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DEM A D. DE SCHVRM. 293que temps de la douce compagni ede Madam de N. . ostre ille,
nolis notis binnae clatretenti biens uvant de cos tres lagreabies disia Cours, desqueis nous attendrons laconfirmation de vos boniae resolutions, decla providen ce Divine.
la protection de laquelle e volis
recommande, deme Urant a tota ja-mais
loit plustos coituri du voile .l'un sacre silence, que de rabattre de leur
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apres que Mons Rivet 'a Communique a lettres, donicit votis a pluthon nore derniercinent, ii me aut advolier, que vostre bonte laquelle reluit si latrement, alii plus de force poti me fatre metire a maina a plume, que es considerations respectuetisses, potir a retent plus long-temps Carta Vra dirC, cesse-roit ignore ma felicite, S la vale urde vos bonnes graces; de ne leSpren- ire promptemen , ors que ouSestes austi large a me les olfrir, que jesuis incapable decies meriter Certe destre admis acia communication d'un sit granditen, c'est partici- per auxiliis precieti thresors de lavcrtu mesine , laquelle, alas be- soli de notis doniae dati tres lotaeque celles, qui se formentiti vostre
exemplo Je, a pacta pressemptionde votiloi faire uia tableat de vos lovanges, mais e dira sculement
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DE MAD. DE SCHVRM. 29 bles c est a cavo i ta grandeur de ce monile, da sagelse Chrestienne. Cr combierique te haut ranide vostre tres- illustre Maison ne me permet te poliat de otii ire mon ameave clavo stre, par une alli ance d'amitte laquelle requieri nec galitedes parties si est ce quelles se lientcnsemble par uia noeud plus fermeque elu de societe politiques;
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Encoreque , cere amitte, que me porte ce digne persennage Mons Rivet me cause lasveu de vos letire, e ne Disse pus de vom fre extremement oblige de me sire participant , megloris de elue I fuis dans a me-
que e mesens bien plus propre a vomadmirer, que e ne suis utile a uousser- Dir bautre part j cro quemn a-t Oitte de voste propre veram, uous
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Cesseroit une grande presiomptionde votiloi attribue a mon merite,d non pas a vostre pure bonte, qu alvo us a plurae recevoi si gracicusementies offres de mon tres-humbleservice, , qui plus est, deles recom-
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penser dune letire de vostre main, laquelle porte utant de marque de vos illustres fave urs aetate a desIignes. de pexio des Que si Mons . Rivet mapeintra'uia pinceatici Appelles, Mya donne quelque beauxtraus deson eloquenc , ii aut par- donnerat'affection d'un et ami le-qucis'cst servi,petit stre, de cest artifice, poti macqueriri vostre; d'autant qu'ilis' avolt pas appa reiice de potivoir 'attirer par ro et des cliose vulgaires. Quo qu'il ensoit, pilisque nyla o dela pruden-ce , n celle decla sincerit ne me
commandent de decolavri une er-reur, dontia cognouisanc ne scau-roit accroistre te contentemen de personiae, ais bien diminuer e nostre, e 'a garde de me defigurer
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le uis conserve , e sera riche& heureus mesine parm les disia graces de ce monile. A vra dire
destime .d'admirer vos divines qualite potar amoti d 'elles cs-mes, costin devoir, a qui a justice oblige generalement totis te hom-mes: Mais destre estime ela'une Princesse comine Votis, Hestine prerogative, ou plutost unc grace austi rare quelle est destire de totas ceuX, qui on accoustianae 'aspire a deschoses releuces Orciacores que e regarde la France Lyra long-temps commemne de plus belles parties de 'univcrs comm mere c
l'hoianore plus particulierement,
potirce quelle possedecia gloire de
nostro sexe laquelle se communique si debonnairement a nos PrΟ- vinces Ets'il a decla convcnance entre les hostes qui on te mesine nom. J'interprete insi vostre dolico observationa mon vantage S s'il est
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secret dans es mois nes syllabes, at initation de Cabalistes, commentpourrayj me ouVenir de moymes me, san faire reflexion sur mon Original, rest a dire, ostre tres-illustre personiae, de qui e porteac te om& 'image comme celle qui est veri-
Cesseroit ignore la grandeur de Vostre Allesie, Ja peti tesse de ma condition quod attribue a mon merite plustost, qu' vostre pure grace, qu 'ilio usa pluis Bonnore dernie-
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DEM A D. DE SCHVRM. O Irement dune letire de vostre main,&de uous cnquerir si gracicusement, S de ma ante, de me occUpations. O quant a ma dilposition, cile est graces a Dieu en uia temperament asse bona propre polirie
demens Mais es progres de mes cstudes ne biat passi notabies, que jen puisse reiadre contera Onavantage Au molns Jem 'aspas opinion, qu 'it puissent meriter es e sperances publiques, comine vostre faveti me
vetit persuader. I est ra , que ea a grandistinae des Docteur Scholastiques, inuessans dotate iis mel potirroycnt ourni de belles occasionsiour exerce monis rit , si enen esto is diverti te plus ouvent par des exerci ces plus necessat res Ie
sure de plusi eur gens doctes deno-stretemps: neantinoin cela ne doli poliat
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poin proti dicier a a solidite, ny a
rexcellen cerae leur Conceptions, quona accoustume 'admirer danslcurso uvrages, lor qu)l est questionoid es clairci te secret de la Philosophie , ou de bustent les plus haut polia et de la Religion Chrestidiane contre es Sceptiques, profanes, WAthees A pei ne qauroiton discerner, s 1lsint oste plus ingeni euca forge de dotales, des objections oti plus adroiis a les res udre sit onfeste plus hardis a en-treprendre des matteres hautes & difficiles oti plus heureti & capa-bles deae demesser. De brte, qu amonjugemcnt,ilsoni fori bicia con-join ensemblesces detix qualiteZra- rementi bci abies lilii btili teri a realite. Et desiit celest pas merueillequiis biat parventis a uiali haut degre de perfection, 'autant hi iis noni potnim espra se la succession deleur predecesse urs, nuda possessionde totis es seclesias eg; S 'u'il est aiso, elon a regie des Philosbphes,