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d'une plus grande Energie is elleis exerce son activit jus prodis ierque dans les moindres parties. En quelqu'endroit qu'si coupete olype, uelque petite que soli a parti M'on retrai che la reproductionis heu ordinatrement, dans cette pyrtae .dans le tronc. Un olype ache se reproduit paretilement,& donne aulant de olypes que la divisionis ait de portio Cules Enfin M. OEZEL , on Observateu , assure qu4 a vules bras ta olype divise , deveni des olypes complets. KTREΜELEY avolt cherche a voir e fait; il ' avolt pas reussi,
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chaque molecule, cliaque atome ten continuellemento pro- duire. Il est, our alias dire , to ut ovaire , out Germes Ennaeitant uno olype en ieces , on detourn au profit des Germes caches dans chaque portioncute , te su nourricier qui auroit et employ a Paccroissemen d Tout ou 1 'autres
CEci 'a a be in 'explication prε ce qu'on a tu dansles Chapitres precedens surcies reproductions de Vegetaux, fur celles de Vers que 'at multiplies en tes coupant transvem
salem ent; e passe don a 'autres fatis i icomment CCLXV. 'Εs une sola indifferente a a reproductio du
usage de la remarque fur laquelle 'aibeaucou insisti , dans le Chapitre I dela pari. IX e la Contemplation de la
ture sevoir, qu'il ne aut a borneria signification du mo de Germes, a xprimeri Corpuscule oryanique qui ren- ferme aetvellement tres. en petit, outestes parties qui caraeterisent Espece;
niat qu4l faut encore etendre celleigni. fication a toute reformation organique dontis Animal petit resulter, commede so principe immediat. Il doli suffrea but qu'on ε'est propos dans cet Ou-vrage , que les Di de la multiplicationsolent oujour constantes, quoique tres. differentes dans es differens Ordresd'Animalite. Ain si ii ne laudroit pasComparer, omnie e patriait dans et Attici CCLXI , a regeneration dupolype coupe transvel salenient , a celledes Vers 'eau douces, doni ii a te
questio dans le Chapitre X decla premiere partie L polype sui probabiemen d autres Oic a peine une portionde Insecte a- ellelat coupe , qu'elle est e etat de devore se prole. 1l sem-ble que a faculte de devore reside actuellement dans out retendue duboya qui forme e corps de Insecte. li 'en est a de Eme des portions
de Vers d ea douces elles ne peuvent mange que torseu'elles ont acheve derelaire une tete qu on observe dans cette regeneration , paro1 differer
beaucou de ce qui se passe dans lepolype La maniere donicie 'etois e prime ici fur cessuiet, n'etoitias macte, parce iselle laisset entendre que te polype repousAit ne notrueli tete a lala on de me Vers 'eau douce is ceu'est potnt cela. Je me suis hien explique la-desius dans le Chapitre de la Gm templatio que e viens de citer,is dans
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marque de cicatrice Tout cela a si vate , qu'ilis' pas et lunoeuc possibi hi TREMELE de sciure les progres de ceti reg&neration a bout de trois heures, i a v le olype regenere prendre de la nourriture la tete 'etoit reflatae mais elle 'avolt que a molli des bras qui volent appartenus . ancieii Ρolype. De nouueau bras ne tarderent pas a Gusseris Op
Golou des eu persans meclaires 'aienti decouvriptoUt e qui se passe dans la reunion des ords 'une molli de Polype partage vivant a longueuc, on eui an preMmption, prcher a se stire une ide de la maniere doni cette reunions'opere Au on , esse 'a de surprenant que son extreme promptitude, elle revient 'ailleur mur essentiet, a cello de deux corces o de deux eau qui vegetent encore. Uncertain degre de contraction, o certain motavenaen de Insecte, euvent sussire our approcher rui deo'autre les bordsopposes, meme our en procurer te contact. Des que les hord de la late seriouchent les aisseau correspondans 'a-houChent de nouueau vaisseaux a se developpent, comme
c qui est propre contenis , a prεp rer ouis transmetire quelque liqueur Sc. a comparatis avecta gresse veg tale ne doli pas ctre tro presse , &Ῥοα douisse de analogi ave retenue.
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xplicationde Hidres, de la maniere donis forme un
bouchement Me cour de liqueurs est relabi , c ave Iv1peconomi vitale Dan un Insecte , qui 'est resque qu'unegete epaissie, es bres on tant de fouplesse , ni de ductu lite qu'ilis'est pas tonnant que de plates enormes ' consolident fans cicatrice apparente. I ne est pas avantage que laconsolidationis sol trἡs-prompte cie tenas u developpementrepondent a la delicatesse des organesci plus iis soni delicata ou extensibies is plus te developpemen est prompt i).L'element que te olype habite, contribue encore aes rapidite de accroissement, en conservant aux fibres leur extreme Qu-plesse. CCLXV1 C que e viens de dire 'applique facilement auxHydres doni 'a parte, Article CXC. Si ne portion de Ρolypecoupe en partie vivant a longueur, conserve asse de largeur,pou que les ord opposies uissent se approcher usqu' setoucher, cette portio prendra biento la formela'un tuyau, ce tuya deviendra n olype. Mais it 'en vasa de meme de portions fori troite o de tres-petit fragmens: 'ai di d'apres M. TREMBLEY , que es portions o fragmen se renflent, que interieu duoenflement est te nouvel stomac a).1c pol ne eul pas out voir il laut ouvent se contenterd entrevoir. 'ai asse prouue que lamature ne cree rien esse ne cree don pas e nouvel stomac mais Pon comprendque la ea du olype eut 'etre a simple mu'elle eutetre compose de deu membranes principales donicia duplicature fournit a nouvel stomac Je ne sat pa precisementpourquoi es eu membranes se separent dans de tres-petites portions, uourquoi elles ne se separent pas dans de portions plus larges: 'entrevois seulement que dans cesse ci, tes
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horas Oppossis se approchant promptemen . ces membranes ηε' peuvent wavoi ni te tem ni te moyens de se separer Dansle premier cas , les chair on des potnis 'appui qui eurpermetient les mouvemens necessatres ara reunion des ords; dans te secon , elles en soni depourvues la cause qui opere la separation eui agis. 3 ignore quelle est cette cause, je ne hercheloint acla penetrer si me suffit que ce petit fati ne choque potat me principes. CCLXVII. Es ramen de Polype , devenus euX Ἀεmes des olypes , nous offirent une grande singularite: e qui ommoti interieu de ancien stomac , compose a present ne parti de exterieu de Insecte: car u de cotes de chaque fragmen apparienotio interieu de ancien olype. Le d dans u olype est dono si emblabi a dehor , qu'iis euvent tre substituEsau aci'autres, an que les fonctions vitales en ouffient. I regne don heaucou de simplicite 'uniformit dans te organes. 'observation , comme experience, conduit a ce resultat: e rai deja remarque , valde des metuieur microscopes, o ne volt dans te olype qu'un amas de petit grain repandus par-tout Sans dout M'ilis en a encore dans out Pepais leur de la ea . dans cette duplicature qu'on eui oups omer inan o connos ceti structure, qu'on ait e qui arrix au fragmens du olype , onis'est plus surpris v succὶ de ce retournement que 'ai εcrit dans PArticle CCV mais o ne cesse potnt 'admirer te Eni quia conquis execute te premierisne operatio si neuve is delicate. Le olype 'etoit pas appelle par a Nature , treretourn .deret me, mais it toti ait de maniere γ'iliou- volt εtre Son organisation tot en apportisve differens caspossibies, doni lusieur suppos ientes main de Homme.
Grande si gularitεqu'offreniles fragmensdu polype,
Consequen-ce relative hi strueture de insectecti son re
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peu εtre γ' leur consistance resque gelatineust. Des partire solides de Embryon, des Digis, par exemple s 'unissent dans la matrices de fruits , des euilles encore tendres, 'unissent paretilement. II est dono rhs-nature que les portions du-εmeΡolype, Qque des portions de olypes differens, approchees mises bout a bout se gressent les unes au autres par approche. Un olype ne differe apparenament a plus 'unautre olype , que l. runier ne differe de Amandier. 'ai prouue que union de a grasse ave te Het; 'opere par ledeveloppement de petits aisseauc χ'abor gelatineu , uis herbaces , ensuit corticauc, qui passent reciproquement de run a pauire. a te de presume qu'il se ait quelque chose 'analogue dans es portions 'un o de lusieurs Glypes, qu'on force a se oucher Elles neci'unissent 'abor que par unis deli , mais union exient plus intime, plus par- fait a mesure qu'il se developpe de nouueauu aisseau , que les Oint de communication se multiplienti e ait 'est pas plus mervellieu dans Animal que dans te egeta carte olype est presque ne lante, pares simplicite de s stru ture Esse est 'ailleur telle, que des portions de olype pruses h volonte, contiennent, comme u ramea Ou ne Duille,
tous es organes essentiet a la vi vegetative. Res euventdonc vegetera pari, faire de nouvelles productions Isolees, elles Ousmroient ne tete, des bras, ne queueri mises bout a bout elles ne soni que 'unir La mollesse de Insecte rendmenae ceti greste molias singuliere que celle du egetat maison tot familiaris ave les gresse vegetales Won ne Petoit pas encore ave les gresses animales.
Commenton petit conis cevoi ques'opere ru-
CCLXIX. Es vesant ne prole te olype vale s ventses propres bras queiquefol deux olypes se disputent lamεme prole un vale es bras de pautres; on 'attend qu'il vont tre digere ave la proieci potnt du out iis resso tent de restomac sans alteration apparente Ce qui opere
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digestio dans te olype, ae donu pas de pris surries partia ' et T
d 'ope exteri r Je ne aisonne ici que surrae fatis que nOtre excellent Observateu me fournit, & e ne dois a tirer de es fatis, des consequences que tui εme,' pas se irer. Ainsi, e me tornera a faire observet, qu'm admetiant lacie lit de l'union don siri'agit, esse 'expliquero, heureui ement par te principes que nous omen divers fatis analogues Cetteripece de gresse en fiat ne differe pas extremement de celle
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CHA P. II. Apprecia tion des merueillead Polype. Questa regeneration des plate des grand Anu
thie 'un Animal surcie tronc 'un utre qu'illa introduit unAnima dans interieur 'un utre Mimal. que es deux Animau nyen ont ait qu'un , qui a vecuis multiplie te mer- veilleux 'empare de 'esprit', a potnt qu'il ' reste a deplace ou de explications simplesis naturelles Cependantishsqu'un philosophe examine de sanchol le falas, qu'il les compare enlr'eux, usi te compare aux ait relatisis, Wiuotout, dE qu'il reflechi sur a nature u olype, te mervellieu disparost, Mi ne reste plus que impressio passagere de la nou-veaute Je ne dis possit ceci ou amotbli la juste admirationque les Polypes dolvent nous inspirer, non Our euX-εmes,mais our 'etonnante sagacite de elui qui nous es a fati contro1tre Les grand Animaux nous offrent de particularitesqu'un Anatomiste instruit jugeroi plus emarquatae encore quecelles que enferment les Polypes. Je di is ilis a reige ansdans e Parallela de Plantes de animarix, que e publierat .peu Etre n our i), que s ton poussit les redherches sur uspiates, o I de uvri it plus de memellis que dans te obpe Jefondois, reflexion surcia compositionis surcia variete des pamties qui euvent se regenereris 'unir. 'ignorois Mors ne
O 'Ieci'ai publie en x 6 , dans a Partie X de la contemplation de Ia
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,mbera un oulet Cavoi donne a ca testem de se former, illa couperies chair vi , is, dans uitier de la circonferencede laciambe , en penetrant usqu' Pos, qu'il a me ratisse. La consolidation 'otant falle, illa coupe de mεm les chalas dusecon tiere, en anticipantis petasu Pancienne late. I enisit aulant dans auire tiers. ar-la, oute les parties solides t ouffert une solution de continuit , ourtant lamaturea repare e gran desordre outes es parties se soni regen&rees, euntes, gressees de nouvelles bres, de nouueaux ais.seau se soni developpes au-dessus, a demous de incision iis se soni abouches la circulatio a te retabile, injectiona passe librement 'un bout a Pautre de la ambe. 41'on, dite n e ceti experience , qaeon reflechiis surrae non, bre de eines ρ arteres, de aisseau lymphatiques, de iures chamues, tendineuses , musculaires, qui on de se reproduire, croitre, se reunt Pon conviendra, e 'assures que lacio
gSneration de tant de parties semiliares est plus remisquabio encore que celle u olype, doni outes los parties soni res que similairn. mi indique en plusieurs endroit de ce iureice qu'on eu pense de plus aifonnable sus a maniere donices sortes de reproductions 'operent et consulte en particuliop
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es AP IL ce u elle offre de plus singulieris de plus embarrassant. Cetermi, qui n'estias plus gros qu'uia grain de Chenevis, quandisti Pinsere dans la duplicatur de a crete oupe prendo
cine, .cres en si mois, de demi-pouce Au out de qua tre an , si devientisne corne de trois a quatre ouces de lon, meur. 'expression est exacte; 'est ne Eritabla corne, se . blable . celle duraceus, qui a comme elleis noya osseux. Elle parvient a syarticule ave la Et par u ligament capsu. laire par diverses andes ligamenteuses. Mais e ligamentri es andes 'existent Oint dans ergo ni dans la crete la plus fine Anatomi ne peut lesis retrouver. En conclurons nous que la Nature Me es nouueau organec Je ne lepens pas, esse ne cree in te bourtet de gresses, ni te cannici pati de s crevisse, ni a tete du olype , c. ous ad- metuon plus volonuers, que es organes preexistolent invisi-hles dans pergo dans la crete, ais avectae determinatio differentes de cesses qu'il ont eques de a gresse La in estpour ergo un terreri te different de elui ou si tot appelle a croitre. 'onis'ignore a combie la qualite de sucs, eur abondance u leur dilette modifient les productions Onsait encore Θ'une legere alteration qui uolent . de fibres te, dres , porte surri te la dure de accroissement, suffitio change les formes, es proportions la consistance La substanc corne deI'ergo se hiant ara Iubstanc chamue de lacrεte, peut doniae naissance a de nouvelles varietes Le itad'un ergo imite asse celui 'une corne, si la rhae est chasenum, combie de parties molles qui s'ossifient par accident Conia hien de monstruosites qui celerolent eur origine, si v exm me attentis ne la devotioit Oemici,ne monstruosite par arti