en quatre. donne alia naissisance adulant d individus differens , qui ne tardoient pas a se propager u mentes par de semblabies divisions. Vore en particulier a note qui est ala finis Toni. I de la Paliny se, premiereadition.
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cu AP. Vill anguillas de ea douce i . ous expliqueron para, assea heureusemen tes principaux phenomenes que nou offrent les globules, en particulier elui de leur diminution de grosseur, de leur augmentation de Ombre. Nous ouVons encore conjecture , que es animau matigrissent o se efferrent, orsiqu'il son expostes queique tem augran air, o De la liqueu dans laquelle iis agent, com
Νοus voyons deja que les mouvemens par esquel iis s'el veni, o se longent dans a liqueur, euvent depenti principalement de augmentation o de la diminutionis volumede leur corps Lpeu-pres comm dans es Oissons. Pegar desciuires mouvemens, iis iennent fans Oute auiae mechanique interieure qui nous est inconnue. eut-etremem qu'ils 'operent par de organes exterieur , que laurextreme petitesse ne nous perme pas 'apperceVOir.
ne que de iennent les animalcules
CXXXIV. L liqueu seminale apres moi sejourne plus umoin dans les aisseau qui la contenolent, est repompe pard'autres aisseau qui la portent differentes parties, Vec lesia quelles esse 'incorpore Que deviennent alor te animalcules doni cette liqueu est euplee JE εponds, qu'it 'est oin absurde 'admetire que es animaux continuent 'exister dans e nouvel lat. 9s essem -
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blerontis la Gallinfecte, qui prἡ auoi cour quelque tem de H AP ν διtous cotes se fixe surisne tige o fur ne branches, o elle passe te reste de a vie dans la plus parfait immobilite is si
bie consondue ave la plante mu'on a prendroit our ne GaIle ou ne excrois lance de ceu plante I). ourquoi nous refuserions-nous au laisi de prolonge pexistence des tressentans ' es animescules doni nous parton , colles au paroisd'unisuismea sereux ou sim in , y ouiron de oute les Ou- Ceur attachees a cette existence. l. representeron tes Ortinde me taees aucrochers 'un detroit CXXXV. A egar de apparitio de ces animalcules dansles matteres qui ont ouilli , o qui ont et exposlaeso undegre de chaleurisuque nous ne concevons a qu'aucun an mal puisse iure , la dissiculte qu'elle forme ne doti a nous intriguer beaucoup, uisqu'elle 'a ou fondement que pignorance o nous omines duraegre de chaleur que certain an malicon et rendus capabies de supportex a . 'ailleurs ilia'est a sur que es animalcules essent dans a mallere de imfusion Il habitolent eutaetre air enfernae dans te hocat illi avolent passe de et i dans a mallere de infusion Ilo peuυεtre uiae circulation perpetuelle de ces animalcules , de Patrdans les Corps organis de Corps organis es dans yair 3 . et Mem our emi d PHis des
et 'lu'indiquerat,illeur de belles
pense dei'apoaritiondes anima cules dans des mattere qui nibouilli. Νote imporu
que les sis M. qui ne permee gueres de douter, queles stobules mouvans , ne solent deis ritabies animaux. uici rextrait de cetis
, non obiet eloit de verisse les obse servations qui on et te sondementis d'i dees si tranges sur a generation, , des animaux J'a beaucou eludi lasse dissi rentes afusion , eci'ai reconnuis nonaeulementoque ce pretendues par- , , ticules organique son de veritabies animaux mais que es petita am-
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supposantque legerme est Durnilia te male.
XXVI. 1 Pon cona pare te systεme des germes ave celui des noliculas organiques, e crois aeon se sentira plus porte embrasJercle premi e que te second. Mais e crois aussi'u'ontrouvera que eluida est vj et a de grandes dissicultes, Qque je 'ai as resolues 'une manter bien satisfalsante Je eux parte principalement de celles qui se irent de a generationdu AEuhit, o de cet animal qui provient de union 'un ne
stippo se que te germe tot conten dans a femelle; que a liqueu seminale du male contenoit les elemens rela..tis au differentes parties de ce germe propres a no perer a nutritionis te developpement. 'at imagine quel Cheoa dessine en miniature dans le ovaires de laciument;
Mau soni des ord res de gengratisnssemblabies qui se succedetu u'il est tres-fau que les generations solent d'animaux de plus en plus petits , comme ron avance les Auteur dunouueau systente , que out v ici arordinaire que les petit deviem ment grand a leti tour'. Dans ne de se lettres Μ de REAd-HLR 'apprenoit um u'il avolt repete se observations fur es In sec- , , te des infusions 'u'il es aves texamines ave te plus grand oin pendant, , des heures eniteres, Qqu'il avolt, , reconnu e qui en avolt impos a se ceu qui te on pris our de simples, globules mouvans
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37etoit metamorphos enmulet par impressio plus ou moin yy.
forte de laesiqueu de pane , fur uelques-unes de se parties. J'ai conjecture que les molecules elementatres destinees a procurer la nutritionis te developpement de oreilles, elotent plus abondantes plus a lives dans a semetice de palae qu'ellegne te soni dans celle tau Chevat; que les molecules.
ne paroitra uere teni de elui-ci que par a grandeur, sticouleuris son poli OR, o ne conqoi pa tro comment mussi grand cham. gemens que ceu donicit 'agit, on pu tre produit par a simple actio du uide seminal B faue convenis de la dissiculte elle recevroit an dout u nouvea degre de forcessi on e venoit a n examen plus approsolidi des parties si on oussisit et examen usque a interieus I . SAN decide cependant fur a question, si te changemens doni nous pari s euvent tre execute par a lique ε- minale, prenon Pinverse de la premiere supposition. Au leu
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88 cousio ἐκ A 1ON su LEs ηε' ViiΙ- falae Durni te germe par a semelle, falsonsae fotarnirpar te male i). out deviendra sors plus facile. es caracteres par estquel le Mi is se approcli plus d mma que de Pane, ne tenant Ointo la forme de parties essentielles supposieroni des changemens moin considerable , moin disiciles que ceu que supposero ent les caracteres par esqueis te Mutet se approcli plus de sne que u heva La gran- deur, a couleur, te poli soni des cholas qui ne dependentque de quelque circonstances, ouvent asse legeres. a matrice de a Iumen , plus vasteis plus abreuve de sucs que cesse Panesse, a permis a foetus de 'etendre en Ous sens plus qu'it 'auroit ait dans a matrice naturelle Laqualite du an o du fluid nourricier de a mere eulatsemen change la couleuro te pol de embrion. RΑ1soNhroNs de la hine aniere surrae Mulet qui pro- vient de union du Co avec a femelle u Canata is es
dissicultes qui nous ni fait tant de eine, se reduiron principalement a uel que changement dans es proportions exterieures du corps dans la forme de plumes.
nouvelle faire de nouvelles experiences sur a generation des rivisis.
.. ζ MI AElles Ont certainement celles qui euvent repandre te plus
Gai Les observations de rs de HALLER, PALLA MEANI surrae oulatis fur uelque Amphi bies, qui prouuentde a maniere a plus directe, que egerme pro iste dans a fetuellera la
ticondation, ne permetient pas auioutad'hui de re uri acia supposition dontii 'agit ici, oum faudroi renoncer . rusage te plus aisennable de analo.
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ces sortes de conjommons comme de ces entes singulieres 'u'on pratique entre des speces de differentes classes Leurramea gresse ousse quelque Duille perit ensuite Lagrande disproportio qu'ilo a entre les sucs qu'il reqoit usu te , c ceu qui tui conviennent, .entre te tem o ille res oti,is elui ou i les demande, sontra cause naturellede a prompte mori. Si te mεlange de a liqueu du Lapinave celle de la Potite parvenoit a latre developper te germemurni par celuida, ceraeveloppement cesseroit an dout bientot de eu&εtre avant qu'o putratre certaininu'il auroit commence Les fluides alimentatres de la 'ule different apparem-ment tro de ceu de la Lapine our amene a bien ne telle production. De plus, te matrices de ces deu animauκ ne different sans doute a moris querieur fluides. XXIX. O ne peut douter que les speces qui existotenta commmcemen d monde, ne iussent molns nombreuses que Celles qui existent vjourd'hui. a diversite .la multitude de conjonctions peutaetre meme encore la diversite des litimat des nourritures on donn missance a de nouvelles es peces ouo des individus intermediatres Ces individus 'etant ranis a leur ou les uances se sont multipliees, en se multipliant elles soni devenues moin sensibies Le mirier parmi es plantes, a rivis armi es feaux, e Chimparmi les Quadrupedes nous fournissent de exemples rappans de ceti verite. Et que 'aurion nous potnt a dire a cetegard des varietes qui 'observent armi es ommes sortis originairement de deo individus l
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tion. LA ature est assurement admirabie dans a conservationdes individus mais elle est iuratout dans a conservation desespeces. Τous es organes doni elle a ourvu es tres organises, outes es proprietes doni elle les a doues, o te les facultes doni elles es a larichis, tendent en dernier ressor a cette grande fila Les divers organes au Gyen desqueis es plantes les animau se perpetuent , sont les differentes machines qui elatretiennent les rillantes decorations du monde organique Les ecles se transmetient te uns auxautres e magnifique spectacle, iis se te transmetient telqu'iis Pon reqv. ut changement, nulle alteration, identite pars alte. Victorie uses des elemens , de temps sepulchre , es speces se conservent, me terine de laur urcenous est inconnu i .
fameus decouverte, es controverses
tain force, syetatrice qu'il attribue ala mattere M. de BuFFocles a transformes en moleculas Sanique ou en particules vivantes , actives , indestructibies is qui sans tre ni vegetates nitanimalas, soni destinees a produire es vegetati Cles animaux On a v dansle Chap. VI de ce volume, ut tableaven accourci des observations de Pilluntre aturaliste, precis de sonsysteme. Il ' avolt qu'une sevi bonne vole
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Miselles decouvertes sur a formatio si mutet dans aeus Consequences de re dccouvertes. Comparasson des experiences de ΗΑRvE fur a generation de Biches , aveo cellas sur a for
porter dans ceti rechei che dissicile uiae Iogique severeis unis serit libre de
te qu'il te falloit out interroger a Natureis en obteni des reponse aussi clatres que Ecisives. et Observateur, qui nous devions dei de si belles decouvertes, est . Abbe PALLAN-ZANI , doni es talensis a segessebrillent dans ouvrage intEiessant qu'ilvient de publier solas te titre modested'Opiastiles de Physque animale feoey tale Les ornes d'une simple note ne me permetient pas 'en donne unextrait sui vici mais 'en delachera les particularites Ies plus essentielles de rhisatoire de nos animalciales. 'Auleur 'apas otii que te public ignorat que 'aete a m priere qu'illa tache 'appro- fondi ceti histoire me felicited'avoi contribu ainsi a son perfection-
Les animalciales permatiques bondent dans a liqueu seminale de toustes animau qui ni fait e latet deces recherches. O les iecouvre aveo plus ou molns de facilite, Won ap- perqoit de differences plus ou molns se pantes, dans leur formes, dans leur grandeur dans leurs mouvemens. I ene encore dans a duri e de leu courte vie, pres que e perme a te ire ducorps de Panimal. En generat, leui forme approche asseet de celle de Triari, ou siron eui, de celles declaruies hiataυiques. Leu tete est grosse, oblongues, arron- dic se termine par u filet longuet dἡlie, en maniere 'appendice o de queue Dan les animalcules du perme humain, a queue est en viro si Displus longue que la teteri mais elle 'a i J'ecriuoi ceci a commencementde Septembre i s , immediatementa pro a voi achev mon bai analytia
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gueres que e tier de a grosseu de celle-ci ver son origine. O jugera dela petitesse de ces animalcules si fatoute, que leur tete n'egale pacla grosseu d'unglobule ouge du ang.
Cesa tres singulier on deu mouve- mens run est progressis, auire oscillatoire Iis Ont en avantis aide des oscillations de leu queue Les Ouvει mens de uelques speces soni tres-r pides , cimitent ceu des Oistans lis continuent pendantis tenas Ius umoin long stivant que at ambiante plus ou molns chaud ordinat rement iis cessent e molns de deu heures. Le mouvement progressi cesse avant roscillatoire. Apres leur mori es antimalcules deme ent te ustus e ligne
dioite, Cleu queue ne se si pare ja-mais de la Ete. Si on ait tomber surries animalcules du perme humai une gouite 'ea de plui ou meme 'ea distillee, si per dentis instant te mouvenaen ; mais iis te conservent dans la salive haudeo froide. Unisi un e sol le en-gouidit iis ne se meu vent plus une temperature de deux degres au-dest sus de la congelation On es a v semouuoi pendant res de uit heu res une chaleue de vingt-deu degres. Tous es animalcules permatiques une me me spece ne sent pas gauSen grandeur u luto en petitesse uen est qui soni sensiblement plus petitsque les uires.
Laciaille osse es varietes plus sen-sbles encore dans es animalcules dedisserentes speces par exemple ce du perme u aurea & d Belier ontune aille bien plus vantageus que ceu du perme de Homme Les animalcules do che valis du chien repsemblent par fallemento aes derniers. Mais ceu du Lapin soni beaucou plus petits. On observe encore des differeticesci lativemen a a population des dissi rei, tes speces de perme Cellera spermed Taurea est beaucou plus grandeque cella hi perme humain. I en est de Eme de cellera spermera Chien. Le perme u heva est, a comtraire , moim eupla que elui de
Ce4'estias seulement te perme des animauxta fans haud, qui abonde en
leur animalcules permatique , qui diL ferent beaucou de ceu de animauxessam haud soli par eur forme sola par leur grandeur. Les animalcules dei Carpe, ceu de la Salamandre aqua.