Oeuvres d'histoire naturelle, Volume 3

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organisse, soni formee les unes pres le autres Dan le ouist, par exemple, observe pendant les premiers our de im pation, te coeur parot exterieur a corps de 'animal d'une forme tres-differente de celle qu'il aura par a vite. Μά1 la olbiesse de ceti objectio se ait is naen sentir. On eut juger u tem o te parties 'u Corps organis ont commence 'exister, par celui ou elles ni commenc de deveni sensi1bles. O ne considere potnt que e repos , a petitesseis a transparence de quelques-unes de ces parties Peuvent nous es endre invisibies, quoiqu'elles existent reel- Iementi

Refutationdes consequences queles partissens de re Scire tirent des observations

fur es moyens qu'elle a juge a propos de choisir. Je trouve eici. ce systhme ingenteux. I me paro1 seulement, que elui quietahlit que les Corps organises on existe originairement en

ajoute acla fi de ce Chapitre cles preu-ves le plus directes cles plus demons trative de la faustate de molaciues or-siamiques. Et comine te sistenae doni ils'agit, repose principalement fur rexistence de ces molaciales , es reuves

qui demontrent leur non-existence Gmontrent par cela meme la Dusset dusystem auque elles servent de base. Une ut mepris , facile a reconlabitreri volt donne naistance a ringenteux

Roman.

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petit dans es germes is que a generation 'est que te commencemen d developpement de ces germes , est ut systeme

plus probabie, plus facile a salsi , oujet a molns de distacultes ouis inconveniens

possibille.

ii ieie de u qui te emboite les uias dans es utres Ces eu hypotheses εἰς on chacune leur probabilite : mais it ne aut a supposier unemboitemen a infini, te qui seroit absurde La divisibilite dela mallere . infini, par laquelle o pretendroit outent cetemboilement, est une verite gometrique, Quia erreur phy- sique Tout corps est necessatrement fini; outes se parties soni necessatrement determinees: mais cette determination nous est inconnue. ous ignoron absolumenti uel soni te dernierstermes de a division de a matiere 'est cette ignorancem eme qui doli nous emphcher de regarde comme impossibie penueloppement de germes es uns dans es utres. Nousn'avons qu'a uvri tes eu promene nos regard autour de nous, our uoi que a mattere a te prodigieus ementdivisee. 'echelle des tres corporeis est echelle de cette Lvision Combien a Mo sitire est-elle contenue de Dis dans leCedre, a Mitte dans Elephant, la Puce seau dans la Bahine uia grain de subie dans te globe de a terre u globule delum iere dans e Sollit 3 n ous prouue qu'une iace forseuteire asse solas-divise par rari humain our forme u fit de quatre-vingi a cent heues de longueur ID: on nous montrea microscope des animau doni lusieur milliers 'egalent pas ensemblema gros eur dia plus petit gratia de ousae res ons ait cent observations de meme genre is nous traiterions 'ata

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de la thεori des enueloppemens Ilis a plus, ora Observe, pou aliis dire 1 Poeil, et nveloppement On decollure dansim ignon 'Dacinte usque a la quatriem generation. Et equ'il de tres-remarquable est que les parties de la fleur soni cesses qu'on distingue te leu dans la troisieme, quatriem generation te volume de ces parties parot incompara-hlement plus grand que elui de olite les utres parties pris esiensemble s).

m jugeon pas de a mattere uniquement par es apporis plus ou molns prochain qu'elle a vec Otre corps. vitons de nou servi de cette mesure Des Homines doni a taliten'excecderoit a celle de ces animau qui agent dans te infusion , concevroientieut-εtre , plus facilement que nous rem-bo1tement donici est ici question lis serotent en queique sorte, plus res de ceti region anfiniiment petits. CXXVΙΗ Ρου moi 'aimeo reculer te plus qu'it 'est possibi , es ornes de a creation Ie me lais a considerer ah;s ceti magnifique uite 'pires organisses, enfernie Comme au- : ' iid ' tant de petits moiades , es uns dans es utres les vois ὀJhἡ- s'eloigne de moi par degres diminuer vivant certaine pro tement. portions is se perdre enfin uias ne uit impenetrabie Jegotite ne secreti satisfaction a contemple dans u gland legernae 'od a1tra, dans queique siectes, e Cheli majestueux a pombre duque les Oiseau de Patris es etes de chanapsiron se rejovir. 'a encore plus de laisi a decouvri dans te sein 'ΕΜ1L1 le germe umeros qui fondera dans queiques milliers 'annee u gran empire , o pluto celui 'un hilosophe qui decouvrira alor a mondes la cause de a Uun-

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SUI E is teur, te naystere de la generation la mechanique de notre

oeres dans parties de lamature, ne 'offre pas u spectacle molias in- i. .' teressant, quoique dans un out uire go ut Chaque Corps ommination anile se presente a moi, ous image 'une petite terre, ouj'appers ois en accourci, oute les speces de plantesis ' nimaux, qui s'offrent en grand sur a furface de Otre globe. Un Chene me paroit compose de Plantes,''Infectes, de Coquillages, de Reptiles, de Pollions, 'Ofeaux, de uadrupedes, 'Hommes meme J vois monte dans te racines de ce Chene, ave les sucs destines a si nourriture, de legion innombrabies de germes Jecies uois circule dans es differens aisseaui, se logerensuit dans Pepaisseu de leur membranes ou les augmenter en out sens Je les observeci'arrange lesin a cote des utres, ouci'entrelacer te uns dans es utres, forme aliis de petits edifices qui appellent a mon sprit, es tranges monumens quela superstitio Americaine eleva vires is, en honneu de sesDieux, ωquii'etoient construits que des Etes des animaux'u'elleleur avolt facrifies Les venis, es plutes la chaleur te roid &c venant fondre our a tour surrae Chene , triomphent enfinde a force, de a vigueur vois te alimen crouler, se reduire en uia a de oussiere Les petits Etres organis es quientroient dans a composition , superieur a Outes es atteintesson micalor en liberte δε se repandent de ovies paris. Je continue a les suture, les uois renirer biento dans 'autres composes organique deveni successivement Movehe Li

Pair, reau la terre ne me paroissent qu'un amas de germes, qu'un vaste Tout organique. SAisi 'etonnement ara ue de ceti circulation perpetuelle

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ea reserve dans tous es corps , e contemple ave delices , LRAP Vul. cette conomi merueilleusis. J vois es ecies 'entasse tes s su les vires le generationsis'accumuler comme les flois de a mer sans que e nombre des germes empIOyes acies laures , diminue 'une maniere sensibie a masse organique qu'il composent L dernier potnt de ue laus eque je viens de presenter I system de germes, paroitroit te approcher beaucou duhstwme de moticules organiques, si e 'avolsia defini e que j'entendis pariles germes is si ela'avois pas indique la manterdidon on eui conceves qu'iis enirent dans a composition

Illusion αL decision de ceti question 'est a lacile Ella depen e .indied'une connoistanc exacte de la nature de ces globules,' an te in Cette connossiances, nous ne sommes a prε de acqueris surd. 'aim. Placέ hisne si grande distanc de ces petit corps, ourvus labiesd'instrumens avssi imparfait que te sontisncore nus microscopes 'Ilais udis Coninaen atteindrions-nous a uetque hos de recis fur e des opinions

sentier decla verite ne sontias nombreuX. Des mouVemens plus aison sexo moin foris, plus ou molns aries, plus ou molns oute *Mx nus u fluide ou es globules agent; ne evaporatio plus 1 it e qui me rariasibi si diff-cile quand rectivois ceci, tot pourtant asse iaciles mais e 'avois garde de te seupsonne , parce que e nepouvois me persuade , que outes es experiences que , a rapporteea aus leChap. VII, eussent te mal nites, stque ous eur resultat ne reposessentque fur de apparences rompeuias Cependant, on entrevoit asse par coque e dis dans te reste de articie

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ou moin abondante, plus ou molns accelere de ce uide une decompositio plus ou molns prompte, plus ou molns graduelle des particules uia i plus ou moin pur, plus oumoin actis; ne illusion 'optique plus ou moin dissicile a

reconnoitreis a revenir que sals-je encore Dun fluide trεs-actis qui penetreroit a mallere seminale ou celle de rinfusion&donicies mouvemens serotent representes par ceu de globules; tout cela ourroit nou seduire, Cnous fatre prendre appa

CEu qui observerent les premiers, es animaux DemiatLque , se persuaderent biento la verit de leur existences,

trἡs-spontanes O nous es a depeint nageans dans la gouite de liqueur, comm les Oissons dans ocean o notis es afait cir 'evitant avec adresse , es uias es utres dans leurcourse rapide se detournant a propos, ave precaution; s'elevant Dia sursace de laesiqueu si plongeant ensuit avec impetuosite dans son sein On nous a represente leur figure commeressemblante a celles de Tetari on eur a doniae ne grossetεteis ne longue queue Enfin o a te usque a latreuoirpespece de me.amorphose que es Vers devolent subir our deveni des individus eis que elui dans a liqueu duque ontes observolt. AulouRD'Ηu tous es ait soni suspects ou equivoques; Dedifice quyon volt eleve sur es fatis 'est qu'un palais enchante Les animaux Dermatique soni devenus de simples globules, san aucune partie distincte La longue queueriu'on donnoit aces animaux ,'est que te reste 'une enu eloppe donicie globule cherche a se degager, ou 'est uia sillon usi trace dans 1 liqueu par impetuosite de so mouvement. nfiis, es globules ne dolvent ubi aucune metamorphose; mais p euvent se reunir

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tivon meme et sprit usque his certai potnt. 'est ouvent ne rhs-bonne lunette , qui nous ideo decouvri des objet fori eloignes. ais il est de ces lunettes doni es erres soni defectueux ou mal disposies. Les unes auginei tent prodigieusemen ta grandeur de objet , 'autres la dimiament excessivement Les unes changent te flagines, 'autres.

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Vous ous connoisse en verres. hilosophes ne corrigerie

animaux On ait qu'il est lusieur matteres donicies partu cules constituantes affectent ne figure spherique On connostles globules des etamines o controit aussi te globules dusane, ceu de la graisse Les globules de liqueur seminales ceu de infusion soni eut-etre u menae genre u 'ungem analogue Les mouvemens intestin de la liqueur, oinis au autres causes que 'ai indiquees dans artici precedent, peuvent donne , es globules unoi de te. Et si es globules diminuent de our en Hur de grosseur en augmentante nombres, 'est que a decomposition de a mattere ause mente a chaque instanti S'1 existoit dans lamature unisuid organique u fluide destinera perer a nutritionis te developpement des o sorganifes; si actio des ais hau se ornoit principalementa extraire e fluid des matteres alimentatres , e prὸs comme te Dottemen extrait a mallere de electricite descirps Iehiques on Ourroit supposse que les globules doninous pations , soni es parties constituantes de ce uide,

dontes portion a plus subtile e la plus agissante composeles liqueur seminales. n ourroit encore conjecture qu'ilest ne forte attraction enue e fluid Qtes differentes Lpeces de Corps organises. UNE emblabi attraction Ourroit ire admis entre es germes, Centre ce--ciis es Corps organisses. Dan celiqsupposition te globules doni nous recherchon la nature ne serotent qu'un assemblage de germes te les uns auX

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x is a conjecture que e formois

ici a te pleinement verifiee, te des annees api Es, par u habile observa-

teur, qui neci'en laisse pas impose pardes apparences Voye la note qui esta la fi de e Chapitre.

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plus multipli ou e plus diversifi : animal est e lien , locentre, la fi de oute les parties declamature., ' A.' CXXXII. Ais si es globuIes de liqueur seminales,

xion sur a ceu des infusion soni de veritabies animaux, quelle est eurΡ'xv ς naturei velle est leur maniere de naitres, de se nourrist, de

Remarques

uinale idees 'economi animal ont te 'abord rhs-refferrees Ules ne se soni tendues que lentementis par degres , cominetoutes nos utres connois lances Avant qu'on ut observe lamultiplication des Insectes de boutura, celle sans acco le-ment, o disiit que animal se propageost par de oriri , upa dea petit vivans, que cela toti oujour precede duconcour de deu individus de differens exes Cette divisiondes animau seroit aujourd'hui rhs-defectiaeuse Elle ais eroite arriere nores grandisombre 'especes, qui appartiennent incontestablemento cere classe 'Etres organisses. Apprenons don parcia, a ne a limiter a ature, o concevoi de plus hautes de es de son immense variete. Ita Polype est eu Etre molns eloigne u inre , qu'il ne est de animau que nous herchon a conno1tre. ni mot, nous ne avon potiato ii commence animal nous favon seulement ou i finit, eque Honime est te terme te plus leve de ceti magnisque