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nous satisseire surria maniere doni 'opere ceti multiplicationnaturelle de bouture. Μ. REMBLEY se propola 'approfondi d vantage out e qui concerne ce sujet interessant Qque nep Vons-nous as nous prometire de habitet de PAuteu des
CCLXXX. I amne sorte d'analogi entre la multiplicationdesJolypes en ento remis .celle dumille-pie is dari. O peut dire que te olype en entonnoi multipli naturellement de homture. I se partage de lubmeme, ,'un eui olype il4'en forme deux me nouvelle tete, de nouvelles leures se developpen suri milie dii corps de ancien olype, .ce developpement, qui est trἡs-rapides, prepare la separation des deu mollies dei Insecte biento ce nesson plus deux moities, mais deux ouis trἡs-complet plus petit que te premier. Si accroissementes prompt dans les olypes a bras, i doli Petre hien avai tage dans es olypes centonvola , plus delicat plus et tineu encore Les progres du Foetus sont out autrement rapides que ceu de Enfanti de Adulte. Ain dans es tomes organises, qui ne soni resque M'une gouit de liqueurepaissie, evolution est si rapide, qu'o crotroit oi une re non, si te rassonnementis'eclairoi la marche declamature. CCLXXXL Es olypes en eloche se partagent ussi 'eu milmes mais differemment des olypes en entomiorr, commejelai explique dans uia auire endroic 3 . Les olypes en cloche, qui dolvent leu naissances, de bouton e forme de Galles ), multiplient tune fas omencore plus extraordinatre Ici commenceu nouvel ordre de hostes; 'analogi nous abandonne,
d'expliquerta multiplicatio par divisio nain turelle , aupolupe a
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vagues sur de objet qu'on entrevolt a Aetne, qui ' loignent de tous es obj et connus. Les part an les plus κεlεs de r ple)iose ne se prevaudron pas contre molis silence que je sinaposse pignorance sur u objet, ne eul deveniris tuti e en faveu de quelque systhme que e soti si e uoulois ess9yc de ire des decolavertes en question, les consequences qui en decoulent e plus naturellement , e ferois asse sentirqu'elles ne soni potnt contraires a molation r).
CCLXXXII. Au reste, ou les Insectes connus usqu'ici, quipeuvent tre multiplies de bouture, appartiennent ara classe de ceu qui ne se metamorphosent potnt. J'ai donne dans le Chap. X de laclyς- artie, es principes generau de es metamorphoses: on Ourroit en inferer que les Insectes appelles a les subir, ne soni pa propres a tre multiplies de boumre. Il ont plus de parties dissimilaires, .celles doni iis sont ourvus, ni ourderniere fi te developpement 'un utre out organique logedans uia te particulier 'est e Tout qui constitue proprementa pece qui est destine aria conserver. 9Ιais commerioustes Insectes qui ne se transforment potnt, ne multiplientias de boutures de me me ausi parmi ceu qui se transforment, ilpourroit4'en trouver qui multiplierolent par cette Oie. e nous prestans as de laire des regie generales le Ρucerons, IesΡolypes nou on appris a nous en defier.
i ii Appiique cette reflexion a la
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nisi Bit un et argument e faveur u system ingenteux de ce vorabie au
γ'il nous debarrasse de te des dissiculte : il est 'un autre sien. cote tro contraire a Panalogi que nous observon entre noue . RusM
probabie que es Animaux ont ne me , ii est que out suris latet. ce qui est animal, en a ne ausit. Je ne regarde don pexiLience de anae des etes que comme probabie , uisqu'esse ne repose que fur analogie te euple conduit par te sentiment,va plus toti it decide ur a realite de ceti existence, CleΡhilosophe meme a te de laueineo ne a te sciure Mais en accordant une me au olype, mon Lecteu craint apparem ment que e ne me prepare de tortures. resque ous te hommes on dans resprit certaines dees metaphysique surciesquellesiis raisonnent presque ous avent k-peu-pres que rame esti stre ple d'ou iis concluent facilement qu'elle ne eviratre divisee. Comment don par n ou de scalpet, 'un seu Ver ou 'unisulaolype, ait-on plus eur Animaux Ce qui 'etonne te phasici est que les hilosophe , commerae Vulgaire, se solent enquelque sorte ornes a senti la dissiculte, Qqu'ils 'aient passait 'heureu effaris ou la res Oudre. I me paros qu'en genera ona regarde comme irresolubie Aussi 'usmi rie sur quoion ait plus insiste des queri decouverte du olype a te repa due. O s'en est tenuin admirer, is declame fur incertitude de nos conuolisances en Metaphysique On auroit naieux ait d'e mm a
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LHAe ill ployer a mediter , te tem qu'o h perdura discourir. Je ne finirois poliat, si e oulois refuter ous es mauuais aisonneniens doni te olype a et te viet ou occason: peu de gens favent se fatre des dees etles sur cette mattere abstratie ile est meme qui traiterolent volontier de temeratre quico que ostroit e prometire de telles. Je ne promet hien mais e ais expose simplement les principes que me media
sations Moi te de placer Anae dans e cerveau It 'est a bes in quePQ ypo je dis qu'elle ' reside ac la maniere d'un corps elle n'est pas corps mais elleis est presente . a maniere 'une substanc simple. Qu'on ne me demande a ce que 'est quecette prefence je ais profession 'ignore profondement lai ture intime de Ame, o ne la connois unae elle eme, que par quelques-unes de se Facultes. J suppos donc ne me dans a thte u OIype Cette Ame a des sensations , que tui procurent les organes dontrinsecte est doue Esse a uia sentiment de a prefence de sessensations car ne me ne eul avoir ne sensation, aeellene sente, en meme tems, qu'ellera Je ne uis dire e quec'est que e sentiment, mon meis'est a falle ou senti ala maniere de celle u olype mais e vois asse qu'it 'est
pas precisement e que nous ommons en nous conscience
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sede m mi , a naaniere. Cemoi 'approprie Oute les semsations; lolidentis ave toutes. Il est lemo qui sessit unPuceron, qui avale, quia salsi, qui a vale I . CCLXXXV. E partage Insecte par te allieu vivant salargeur cil est bien evidefit que a portion uolent la εte est la seule qui conserve te mi ou la personnalite.
IL ' a don plus de Moi dans auire portion car OuSavon admis que Ame reside dans la Etes mais cette portion. paroit ourtant sentiri elle se doniae divers mouvemens, j'ai u ne molli de Ver de terre a), de troni on demes Vers aquatique , rana per comine auroit ait uii Vercomplet ilo a plus, iis embloient conserve encore Outestes inclinations propres a leur spece. Je ne eu rie dissmuler e ais don augmenter a dissiculte en transcrivant ictu passage res-remar able de mon Traue 'Bisectologie, aia
, miere tapetience fur es Vers , e me suis arret quelque, tenas a decrire les mouvemens de chaque mollie, pendant tes, premi ers our aprἡs operation. 'ai ait remarque que la, seconde , celle qui 'avolt oint de tete , alloit en avant, a-peu rhs comm si esse en volt eu ne qu'esse embloit
qu'o vient de partagere deux transversalement De
qui parois sent Amn-tanes , qui ne sont
principes propres adeseκplique , tires de ladoctrine det irritabiliti.
pos une me dans la tete o dans leservea d polype , te ne pretend pasque e Polype ait uia cervea S desneris emblabies a ceu des granos, nimau on aistroit hie mal esprincipes, si l'on me pretoitisne pareille opinion. flais e pense qu'il est dans te Polypes, Ortaincors ne donicie fon tions repondent celles du cerveau de neris des grand Animaux enis profession 'ignore profondementpe que soni ces organes de nae sui explique diseitenient la-dessus, Art. XVId Tubleat de Consederations.
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cii a GlΙ chercher a se cacher, qu'elle avolt se detourne , a ren- , contre de quelque obstacle&c. out et , quoique fort
, Ver C es de la ab. II , ramper e long de parois du, vase de verre, ou e te tenois enferme faire effort, pour en sortir, quoiqu'il 'eut ni tete ni queueCEux de me Lecteur qui ontra te beaux emoires de M. de ALLE sur irritabilite , entrevolent deja ceriu'on euidire ou tacher a res udre a difficulte donicit 'agit ici. Onsait que irritabilite est cette propriete de a fibre musculaire en veri de laquelle esse se contracte 'elle-memes, a Patio chement de out corps , sol solide sola uide Cest par elle, que e coeur, delache de a potirine , continue quelque temsa attre. est par elle , que les intestin , separes du a
ventre, partages en plussieur portions comme nos Vers continuent pendant unoenas, a Xerce leur mouvement Arotastique. est par esse enfin , que les membres de quantite
Anie loge dans alguillon de a uepe , qui te darde audehors, asse long-tem aprὸ que e ventre a te separe da corsetet Assurement ces ait soni bien aus i singulier Sc aussienabarrassans, que ceu que 'ai apportes dans e passage citect-dessus qui ne volt ourtant que les unsis es uires ne
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sent que: les resialtat d'une niectanique istoreues de ΗΑLLE SH Ae liua prou- , que te coeum, separe decla polixine , esse de battre, qu'o purge es ventricules du e de an qu 'iis enseraniolent en re Pirritabilite , ceti force doni a nature nous est inconnue , 'agit plus alor rien ne excite. est donc par te .contractions , que attouchement 'un corps trangerproduit dans es fibres musculaires de nos Vers, dans celles de portions 'intestitas, datis celles de lai queuera Legard, c. que 'operent Ces mouvemens qui nous paroissent volontaires & qui ne sontiourtant que purement machi ux La machine est monte pou les executer esse les execute des qu'elle est
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taphysiqueque presensitent les δε-
CCLXXXVII. Us Ην re estis compos de lusieur Pen. fines euntes suris tr c commvn. Quata on partage unΡolype vivant a longueur, en commens an par a tete, nne divise pas Am mais elle deme e dans celle des deuxmoities o son sede continue a resider. 'operatio peu nea molns occasione u te derangement dans et organe , que la personnalite en soli eniterement detruite. 4'en formera dono uiae nouvelle , E que organe aura acquis e qui tui mam quoi pou transmetire 1 Ame de nouvelles sensations. I seroit inutile que e 'arretasse ici a prome que lesouvenis ient, non a Ame , mais a Corpsci ceu de mes
Leeteum qui auron medite les principes que 'ai expossis dans o Essa anabitque I , 'auron pas de eine a n
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tronςon 'un utre olype, i est bien clair que la personnaliten change pas , uisque ceti operation 'interesse potnt 1 se,.
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I pourroito avoi u quatrieme a plus areis plus embarrassant; ce seroi celui ou es eu cerveau se conson-droient run an pautre an perir Alor ito auroit eu Midans e meme cerveau mi ilis' a pas 'apparence que les deu Moi uisent avol la Eme sensation a meme instant indivisibies parce qu'n ' a pas 'apparence que a confusionput ire asse parisit , our que oute les bres de deuxcerveau altassent se reunt dans uia pini commvn, ne formassent insi γ'un seul sensorium. CCLXXXIX. Si a production 'une nouvelle Et supposela prεexistente 'un Germe , a production 'un rejetton a. suppos ausi. J'at tabli e fondemens de Puneis de l'autre supposition Dans te Germe u rejetton est don logε une Ame , qui commence a sentir Es que te Germe a pris uni certain accrois ment. UNE ere olype, charge de a nombreus posterit . compose bienisve elle u seu Tout phisque , mais non ne seule personne Chaque ejettonis son Moi, uisqu'illa son cer . ea propre,is Pon observe qu'iliourvolt par lui-mεme a sasubsistances, en salsassant de petite proles is en es valant, commerae feroi tout uire olype.