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enu'eux, tablit dans e out singulier, ne sorte de commu- naute de sentimensis de elains. 'εtat de lamere influe surcelui des etiis, aetat des etit fur celui de lamere, c. CCXC. LINfEcet qui est labor Chenisse, ut Chrysalide, mi Wenfin apillon , ne revε pas aulant de personnalites differen sectesqblate qaei revε de formes ou our 'exprime plus correcte metamo ment, ilis' a pas trois Mi dans a Chenille. On a V dans te in 'si x Chap. X de la ' Partie , quo se reduisent e metamorphoses Les lumieres que nous avon acquises surci physique duphenomene, nous clatrent surrae psychologique a Chenillen'est que te masque u apillon: c'est dono oujour la,me individualite Me meme mi, mais qui est appelle a sentiris 1 agi par differens organes en differens pεriodes de a vie Je ren- 'oieci dessus a mon Essa analytique surae facultes de tame i .
CCXCILI E ne eu que parcouri rapidement les particularites tesset deles plus emarquabies que renferme ce sujet. 'indiquerat Ies ana chRp xxς logies cies exceptions 'insistera un e plus su celle ci; elles soni de bons preservatiis contre les consequences tro ge-
De la secondation, de la genεration des animaux. Varietes qu'onis obferve.sbfervations fur quesque endroit de Histoite Naturali de M.
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CCXCII. ous ignorons ourquo rauTEu de Ia Nature elabi que a lupari de Animauis perpetuerolent parrae o cour de deux Individus J'at has arde Bi-dessus queique reflexions.'a a finis Chap. V de la Ρ' artie. J'etois eune encore quandje ais is es reflexion aujourd hui que ma aisonis euri, en'en has ardera aucune. our auoi sur e potat comme iurisne infinite 'autres, plus que de conjecturesis des oupςons, i faudroit que nous ustion embrasser 'une eule uera totalitedes tres Oest de leur enchainement que resulte e S eine Letierat, dans e system genera est. la rasson des systEmes
particultera Nous 'entrevoyons encore que quesque uns de ces
voi neanmoin se seconde lui-menae 3 ourquoi en emit une auire Espec che qui on observe une distinctio de exesis unaccouplement, qui multipli pourtant an te concour dessexes C sonta aulant 'enigmes doni nous 'aurons I moi, que orsique nous auron acquis 'autres eux, une Intelli-genc superieure a celle de noue etat present. En attendant, observon ave sol tout e qui est a notre portee. lus es observations se multipheront, plus nos connoistances 'etei drontis se perfectioianeroni. 'il ne nous est a permis encore de ire 'un bout a Pautre te iure de lamature , achon aumolns a tirer te mellieu parti possibi du petit nombre de pages qu'esse offire a notre examen Le seu moyen ' parveni est de se s uveni que nous 'avon potnt Iudex de cellure, Wque nous omines reduit pou ne as Ous garer, ,
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ti plus commune dans nos appartemens, Arme une exceptiontrhi remarquablera cette regie est me generale. Ici 'est la fe- melle qui introduit, e Male qui req0it Ροur et effet, e Male est poui vid)une parti analogue a celle des Femelles, claFemelle 'une parti analogue a celle des ales G tant i aptu a Aurgu de a Nature de varie les moyens qui conis duisolent acia menae n. CCXCVI. Ogs encor uti regi γ'on iuge generale, quedans les speces donicies Individus soni distingues de exes, laparti qui caractεriserae sexe sol place a extremite du corps. Lesmouches nommees Demossesses, nous offrent une exception, ceti regie L parti propreo la Femelle, est bien place commeo ordinatre mes celle qui est propre u Me, est place asse prε de so corsetet, is ne grande distancede extremite du corps Cette tuation emble e favorable .la copulation ausi te Me Mitia et instruit . forcer a Gmelle a veni loger e bout de so derriere u i doit phtrepou qu'elle sol secondee. Αve deu crocheis doni extrεmite de so corps est arme , ii salsi te coi de a Femelle , 1'em porte dans es irs Gagne par se caresses, ainoue parsa longue constance, anime enfin a menae,esir elle ces ied resisteris devient seconde a L ARA1GNisi nolis of re ne exceptio plas singulier encore, Qqu'u bon Observateur I assure avola ue plus lune Dis.
O connos en generat les antennes de Insectes is sest que ceson ces eu petites cornes mobiles qu'il portent surrae G xant de a tete is doni o ignore usage. Souvent elles soni formees 'une fuit de vertebres ou de oeulis oesses
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lant en paniculier celles de Araignee. ais e qui est fori vir Euange, 'est que les parties de a genεration dumale sontdans se antennes tandis que cesses de la Femelle soni l cεes laus te ventre, asse pres du corsetet Lemale .l Fe-
decia emelle, 'est insi que 'Opere accouplement i, CCXCVII. I semble qu'il ait et generalement tabli, quelemale feroi te avances dans a Republique de Aitailles cette Republique si celebre c'est la Femelle qui obligerae Male condescendre a se deflas. On ait que pendant presque t te
is es organes est encore plus biZarre.
se a partie de la Femelle se trouve en-viron au milieu du desibus d ventre se plus prochera corsetet quera der-riere; mais dans es ales de ces, Insectes singulier. o ne hercheroit, amirement pas leur organes prolist que dans endroitis iis soni reel. lement. outes es Araignees on a se cote de la tete , deux parties articulees, semblabies 4 de petites attes , is qu'on a nommees de bras A rex.., trεmite de chaque bras u Malo volt une spece de sutonis deis noeud is 'est dans es caud queis sont enfermee les parties de leur sexe. I Da dono deu de es parties, ause te que les autres Animaux 'en ontis qu'uneci 'est ne seconde singui rite qu'offrent ces Insectes
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mur appellero a vies est parot it meme indifferentepou les male vivans qu'on tui substituoit et . . de EA
L'apparet prodigieu de parties propres a Male , leur remurn ement surprenant , eur apparition a dehors Mus a forme de 'deu cornes asse longues chariaues, a milieudesquelles se trouve place uia petit corps recourbe en e aut, uiae liqueu blanche n e visqueus qui se rendo es parties 3); out en ii mo semble indique que acco lenient de Abeisses ne se redui potnt a ce que e viens d'en rap-
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Reine-abeille, des Nun Dis elle a te secondee, e supposeque e sol au rintems, esse ne cesse potnt de pondre des oeus seconds, a molns usqu'au pristem fulvant. ne experience Ecisive prouue qu'il est de Ruches ou ilis' a pas unseu Male pendant out e long intervalle de tems I la Reine ne fori potnt de la Ruche. Sa econdite surpasse encoreson incontinence a boui,'un an la Republique peu compter ingi, rente o quarante mille citoyens qui tui dolvent lanaissiance Esse est a la letire, lamere, la seulemere de to ut
tion des oeula Un Observateu Anglois qui paroit a voi plus approfondi cette parti si inti ressante de histoire des Abeilles, assure que les ceus de la Reine sont secondes ara maniere de ceu des Poissens a cailles. Illa ait la dessus desm riences qui paroissent decisives qui on et publiees en dans le olum LXVII des raras tons philo- sphiques. Ie 'alis encore me Pr curer e Volum de Transactions , te ne parte ici de es curieulas ex pesrienees, que 'aprε une Duille hebdomadaire. Observateur a remarque qu'il est dans la race des Faux-bourdons,
de petit Individus , donicia aille ne surpasse a celle de Abeilles communes C son ces petits Bourdon qu'ilao plusieur fois introduire leur erariere dans te cellules oucia mere venoit
de pondreis ceus il repandolentu ne petite quantite de liqueu blauch tre , moin liquid que te miel qui
ceu qui en avolent ete prives, demeu-
cellules communes Mais combienta'au- tres decou vertes ne reste-Di pas a Dire
su nos industrie uses Republicaines laes
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narchie de Abeille me donne lie de parier 'une exceptiontres-remarquable Dans resque outes es spe ces 'Animavi, te individus sont ous Male ou emelles, o bien iis possedent les eu sexeso a fois Chea es Abeilles, es ue- pes, &c te plus grandiombre descindividus est absolumen d pouru de me. s 'Ont auculae des parties relative aria generation mais iis sont ourvus ' organesis 'instrumens rei tis a la constructio des galeaux, a lusieurs uires Onctions auxquelles lamature les a destines. iacies a nomme -- leti improprement carrae Mutet a n sex Lil ont etemieu designes par epithete de Nevires. LE ovaires de lamere-abeille contiennent dono trois sortesd'oeusis; 'o eclorroni trois sortes 1ndividus de Reines, des ales ou es Faumbourdons,' de Neutresci . Les Malessent ordinatrement in nombre de in a si cent, asse fou-vent de mille La Reine a doncis serrai de Itales leur grandilombre nous apprendiso urquo la ature les a fatis si froids; s'iis ussent et aussi ardens que ceu de a lupari de Antimaux , a Reine 'eu pas eu te tem de pondre. LE Ombre de Reines qui eclosent dans cliaque Ruche est oujour tres-petit; ce soni Ces eunes Reines qui conse vent respece qui fondent , ou ainsi dire, de nouvelles
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dees, elles sortent de a Ruche, accompagne es de lusieurs millier de euires, qui composent e qu'On nonam un
tage nrassaim en deu parties a-Peu-pres gales , la parti qui demeura prive de Reines semissa peri sans construire ne eule alveole. . Sc HIRAc Ha prouue , que si ron enserme aveo uneertain nombre 'Abeilles communes,un petit galea od se trouvent des versde trois jour , les Ouvrieres auron se donne unei pluseur Reines , en et vant unisu plus eur de cesser commvns , d une inaniere differente de celledout elles elevent les vers qui dolvent deveni de Abeilles communes Illa vu revu bie des inis, que dans la cita constanc e questio , es nurieres detruisent les cellulh communes qui en vironnent celle ea un des eunes versest logε 'u'elles construisentaria placeune cellule royale , au land de laquellet se trouve log qu,lles donnenta Nourrissonis aliment particulier qui differe beaucou de elui qu'elles distribuent aux Vers logε dans des cellules communes par ce changemen delogementis de nourriture , elles transforment , quan elles le eulent , unVer communae ver ro's. se donnentain si une nou velle Reine. 'Observateur Anglois, donicie partois dans a note sur Art. CCXCVII, a veii fies la d-
jout fur histoire encore si Enebreuis des abeilles, lauroit acheve de dissi per nos doute su rorigine de Reines-abeilles, sur a nature de Abeilles
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Nales par les Ouumeres a te generale. ment admise Mais 'ai ait en i r 6 3 diverses observations qui merendent cette opinion tres suspectetourne ien dii de plus ces observations auxquelles 'aurai occasio de revenir,