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je destrois fori de pou oi me decidersuru'interessante question de existencedes In maris. 'avois v dans ne Duille periodique a description 'une Jumarre que M. BOUR GELAT , Instpecteu Genera des coles veterinai res de France, volt ait dissi que stusses eux, dans 'Ecole de ron maisje 'o is me confieris rappor dulournaliste Appelle a publier uiae nou- velle dition de mon iures, 'ai priste parti de 'adresse en roiture N. BOUR GELAT ui-mεme, Ma Let-tre lavanteis etaille que 'ai reque
de et Homme celebre, ne me permet pas de do uter te molnsta monde, queles Jumaris ne solent de Animaux tres-
rόeis. 'Auleur debui meme par me dire sede crois a rexistencela'un genre particulier de mulet appelles I
re M. BouRGELAT, qui tot Plus a porte que persenne de s urer desvrai, paroitra sens doutela plus grandioids. Mais it ne me dispense potnt 'indique ici quelques-unes de particularute les plus essentielles de a Letire. Elles serviron a prouuer qu'il a suporter se regard surrae fatis es plus decisis ou es plus caraeteristiques Jeregrette que les ornes 'une simplenote ne me permetient a de tranLcrire a Letire en entier.
Notre habile Acad Smicien me decrit dabor la Jumarre disseque dans Ε- cole de Mon Elle avolt eu our pere
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aig , qui tenoit de celui de la chevre.
N. BoURGELAT. Considere exterieu rement, cet Animalavi, it te front,la machoire anterie ure Oile mufle conformiis comme dans te Taureau.
La tete yant et depouille de ses
cou plus arrondi que dans e chevat; ros fronta plus evase es os uiseet plus en lances h leur parti superieure; les orifices de fosses naiales heau coupplus troit ces meme lasses beau- cou plus resferrees renire de fosse orbitatre ronde, a lieu que danale Cheva elle est ovale te palais eam cou plus large plus concavera lanaachoire antεrieure plus courte 'unpouceo demi que a posterieureis a Premiere Tant, comme dans leaceus , au molns deuxiouces de plus en largeurque a conde Chaque machiate eloti garni de ovete dent molaires, si de chaque cote celles de a maehoire posterieure decrivant v ar de cercleen arriere L'endroit qui repondaux barres du hevat tot applati son tendue 'un ouce demi. Du reste; out intervalle qui separoles incisives les molaires tot conveXe, tandis que dans le Cheva i est
Cette dumarre n'avolt potia de denis canines o de crocheis Les incisives, qui soni a no re de huit dans la Mchoire posterieure dulceus, n'etoientaciqu'a nonabre de si dans chaque machoire Elles avolent un ouce unquar de longaeur Leu position n'etoit pas verticales elles inclinolent en avant, de maniere queri machoire anterieurene portoi fur a posterieure, que ans
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doinc Le uns Ges uires avolenNil la structure exterieure RAP Il interieure propres a de telles parties 3 Oest fur quoi o ne nous a potnt mis en erat de pro noncer. In alterationis pruconsiderable dans les ted du Canard un prolongement e
duraceus es papille o mamelons elotest ausi sensibies que dans celui ci. La glotte tot proportionnellement beaucou plus large que cellera che-val. Ain si , cen juge par te cri algude libete, o ne diroitias avec plusieura Physteiens, questa voi des Animaux est plus ou molns grave, vivant queroΗveris ture de la glotte est plus ou molns large. Les eu ne differoient en riena rexterieur, de ceu du chevat; mais oni'yremarquoi potnt ces prolongemens deruuee mu'on volt acla parti superieure inferieure decla pupilleis chevat L'estomac eloit unique is conforme preci semen comme elui du hevat; mais it tot beaucou plus ample La alte eloit de la meme figureis dela meme consistance que celle dulceus La veise, dans se plus grande dilatation, ne flatendoitias au-dela dearsis muces. La matrice tot absolumen sembla-hle a celle decla dumetitis de Anesse. Lectrompes elotent fori dilalees,in rempties d une humeur blanchatre aussi epaicseis ausi visqueusique de la semence. L'ouvertur du pavillosa eloit fori large. Les ovaires, de latrosseur 'd'une seve elotent tres.unis, molasses. Dii reste, nulle vesicule durielis nulle dissetence dans la struetur de autres visceres, qui ressembloient en out auxvisceres de laesument.
micte ne me di potnt quelle eloita rigine de ces Jumaris. I serois fonde presume qu'il provenolent tous ducommerce du Taurea ave la lumento avec Anesse, puisque estomac detous εtoit unique Nous voFons a molnsqu'il tot unique dans laclumarre disseque a Lyon, don te per emit bienis Taureau. 'avois don bienjuge orsque 'avois dit si te primo cipes doni e pars soni urais, te Iu-- mari qui provient de accouplementis du Taurea avec Anesse , ne doli potnt avoir es quatre estomac de
restomac unique qu'il avolt dans ro- aire de a Meres, prouue de grandschangemens de influence u speris me, o on eui remarque en esset, que restomac de laclumarre doniit 'agit, tot plus ample que dans lalument ou Anesse Mais peu εtre quecet exces 'ampleur tot motus dura
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Le perme u Male substitucroitail ux ted de Embryon deja reformes, des pieds 'une utre speces A. Non bienmedite su to ut e que supposieroit ne pareille substitution dans unoout si harmqnique si on dit que e perme
transforme, ne emblabi transformation repugneroit-elle molnsa sens commuta que les metamorphoses des oetes 7
Deu potnis CCCXXXIV. Vo11 quelque principes generau surria se- qu ,.st.es condation. Ceu que 'a plus developpes dans les Chapitres III,
la generario qu'acia quantita de nourriture que Animal avolt pris pendants longue vie C est ussi a pensete de N. BouRGRI A I faudroit done o uidecide celoint disseque u Jumaride cette spece , dans a premiere en-fances, comparer son stomac a celuid'un Cheva de meme age. Quoiqu i en soli , si ron approche
de timere; cela devolt bien troedans a suppositio que e Germe a partient originairement a Ia Femelle. Mais e 'en dira pas avantage ici suries Jumaris ' 'aura occasonta' reversit
servations fur 'autres Animaux , qui concourent aveo celles surrae oulet, a
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Si on a te beaucou tro loin, quan on a admis que CHA P. VILle perme fournissoit a Germe des parties integrantes, O nepeut, 'un auire cote disconveni qu'dis' produis de grandschangemens. Je prends oujour te mules our exemple comme te plus se pant, e plus decide I reste don deux hostes a stire le mystere de a
Generatio sera devolle Ii aut montre comment e spernae arrive a Germe, comment i agit fur tui Qui imprimeces traiis ineffa abies qui caracterissent te Mulet. CCCXXXV. Novs avon des pretives que te perme eutagi par dehors Les oeulis des oismons I), his furement encore ceu des renouilles a sola secondes in si LeMale te arros de s liqueur On eu supposier a exterieur de oeus, de petites uvertures , des speces de sui Oirs ude rompe qui pompent a lique u secondante. O a beaucou dispute sur a question, si te perme entroit dans la matrice. Ceu qui e niolent, te falsolent passer partes outes longues tortueus es de a circulation. VERRHEI EN RuYscu on mieux ait que de disputer mi on disseque observe Le premier ayant uver uiae Vache, eige heures apres accouplement a trouve ne grande quantite de spernae dans a matrice 3b. e seco ad yant uver fur e champune emine surpris en adultere is qui venoit 'etres misemor , assure avoi v beaucou de sperna , non-seulementdans a matrice , mais encore dans es t Nes ψ .LE perme entre dono dans a matrices, it parvient memejusque dans le trompes, Wil aut bien usit parvienne encore
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o par ne force analogue a celle qui 'exerce dans le tubes capillaires. 'on eui se Eprendre surcia cause de cette ascension, ais oujour emit certain uera liqueu seminale agit fur oeus conten encore dans ovaire. S1 ALPIGH a bien comment ei doute 7 a secondation des oeusis du apillon 'opere out autrementi Laiiqueu du sile est misi e reserve dans ne spece dei trices, place a cotera conduit des oeust. e conduit aboutit panus, 'est par anus que les oeula sortent. L'ouverture destine a recevoir a partie u Male est distincte de panus. La matrice a deu canaux uia 'ouure dans te conduit des oeusis, autre se rendo a parti qui caractεriserae laxe Les
XXII, XXIII. 3 Encyclopedie Tome VII page
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hranches de rovaire, ou es rompe qui contiennent les oeuss, ηε' Viii se decli argent dans te conduit par deu tronc principaux Aum ment cucies oeus traversent e conduit ou veni a jour, a momen o iis ament evant embouςhure u cana dela matrice, iis sont secondεs. Un instant sussit donc our esrendre seconds La liqueu secondante misi e depol dans amatrice agit don continuellement surries oeust qui desce dent de branchesis traversent te conduit Les oeus que Pondelache de ovaires, avant qu'il alent passe devant e canalde a matrice , demeurent infeconds ceu que Don prenda dessous de ce canat, sont seconds Enta Auteuris trouve dans la matrice la meme liqueu qu'il avolt observe aria partio
rum H, page 8am vivantes ue repeter a meme observationis sur
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I SALPIGHI aciniagine ne experience ingenteus , qui , , saverite, ' potnt eu de succes, mais que e ne uis tro e horter . repeter varier. I a delache es oeus de Po-vai re, Wil te a arroses de la queu du Male. 'iis avolentέ te insit econdes, iis 'aurolent et , en uelque sorte, parari, la maniere de ceu des renouilles. J'1GNORE a uelle hauteur a liqueu seminale 'eleve dansia rompe car o ne a pas trouve encore sur ovaire menae i). D habiles Gens pensent que a vapeur odorante qui s'exhale de ceti lique u , sussit Our opere la secondation Les deur penetrent for bien dans de cavites eu differentes de cesse-cimais i me paro1 qu'il aut ici plus que des deurs. 'en a deja indique les aisons , e ais oe- veni ca .
trou vera de pre uves plus decisive en-core dans la note vivante.
potivolt ire tente ave succes Monjugement renoscit principalement fur ceque e connoisseis de a maniere donis'opere a secondatio natui elle. J avolsde bonnes reuves ii 'elle 'opere par
dehors, ce qui se passe a cet sard che les olffons, te Grenouilles, es
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encore tenter de repandre cette mεmeis liqueu fur des oeula de genres d'especes differens. par exemple is o convient asse que les ceus desΡoisson a cailles sint secondi spar te Male , a peu res commeis ceu des renouilles. Ie oudroisse te que uous snyassie de econde des euis de Oitans, en ompendant de laesiqueu seminale de a Grenouille. Qui ait s illa'en naitroitpointine Espece singuliere de Hulet. Ieioudrois pareit lement que ous ten- , lassiecd'arroser des ceu is de Grenouille, aveo des laites de Oitan Dans ne, mattere ausi tenebreus Waussa iu- , teressante que est celle de a gene , ration, i dot eire permis Imaginertes experiences Oiles combinaisons tesplus bifarresis es plus eloignees de se a marche ordinatre declamatureo'autres experiences qui occupolentator notre habile observateu ne uipe mirent a de se livre a celles que je lui propostis .ce 'a te inaubout 'enviro dicans qu'ilis p commencer a lectenter. Une Letire qu'it 'a adresse de pavi te a 4 de Mars m' appris es premier succes de sestentatives. En voici l'extrait. orae 'ai u realiser que es ours passes Me esset queri'avois consude laire te experiences en question.
, Le crapaud a te rAnimal qui a fixe
ri mon attention commerae premimo des Animaux de cette classe, qui s'ac- , couplent a Printems. Fant dono se uver la Femelle, tandisinu 'elle tostis embrasse par emale, 'a trouveis que presque ous tes oeula tolent def-- cendus dans la matrice. I les a parao ages en trois portions gales 'ai, arrose a premiere ave la semeiaceis ire des aisseau spermatique dunale; 'ai arro se la seconde ave leri lac de testicules, &ci'ai laissecla troi, sieme telle que e ravois tire de la, matrice Volci es resultats. De la premiere portion 'oeuis Ont eclos de petits etards, a nom-- re de deu cents ou environ lae, seconde portio a donne ausi desse etard a Iombre 'envirore cento inquante. Mais ous es oeus de lais troistem portion 'on rien produit, tous se sent corrompus. se Voου voye don que es resultata, constatent a mieu la secondationis artificielle dans cette spece 'Ani- mal. De ces expetiences for smplesse decoulent naturei lement e corollaiis es. I Q. Qu'outre lasem ence des vat L seau spermatique , a liqueu desse testicules est encore propre a secon- de les euis et ' Que cette derniereo liqueu rest ouitant molns que auia ore, a cause que a quantite de se, mence des aisseau spermatiques,
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des plus dissiciles de la hysiique, ne me suis amata flati de la res udre. O a v dans les Chapitres HI Ιde a premiere arti de et Ouvrage les ide e M'elle Mavolt
tot a peine ne dixieme de celle, de testicules. Q. Que comme ne, petite os de semence, seconde ungrandisombre 'oeuis, it aut conveni que pou la secondation de cha-que ceus, insuffit que quelque parcelle, de ceti liqueu atteigne roeus;
se nou somnies bieu achemines a penser,
que 'est a partie a plus subtile oucia plus active qui a la vertu defeconder; 'autant plus que potir amri ver ici aux euis, a semence doli traverser a glu bien palis doni iisse sent oujour en veloppes M'. Que lasemences la vertu deieconder, quoi- que destitue de Vers permatiques; carcie 'ai potnt trouve de ces versdans la semencera crapaud & tres- shement itineis'auroientias echappe, s in en avolt eu Dan une autre Letire dum de Sep
ge dans la lique u prolifique, our, te se ire developper u es secomis der'.
, sperm , meme tres. concentrem, ne
, sussit pas our peterra secondation. 4'avois dono ten aiso de dire dansl'artici que e commente se qu'il fal- , oi plus que des odeur pou opereris a lacondation V. M. de HALLER avolt in au contraire, se que a puissanceri 'anime te coeur u Germe ri sidoit, dans a seule parti odorante du
se Art. XXXI. ces curieuses experiences dicesebre Naturalis e de Reggio demontrent dona de a maniere la plus rigoureuse, quela fecondation , peu etre Pere parari dans certainecespeces msans douteque rex perience nous apprendra encore
bini elle est peu favorabie a rancienne opinion renou velle de nos ours qui eut que Embryon resultera me. lange des eu liqueurs s sminales. Onvolt encore, quelle est ydnergi de cette