Oeuvres d'histoire naturelle, Volume 3

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pres a seu Crimar. L liqueu laeteus de ce Oisson enferme de petites machines 'une structure trἡs-composee, doni it 'est a facile de donne une de bien latre C soni de ptiis remoris contenus dans u double tui transparent , cartilagineuxis elastique. 'exirmite superieure de Petui exterieur est sum montee 'une tete arrondi contourne de faςon γ'elle Couvre ne uvertur destine a lausea sorti te parties rem sermεes dans interieu de Petui.

CE parties soni une vis unissore, uri barilletis undisubstanc novis e. I A vis occuperae haut de elui , auque esse fient par deu liramens Le polanis te harisiet soni places a milieude e meme tui. La sub me ponete e en occuperae bas.

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microscopi plus reculeus de la creatio sensibie, si laciaison ne nous per-qμφΤ suadoit austi tot que e plus petit globule visibi de liqueur

seminale est e commencement 'un utre univer que Diniani petites e de se parties , et hors de a porte de nos meilleur microscopes. ous admirons es globes immenses qui oulent majestueus ement fur nos 'εtes; nous eludionsave sol les courbes qu'il decrivent; Ous calculon leurcours nous recherchon leur veritable figure nou mesurons leur grandeur, nous observon leur phases que sera te physicie qui tentera ces differentes operations sur es globes, infiniment petits , qui oulent dans es liqueur seminales Qui nous tracera es courbes infiniment artees qu'il de-

crivent Qui nous signera es tot de leur mouvemens de leur revolutions 3 Qui penetrera leur Veritabies glires la aiso de outes leur apparences Qui percera cettenuit profonde; qui sondera et abim ou la ature a se

perdre uelle intelligence compare 'un coup 'oei lasphere de Saturae, celle u globule qui age dans a Lqueu seminale u irones Cette intelligence 'habite Ointsu la terre te te est a demeure. lle connoit e nombredes tolles fixesis elui des mondes qu'elles clatrent. Esse

sest combien Ie plus petit globule de liqueu est conten desbis dans te globe enorme u solestaburius, preci que 'M Onn des dernieres experiences qui

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mune u vegetauxis au animaux, compose de particules Ozanique vivantes, primitives, incorruptiblesis oujour actives L mouvement de des particules eu etre arret partes molecules las plus grossieres de mixtes mais hs u'elles parviennent a se degager , elles produisent par eur reu-nion, les differentes speces 'Etres organises qui figurent dansle monde.

CETt mattere repandue a tout , serto a nutritionis a developpement de out e qui vi ou vegete .cm L surptus de ce qui est necessatre ou produire surptu descet esset, est renuoye de outes e parties du corps, dans u ' . 4' ,

reserves communis i se forme en liqueur. Les organes de tenvoye ala generatio sont e reservoir.

CXIV. A liqueu seminale contient outes e molecules Liqueu se analogues au Orps de animal ou du vegetat, vivant qu'elle trouve ne matrice convenable elle produitis petit terieut Gl Etre eniterement emblabi au mule interieu doni es mole bules λψμ' cules falsolent partie. LoRsuu ELLE ne uouve potnt de matrice convenable elle produit es tres organis es , qui soni es corpS OUVans& vegetans que Don volt dans es liqueur seminales de animaux, dans te infusion vegetates Ou animales. TouTE les substances organisees cienserinent donc ne grande quantite de cette mattere productrice , comm O le

vans.

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CHAE P. Vii laus a forme de corps mouvans , ausit gros que ceu destiqueur seminales mais qui a messire que a decompositionaugmente, diminuent de grosseuris acquierent plus de mou- vement, enfin deviennent imperceptibies quandri mauere qui est en infusionis acheve de se corrompre I sui deati, que e pus des lates est out compos deces petites parties organique qui sont en rh grana o

CXV. CETTE mattere productrice se trouvant Membleedans queique parti de animal 'o elle ne auroit 'echap- per I forme des tres vivans , et que e Tania, es allic rides ocius les Vers qui soni dans es eines, ceu M'Datire des lates umu'on trouve dans es chair corrompues, dans te pus, C. CXVI. Es molecules o corps mouvans doni ii 'agit soni ou developpes dans te liqueur seminales, ' manufestent tres-promptement.

DAN toutes es substances vegetalesis animales, a m tiere productrice paroit ous a forme 'une vegetation, par de filamen qui roissent, 'etendent, par de boursoufie- mens au extrεmites de ces lamen , qui venant a se crever, donnent passage a ne infinite de corps en mouvement te est e Foetus , qui dans es premier tem ne ait que

CXVII. AiNsi ceu mattere organique animee, universellement repandue , fert hcia nutrition a develo ement raciae reproductio de oute les substances vegetales, animales I acia nutrition , par ne penetration intime de cette mattere dans outes es parties du corps de animal ou du vegetat

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. parties encore asse ductiles ou se onfier .s tendre, equi 'est qu'une spece de nutrition; reproduction, parcia surabondance de ceti m me attere qui est renuoyee par chaque partie u corps de animal ou du vegeta , c quietant destine a nourri cette meme partie , tui est par consequent pari attement analogue. L nutrition te develo ement e la formation 'un nouvel εtre organis sontes produit 'une fore inconnue, qui commecelle de la Uanteu penetre oute a masse, mais qui ' riende commui ave te forces mechaniques. L lo fondamentale de ceti force est, que les molecules organique qui on te plus de rapport enlr'elles , 'unissent plus troilementi A1Ns dans te commerce de deis individus, a liqueur itefourni te male se Me ave cesse que fournit a femelle , ces eu liqueurs 'en forment plus qu'une eule Les molecu .les analogues o correspondantes de ceti liqueu tendent a serapprocher Q. 'uni e vertu de leur rapporis. Et commeces molεcules Ont et renuoyees de differentes parties de cha-que individuisu elles se sontiou ain dire moulees, elles O servent dans la liqueu seminale, ne dispositionis representerces memes parties. lles forment don dans a matrice destout particuliere, 'o resulte te out generes ou Embrion LE Corps organissis doni oute les parties soni formees de particules organique , qui ont en petit a meme forme exterieureis interieure que celle u grand coxps , sunt euXdontra λproductio est a plus facile, a plus abondante. C son au te corps te plus simples Le olype est forme de a repetitio de lusieur particules organiques, qui lant

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L'origine du

DAN l'union des exes si es moleculas que nous fournit, te male surpassent en Ombreis en activite celles que fournitia femelle , embrio qui en provient estis male is recuproquement. DE-LA , I resse aiblance plus ou molns arqueo des enfansa per o a a mere. De la les apporis plus ou molnsur chain des Muleis au individus qui on conco leur fora

mation.

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Coκps ORO AN Is fi syque les femelles etant communemen jus petites , plus sol-bles, mangeant molns que les malas, es molecules organique γ'elles laurnissent soni in plus petit nombre. IX. Es grand animati soni molns seconds que les petitsci a Misis , Hsipham c. soni molns seconds quela Harens, te Rat, c. La aiso en si apparetrament, aeti faut plus de Murriture our entretent in grand Orps , quepour en nourri u petit , que proportion arde , ilis adans les grand animaux beau cou molns de nourriture superflue qui uisse deveni semence, 'i iis en a dans te petita animauX. Ceu ci soni oues 'orgines plus fin iis extralent alias molias de particules brutes plus de particules organiques. Abellis qui ne se nourrit que u succi plus delicat de fleurs, extrale plus de particules organique que les evat, qui se nouuit 'herbe les plus grossieres. LE PODom couveris recasiles, multiplient incomparablement plus que les Naiarupedes couveris de posis Cela vient 4eu eue de ce que les caules diminuent plus que ps posis ev .cuatio qui se ait de lac nourricier par a transpiration; que a surabondance des molecules organique qui en est une fuit , favoris la multiplication. CXX. EL sonicies principau traiis par estqueis 'a tacite de caracterisse te nouueau system fur a generation. e sensque e poliat de ue ne tui est a favorabie. Ces differens traiis ne forment pas u tout asse lie, asse harmonique , ni esse facile a salsir. Je pri don ceu de me Lecteur quivoudron s'en fatre une ide plus juste, de consulter ouvrage meme Iis seront te dedommagε de a longueu de cetiplecture par les agremens duinyle, par te grandisombre doctiose interessantes qui ' trouvent repandues.

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4es de ce uer nesci ais qu'iis soni formes de la reunion 'un nombre determine de particula ordaniquρ , vivantes , actives , indefrutatotes Ces particules ne sont en esses-mεmes ni getau ni animaux mais elles soni propres a compose des emtaux de animaux Ce soni de materi.ux destines h la constructio de ces differens edifices. a main invisibi qui me cesmateriau en euvre est une force secreties, qui, comme celle

de la gravite, penetre les masses, mais qui 'agi potnt par impulson, commerae forces mechaniques. Suivant e lieux les circonstances dans tesqueis ceti force exerce son action, elle proditi des tres differens dans la matrices, 'est v en bryon dans las intesins, 'estis Tania dans la eau 'unPoldipe, 'est un obperi dans recorae 'un arbre, 'est une branche, o u arbre en petit. Les memes particules organuque qui forment Petre organisse, urnissent a si nutritionis ason accrassennent. Portees h outes se parties, elles ' arra gent, .s' moulent 'une aniere relative aria forme de cesmεmes parties. Devenues surabondantes, Wrenvoyee au Or- ganes de la generation , comme a n reservoi generat, cesparticule conservent ne aptitude a represente en petit les parties doni esses proviennent Mais cette representatio nesauroit se fatre que orsique les particules organique se tro uvent placres dans un te convenable .cerale est la matrice. h, te particules destinees a forme les organes propres ici'un dessexes, soni te premieres , se eunt taces organes soni , ourain dire me centre u a base de out redifice. Les utres particulas destinees , representer es parties communes auxdeu sexes, Viennent ensuit se ange consequemmentis leurara oris la force qui agit en elles Telle est en generat,l'origine de muscies Corps organises Leu decomposition nous laisme apperceuot les elemens organique qui es compo ientilis se montrent dans es infusons ous a forme de globulas

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suo augmente.

celat de germes. XII. Ι auroit bien de reflexion a stire fur e systhme. Des particules organiques, vivantes, actives, communes auxvegetaux Caucanimaux, qui ne soni cependant ni vegetalm animal; ne force qui 'a te de emblabi , impulseon unmoule exterieuris interieur, ou es particules organique Vonis mouler, χ'o esses Ont renuoyees a uia depol commvn,pou representer ensuite e moul en petit de rapporis en vertu desqueis es particules se reunissent our forme un out organique ce sonicia de supposition ave lesquelles ilis est fas facile de se familiariser. Je 'insistera cependant a la- dessus Ce ne soni peutaetre que de dissicultes pluto que de veritabies objections. Je me contentera de appelle espritiae me lecteur petonnant apparet de Ibres , de membranes, de aea iseaum, de ligamen , de tendoni, de Votis de ner 'de eines , Paneres , c. qui enirent dans lae composition dui corps uti animal. e les prierat de considerer attentivement la structure, es apporta me e de ovies es parties. Jefleu demandera ensuite, 'iis Onςonent qu'un toti ausi compose, ausi lie, ausi harmonique, puisse ire formi par te simple concour de molecules ues ou dirigees vivant certaines loix a Nous inconnues. Jecies prierat de me direci'iis ne sententiointila necessite o nous ommes 'admetire que cette admirabie machine a te 'abor destine eo petit parcia meme main qui a trace te plantae runivers. ou moi, 'ovoue ingenument quLeprincipalam

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plastiques.

contre les; item desnuilectiles organiques.

Des philosophes plus eclaires, plus prolandoque les am

ciens Ont oin acia mattere ne me ou ne vertu plasique, charge de organiser. Il ont pense que les Vers u corps humain ceu qu'on trouve dans interieur de plantes elotent uso ette vertu Ces philosophes tolent bien res

nouueau systε me , on demanderoit, ' Comment les particules organiques, suppos es inasterabies, periventistre moulees a'. Comment e particules etant renuoyees de ovies es parties

qui on pris leur parfait accrois semen , ' ayant poliat et admisses, y ont ourtant pris de formes propres a represente en petit ces msime parties 3'. Comment les individus qui proviennent de accouplement de deu individus 'espedes o de formes essentiellement differentes, ni des organesqu'on ne trouve ni dans te pere ni dans a mere ae est par