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rapporis qui nous soni inconnus. Observon don comparon mais deflon nous oujour de assertions generales. Mouesion potnt que nous 'avons que de premisses particu
, cas , ceti gendratio spontane a lari meme pulsiance questa generationis dinatres, mi'u'elle produit des 8tres, qui ontra faculte de se reproduire L'Auteu rappesse ici, qu'il avolt rap- porte dans son iure divers ait qui prouvent, selon uiola realit de plu-Ieur siseration Apontaniarci mais ilcroi convenablei'etaye fa docti in pardeu observations qui tui ni te communiquees nouvellement qui tui pa-roissent decisives, i donici donne undetai tres citconstancte La premteie concerne de rex petits Moucherons sortis en grand nombre 'un cadaure
Notre philosophe s elevant ensuite ad plus hautes speculations , en trepiend
se dividus actu et lenient existans , quo, totas lassent Dappes de mortis memo , instant Ies molecules organique noo laisserolent pax de larvivre a cetiose mori universelle cie nombre de ces, molecules etant ouiours te milme, leur esse noe in destructibi aussi e se manente que celle decla mattere bruteis que lenis'auroit aneanti, lamature possisderoit oujour la meme qu ntite se de te, ron verroit biento pa- , roitre des Especes noti velles qui reni. placerotent les ancien nesci a les, molecules organique vivantes se roti- vant Outes en bert S, -'etant ni pompees ni ab solbdes par aucun mouleia subsistant, elles burroient travailleris a mattere brute en gran , produi reia 'abordine infinitela'Etres orsanises , donicies uns 'auroient que a M
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is 'alitres plus parisit qui serotentis oves de celle de se reproquire .ceci, nous pares clatrement indique paro te ravat que es molecules sontisnpetit, dans la putrefactionis dans esse maladies pἡdiculairesitas'engendrent des tres qui on latuissance de sese reproduire la Nature ne ourroit manque de nite alor en grandise , felle emit auiourd hui qu'enum ti , parce que a uislance de ces
se ouit en plus grande quantite a lari formatio de ces moules, tesqueis
presenteroleta de lor uiae nou velle Nature vivante, peuti εtre asse sem- se lable a celle que nous connsissens se e rem placement de amature vi- ante ne serestra'abor que tres ino complet, mais avec te tenas ous es
grand Et res , qui n'aurolent a lao uissane de se reproduire, disparob
d'hui, que les moules res plus puis. Mans , es plus compleis, sol dansles Animaux, solidans las egetaux,
is es nouueaux tres serotent ea, quelque sorte semblaeses aux anciens is pars que la mattere brute Ga m se tiere vivante etant oujourcia meme o i en resultemit te meme plan gen o at 'organisationis es memes rietes dans es Di me particulieres; - on doli seu lement presumer 'aprea, notae hypothese, que ceti nouvelle mature seroi rapetisse , parce que la chaleu du globe n'etant plus aussio forte aujourd'hui qu'elle retoit au
is ante cles plus grandes Especesiourio olent bien ne a naitre o ne passe arrive a leur dimensions , c. I auroit anque a cette doctrine quelque chos de bien essentiet, si rAu. teuris'eu pas explique la formation des molacides oryanique ellas-memes, deces molecules ouees 'une si grandepuissanc generatrice is qui ouent unsi grand ole dans te monde organique; car on auroit oujour pu lui deman. der, d'ou vehoient ces mole les' Augitermine-Nil se nouvelles meditations se les generations spontanees par exinplique rorigine de ces petit Etres acitiis, vivans, indestructibies., D'o peuvent veni primitivement. si it-il ces molecules organi uesse vivantes 'mous ne coimoissens dana
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les trois auires soni purementiaissilis, ne rennent de mouvement qu'autarit que e premie leur en donne. Chaque atome de lumiere o de lauo sussit ou agiter de penetrer n ouplus1eurs autres atomesta'air, de terre, ou 'eauciis commera se Oint a lase force impulsive de ces atomes de cha-leur, ne orce attractive, recipro . queis commune a oute les parties
si de a mallere cil est ais de conce-- voi que chaque atome brutis passis, de WIent acti vivant a momentqu'il est penetr cans outes se diis mension par rellinent vivifiant de se nombre des molecules vivantes est, don e meme aison que elui des emanations de cette chaleu douce se qu'on doli regarde comme lVl Emcnt, primitis de a vie Enfin , pres avoi expose a theorie
, antres endroit des Volumes sui vans,
is au sejet de a nutrition , de la geri eration, de la reproduction qui se aura medite surria pulsiance des mouis es interieur , adopter sens eiceo ette possibilite 'uno nouvelle a- se ture , doni e 'ai fai: exposition , que dans rhypothes de la destructiore, generale, subit de tous es Stres
on Oudra bien consulter ictu grandenote, qui est a la in du Chap. Illde la premiere parti de ces Corisidera.
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tant plus de x-cents oeusis On ignore eiacore comment cette
diales Wles Femelle sont ourvus 'organes qui supposentune veritable copulation 3
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les uceron nous en ont ourni des exemples. ne spece de Mouche, qui depos ses oeus dans te excremens du Cochon, nous e fourni v autre, surraeque Μ. de Eauesu a cru
devola insister i . a ponte de cetremouch ressemble molnscelle de la lupari des utres ouchesis des apillom, qaeacesse des Maux.
rapporte, confirme bienis que e viens de dire de a realite de et accouPlement Volci se termes Ie 'amu- ,, a les seirees a contemple leur ac semblees aeriennes , composees uniis quement de Males, comme elles lese sentiresque oujour , cie remaris qua que des ulane Femesi se ren- , dote en volant dans a melee, ce, qui arri volt fori ouvent, oeux-ci semetiolent 'abor . la oursuite, stsembloient se disputer deuco trois
cirεmite contre thuuerture qui se tro se Vera ventre de a Femelle, entre cie septiemeis uitiem annea , is que nous avons ullus haut donner
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CCCXV. ous es Quadrupedes couveris de potis, sontvio aresci es grand Ρoisson nomines Cetacees, comme laBaletne te Dauphin, c te sontis . LE Quadrupedes couveris 'ecailles, et querae Crocodile, la ortue myon eui ncore, te Legard Qtous les istam, soni vipares. a Salamandre terrore , spece de petit Quadrupede quiressemble par son corpsis par se queue a Legars, par athleis par se paties a Crapaud, 'est a proprementpare M. de MauPERTuis qui imoi te petit Animauxis quis avolt les observer, nous a donne des observation curieusessu ceu Salamandre a). B a trouve acia fot dans son int rieur, des oeusis, de petit vivans Les oeus formolent deograppes emblabies aux ovaires des Oiseaux mais plus longees;
les petits plus agiles que les grandes Salamandres, totent
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Tensermes dans eu long myaux si transparens, Myon Iesvoyoit distinctementis travers. e celebre Academicie compta quarant deu petit dans une Salamandre, inquante-quatre dans ne utre. Illa e raison 'ajouter, que et nimia paroithim propre a Malacis is insere de a generation I . B fournit a molns u nouvel Argument, en faveur u sentimentdes hysiciens qui pensent que es petit des ivlpares sontrensermes originairement dans des euis Cela se voltis l'oeildans la Salamandre Pon ' γ' Douvri pouro reconnotae de Eritabies oeust. Dε que les etit soni eclos, iis passent in Paremment dans es long t au doni 'a parte B seroit adesirer, que notre Auleur ut plus approfondi cette parti de
Phistoire de la Salamandre maisis est asse clatrisu'elle in partient plus 1 a classe des ivlpares qu' cesse des via
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gallinfectes; ce sont s. avsse Gallinsectes, qu'on distingue des
orales par te incision annulaires qu'elles retiennent oujOurs, qui s'effacent eniterement dans e Gallinsectes proprement
dites et . a Cochei illis qui est devenue unis grand objet de
commerce, donicia veritable nature volt et si long-tenis
inconnue, est ne Pr allinfecte 3 . Les Vers de terre, les Sang-siles, es Araignees , es ou , les uces, te Sauleret te, les apillons, es carabes, a lupari des Mouches a deu fles , resque outes Ies ouches a quatre allas, c. pondent des oeusis Mais il est asse remarquabie, que dans leniem genre 'Insectes , lis ait des speces vivipares Wdes Especes vipares M. de EAGIMUR ait mention de si a septΕspeces de ouches a deu alles, qui metient a jour despetit vivans ce soni des Vers qui se transforment paria fuit en des ouches emblabies a leur 'ere La a trice 'une de ces Mouches est ne petite curiosite : esse est formee 'une lame roule ei spirale , longue 'environdeu poucesis demi, 'est-a-dire, sepi a uit Ois plus lon-jgue que e corps, οute compose de Vers places le
peces 'AnimaIcules des infusion mul-t iplient, comme les Polypesta bouquet, par division naturelle ces speces ne soni dono proprement ni vivipares, ni ovipares: elles forment relativement aia generation , ne nouvelle classe inconnue aux Naturalistea des Sieclusir cedens Mais nous ne avon potnt en-core, si parmi es speces de ces Animalcules qui multiplient de a sorte ilis'en est oin qui multiplient encore par des oeula o par de petit vivans.
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vincire de ces petit Insecte es prece erun veritab accouplement mais iln'est amat parvenu a decorivricles pamties sexuelles Ilspeuvent neanmoin mutiti plier sans accouplement L Dbservateurra prouue en elevant en solitude jus. qu 1 la troisieme generation. a strupture de ces petit Etres, offre bien des particularites remarquabies, Celle, riteroit 'Etre fori approfondie. It soniles sevis Insectes connus, dans tesqueis onapperqoive un veritable coeur, o dumoin un organe qui paro1 tui essem-bter par se position , par a forme, parses mouvemens alternatis de dilatation de contraction, par las aisseauxqui en partent.
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,, 'aurois ait de la graine de Vera a sole. I les a gardes, a se depuis te mois de Septembre usqu'au mois deciam