Oeuvres d'histoire naturelle, Volume 3

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ciaque bulbe per se forme spherique raevient ellyptique. Cette spece de bulbe est incomparabiemen plus grosse 'u'uni Polype en cloche. lle se partage par te milie longitudin lement, .les division subdivision continuent de la mεme

promptemen Dun plus gran degre de

chaleur, ou orsque ea doni on es humectes, est plus haud que res ambiant.

Ilo a tui une hos bien singuliere

Qqu'on,'avolt a plus seupqonnee que respece de resurrection elle-mEme c'est que te retour a la vie est lie a ne circonstance exterieure si necessatre, qu iln'arrive potnt si cetis condition manque. I aut absolument que te otisere solienveloppe immediatemen de oussiereo de suble, ou reprendre la vie te mouvementi Si on laisse a nudisnRotifere mi a sic, it ne ressusciteraiamais La resurrectio de ces singultem Animal les .est Eme d'autant plus fure& plus prompte, qu'ilis avolt plus de

Les au potvree o salees, rurine les uiles, te in , Sc les tuent infati-liblement; amat iis ne ressuscitent apresqu'il γ nt te longes. Τoutes esodeur fetides o penetrantes leur sontaussi fatales. La veritable patrie d Rotisere est dans te ruisseauxis dans les eau crouispissantes il est v Animal le aquat, que o ne lauroit douter que les Roa

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tiseres de totis ' aient et transportes parrae vent. Cetaervellieu Animal cule est ovipare. D. OFFREDI a v pondre, mi a vule etit eclorre. Il est hermaphrodite ausens e plus troit M. PALLANZANI euciusqu' la inquieme generation de Rotiferes leves en solitude. Au reste, te nom impropre de otia fre est dura ne illusionis'optique Onse romperoi beaucoup, si Pon croyoitave LEUWENII OER , que les petites machines qui paroissent ourne rapidernent a se parti anterieure, sent de veritabies oves Ierae observa a mi-Croscope en et O , aveo mon illustre

Ami, M. TREΜBLE , cie ne pouvois me lasser de contemple Pagreabie specta- cleriu'elles,'ostroient giles soni a vrai deux speces de covi onne garnies de potntes mobiles , a raide desquelles PAnimaleule excite dans reauis petit courant qui entraine vers a bouche , les corpuscules de divers genres doni insenourrit. Quantite de petit Polypes 'eaudouceis de mero divers Animalcules des infusion presentent u spectacle analogue Voy. Contemptat de a Nature, pari. VIII , Chap. XI. PalinqΤome derniere age L Rotiferepeu Dire rentre ses speces de oves dans son corps commerae Limacon Di rentre se cornes It ne es me ut

gero

Deucautres Animalcules molns com muns que les Rotiferes, se rencontrentave eu dans la oussiere des totis,& ouissent comm euxta privilege de revivre pre u long essechement. Leur Ecouverte est due a M. PAG

Le premier de ces Animalcules est trois a quatre Dis plus gros que lea tisere. Il est avnatre , pone sur fixjambes, is une forme qui approche de celle d'un rein Sa demarche est silente, que Observateur a cru pouvoirlui donne te nom de Tardis de Saparti anterieure est arrondie, Wia poLterieure garnie de quatre petit crocheis qui tui servent a 'amarrer Tout soncorps est herisse de petit grains Ilis est pa transparent comme e Rotifere isn'excite potnt comme lui de s rant

dans reati.

melare que ea ou on te tientplonge, 'evapore , i per te movum mento se efferre de plus en plus; ses ambes renirent dans son corps ils'arrondit par degrεs, te desseche enfinenti erement. I peutratre conserve long-tem a se ressusciter de qu'on rhumecte ave u peu 'eau Les phe- nomenes de is mort de se resurre tion apparentes, soni precisemen Iesmemes que chea te Rotifere Nais il

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son attacheesa ne tige commune par uia pedicule particulier. Le bouquet, qui Esulte de leur assemblage , acquier ensuite

ne tui est pas aufl necessatre qu' cedernier d'etre enueloppe de ableloura ouuoi ressusciter. Otre Observateurn, pu deuouuri lcmaniere donicit multiplie. Le secondanimalcule qui habite avecte Rotifere la poussiere des tolt , estune petite Anguille fori transparente qui a n ecla argente Εlle est roulde en spirale dans la oumere. Une ldgere humectation ussit our tui endre emouvement. Elle se deploie alars, 'eterid se contourne en divera sens. Elle κ' poto besointa'etre enueloppeede able pou resiusciter. Auteur a vunecis Gurrections consecutive de lamem Anguille Mais plus e nombre de resurrections augmente , ct plus

elloes 'operent lentement.

Tous es Animalcules re scitans dori j viens 'esquisse rhistoire , soni

plus ou molns gelatineux Il ne laudroit pas eanmoin se presser 'en conclure, que te privilege de revivre aprε avoiret desseches, est commun a tous es Animal cules Elatineu qui habitent les 1iqueurs Les Animalcules des infusions, qui Bot gelatineux, ne reviennent potnt a vie aprἡ leur essechement. I en est de m/nieis polypera bras. M. SPALLANEANI 'en est assure mais leti' piant tent rexperience fur es

poudre terreuse, Wie laimi evaporerreau. 'Anguille se dessecha . son dans la oudre; mais elle ne repri potnila vie, quan je humectat cette exisperience demanderoi kratre repetee varie fur de Anguilles de differens

ages.

elle idε se forme de ces tra ges Animalcules qui peuvene Etre gardes a se pendant bien des annees , sensperdre te principe de la vie M. SPALLANEANI croi que leur tat de dess chement est ne visitabχ mori que leur retour a retat de gelee es unevrais, sotire e resurrection cessint se termes de ne oudrois pasallet ussi oin I me parot bien plus philosophique d'admetire que ceti mort cette resurrectio ne soni que de simples apparences le developpera aiuleur malenae sur cette question Maisje dirarici, que 'avoiceu recour commeSPALLANE AN la doctrine de rinit,bilis , our Myer de rendreraison des singulier phenomenes donii s'agit. est ce aeon verra dans ne Letire que 'ecrivis a n Amieno Ta,

qui sera insere dans te Tome V de

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de nouvelles branchesis de nouueaux rameau par a divusion Eme des cloches. CETTE courte rέcapitulation de histoire des olypesta homquet, ait asse connoitre que leur aqon de multiplier 'arie de commui ave celle des Tisipares, ni ave celledes vipares. I faudroit inventer de termes ou exprimeria generatio de ces olypes, nomme si ron eui, ceux de la premiere spece Gemm ares ceu de a seconde

Bulbipares Mais es mois 'augmentent a nos connoissancessu les hostes qu'il representent. Quand on aura trouve destermes propres a Xer nos idεes fur cette nou elle classe decorps Organisses, nous 'en penetreron pas Geu te secret deleur multiplication. s soni si petits , que e microscope nepeut nous decouvri que leur forme exterieure , Qtout equi se passe dans leur interieur avant, pendantis pres la division , nous demeure cache. Combie de ait interessanss'oflairoient ictis noue examen, si a mechanique de ces petita corps tot expose a nos eo 'eur organisatio est sans dout vh simple nous en ouvon juge par cellera Polype

a molns es onctions a regar dii apillo mais et oeus mange, rost, ampe , c. arande, qui est e principe 'unPolype a bouque de a seconde speces, seroit ite ne sorte sto ire anime , qui enfermeroit actuellement ous es olypes, oute les petites cloches qui altroiit de a division ude a decompositio graduelle successive 3 Imagine cela cent hostes areilles, 'est ouloi devine la ature is anaais o ne cour plus de risque de se tromper e tentant dela deviner, que ors'u'o ne eul a meme 'aide de Mnalogie. 'extrem simplicite de a structure des olypes qui nous soni es plus connus, indique sussisseminent que ovi

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1esoniniau de ceti classe, ne soni resque omnes que de parties similaires. est in que dans te olypera bras, chaque fragment, cur dire plus, chaque molecule eu repria senter un olype en petit Or, es resultat natureis d'une senia Maiae structure dolvent differe beaucou de ceu d'une strum ture fori composee, il enire u grandisombre de parties semilaires. Les olypes emblent occuper te plus basi echelion de Achelle de Animaliteri places a ne si prod, gieus distanc de Homnae des grandR AnimauX, i se roit e philosophique de se croire oujour en roit de irerdes inductions de uns auires Mai nous avons uiseche les grand Animaux des idees 'oeuis, 'ovaires, de Mitrice, de ponte , 'accouchement, c. Ac nous transportonaces dees sans y ςflechir, a tout e qui a te caractere 'Animal l . Nous te sommes Ourtant pas ncore parvenus a fixe nos dees fur animalite o les olypes nou on appri que de caracteres qu'on volt juges propres a Vegeta comviennent ausi ara'Animal. Les olypes nous apprennent donch se sobrement de Induction. Je ais que n0s connottancess'efendent par a voi des comparaisons; mais e 'ignore pasnon plus, que 'ar de comparer a se regie surriesquelles le Logique ordinatres 'insistent pas affeZ. e comparons donoles olypes qu' eux-memes, o aux tres doni iis paroissent se approcher te plus Oest e que 'a essaye de stire dans Iesdeux premier Chapitres de cette Il'Iartie lorsque 'a tente dorendre aiso de boumresis de gresses animales Cependant comme it 'est pas oujour facile 'inventer de termes qui representent parisitemen des objet doni on 'avolt oin emi

a qui nous devons de curieuses observations se les Animalcules de liqueurs,

avolt ait attentio a ce que e dis icisur 'abus de analogi a occision duPolype, it ne 'auroit a reproched'avoi dit, que ous Ira Polypes naissent is s. I avole tendu par erreura ous te polypes, cerauecie dissiis dos

CCCXVII.

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effet, de termes deja consacres a signifier de objcis trἡ connus et sage ne auroit ire vicieux ε qu'on a in de montre Ia difference des objet representes par esmemes termes Ainsi , orsique e me suis servi de ces expres- sons, que e Polype es out matre, e 'ai potnt pretendudonia ero entendre , que te olype eniter sit unis ire se blabi a ceu que nous connoitans , ni qu'il enlarmat des Deus lamblabies a ceu des utres Insectes lanais 'at oula simplenient flaire entendre en e de mois, qu'aurate que che la lupari de Animaux , es Embryon soni assembles dans uncite particulier , iis soni repandus che te olypedans oute petendue de so corps Q.

bies que se a present, Our flaire teu senti la dissiculte 'explique la

ramener a generation des olypes abouque aux tot les plus connues de revolution , oit nous persuade qu'il a dans a Nature ne vittitude de sessierationi, o de manieres 'engen-drer, tres-disserentes de toutes celles que nous connoissens o qui ne auroienta'explique par nos theories actuelles de montrerois ins , combien ii serotipe philosophi que. de ren ferme tam ture dans es ornes troites de nos connoislances combie se immen-st Wis secondite soni au-desius denos inibies conceptions Mais e ferois remarque e meme tem , qu'ilieci'em sui potnt de ces reflexions que parmiles generations qui nous soni encore inconnues, in en ait qui solent veri- tablement equivoques ou spontanees , uqui ne dolvent leur origine qu' unconcour fortuit de molectiles carmes observationsis les expetiences les inieuxnites, es plus repetees , concourent uniformement a tablir, que les genia rations soni patatout Egulieres, uni

maniere constantes, univoque invari

hie. est e que e metirat dans leplus grand our par te recis que edonnera des nouvelles decouvertes sie

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Ρarties la tigeis te branches ne composent ave les loches branches

pres Chaque branche eui se retire independaminent 'une autre branche. ais torsque la tige se retire, oute les branchesse retirent ausi. ἡ que te alme est rendu au olype la tige les branches 'etendent o se deploient de nouueau. Lorsque te bouque est deja fortisvance, a lige ne se retire plus ondiroi M'elle 'est endurcie Les cloches, comme e Pa dit, se delachent enfi d bouque quandri en est fori degarni, les branches ne se retirent plus ave la Eme promptitude lorsque e botique est encore plus degarni de loches, iln' a plus que les branches qui en sont ourvues , qui se retirent encose. Enfin, orsique e bouque a perduci tes sescioche , es branches ne ouent plus. O peut inferer deces ait , que e principe de ces mouvemens est dans tescioches C soni elles ausi qui fournissent , accroissementde a ligeis de branches. I ne aut ourtant a Comparer es branches a celles de Arbres elles soni pluto des Especes de racines que oussent les cloches, qui se de-Veloppent eu a peu Quandis de ces tres-petits olypes sede ache 'un ouquet, ii v en ageant se fixe contre queLqu'appui. I sor de a parti inferieure uia count pedicule

qui attache a cet appui. Ce pedicule 'alonge de plus en plus is biento ii devient a tige , 'un Ou'ea bouque:

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de ceti branche, se partage tento commerae premier , pousse, comitae lui, uti pedicule; volt une nouvelle bra che qui simplante sur a premiere, c. insit e ne soni pasles branches qui produisent les cloches, comme ne branche vegetale produit umbouton Ou ne fleues mais e sont les cloches qui produissent les branches, .celles-ci cesssent de crolire des que celles-la 'en separent naturessemen o par accident. Lus olypes a bulbe sont, comine Pon a Vu au Ombre des olypes a bouquet. 'une lige commune partent uit a neu branches principales, qui font avec a lige uia angi unpe phis grandisu'un droi De outes ces branches sortent de branches laterales plus petites .a extremite des unes des utres est ne loche ou un olype. Iland n ouchelegerement te bouquet, .s uvent an qu'O le ouche cies branches se replient subitemen de dehor en dedans ense approeliant elles se dispossent de faςon a forme une petite masse ronde La tige se retire en meme tenas, se pli dela meme naaniere que Pon pli une esure qui a des chamniere , en de ux o trois endrotis.

ranger outes nos deesta'economi animale. Je a dii, Gene cra in poliat de te repeter ici, iis on et construit fur desmo deles qui different si prodigie usemen de tous ceu qui noys

ron o oblong, Ont penuel oppe, sol molles, soli crustacee renferme ave disterentes substances, un Embryon appelle a prendre

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v mMs 2

Mere.

co Attici CLXXXV.

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impars alte, de a maniere dolat naissent les olypes enis es. L'on eui conjecture ave vraisemblance , que tandis que leΡolype est dans sola premier tat de corps visorme , outes

se parties sol exterieures, sol interieures, ni de formes, .

de proportions de siluations qui different beaucou de cellesqu'elles auroni dans Aninaal developpe. 'onis' pas ubiteles changemens que le oulet subit dans Poeus I nousn'admirerion fans dout pas molias ceu que leaolype enisa fies subit hors du corps de samere, si nos microscopes ouvolent atteindreo et ordre 'infiniment petits li se ait ussi ne sorte de generation a decouvert, dans te parties que repro- duisent les divers Insectes qu'on multipli e les coupant parmorceaux Cest sutatout che les Vers de terre qu'on euisuine a Poet les progres 'un developpemen si remarquabie, qu'o ne se lasse potia de revoir. Je 'en suis beaucoupoccupe dans le Chapitreri de cette Ι'Ianie: nous ne presumeronspas que es differentes parties qui aissent ous nos eu , lassent renfermees originairement dans de veritabies eu f. oussoups onneron plus volontier , qu'elles Ont ou principe, de

petit corps analogues a ceu qui sontra principe de Polypes en asses.

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