Principes raisonnes de l'agriculture; ou, L'agriculture démontrée par les principes de la chimie économique, d'après les observations de plusieurs savans. Ouvrage traduit en français, sur le version latine

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lire , approcli si parcia dόcoction, it se forme me vile τί rit able , volatile et spirilueus , qui parte vivant a diversit de la parite spiritu euge. I elle est a voie lente et simple , doni a nature; Sert, our forme les parties constituantes despεgsit aux , qui de simples deviennent rhs Coma ossis. ous avons ait Oi plus haut comment cesIarties proditi sent de la farine. Mais datis a cra inle u 'On ne regarde et teloctrine Comme ne simple Conjecture, e prisne lecteur de parcouri Ies X psiri enCes rap-3orides par lusieur chimistes , et emite, celle)ccasion, l'exemple des aiax de plute, de la rogge,

i , 'une couleur verte , et des luelles , momeluani elles soni pures, aprbs avo i sit ex possiestu soleti, on e ut ire les substances doni otirient de parier. On volt dono , 'aprbs e qui a dit, que les eis ingrata et sit rangers, in Sique les terres minὁrales, ne euvent contribue a nourriture des si getau X.

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en a semant datis des Epictbres , fundent laur

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De priis, vivant les observation do os F, apa ille ou es liges qui soni kragale dis lance les tuae des aiatres, is en leu forco, non de la e- menc elle-me me, ais des naeud de la lige , qui G. 3.

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terrain , Comine n oulet sorti de a Coque notire plus a force de 'oeus qui ' produit, maisd 'une nourriture tranglire qu'il se procure On

thode, si dommagent dii travat et de frais. ΡOur Oi, qui suis assur que les semetices des Vsigύ tau peuvent sit re en dommagε es par te froid, par a Vieillesse , par te climat , ii parra' aut res Causes tranglires , e pense que et te Etho lepsin ibi et laborieus , ne eul oin donne licia SemenCe ne Vertu sussis ante , our sidommager duo ravati, et qu'il aut leucs' occuper de 'en- grais et de a prό paration du terrain Cependant,il est trὁs sicesinire que a semeiace ait les quR-

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DE I G in I Q I B a. I 3 lites , que nous a Von indiquges Ci- levant Chap. III et sol de a meille ure sphee que 'on Hisse se procurer Indsi penda minent des inconvsiniens qui ac compagnent la sit ho de des si pinthres , 'on a SotaVent remar lusi que de semenCes qui 'sit olent pa bien pleines, germolent beaUCoia plus ite, que celles qui sit olent plus fortes et plus pleines; mais que a grai ne qui en provenoit tot trbs fotble. Ibi aut enCore observe quo, an ii terraintro gras , ea plante Soti plus ourries querendues propres h se multiplier aussi orat-elles de plus grandes euilles, des liges plus fortes , tandisque es graines soni petites, et ne parViennent

que par ce Et rem pernent nausiriis te mala die

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la qualis dia torra in D 'il arat clier her origi Drdes vers qui si,' arent in s in Dor , ii sui bion pie e terra in leur serve de retrait'. 'in lini fori

tirpe les vers qui si vorent i semetice.

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DE I 'AGRI CULTURE Io7Il est naturet de croire que e germe ut es petite racines sortent aveo plus de facilit si 'utio CnVeloppe tendre, que 'une enuoloppe dure. Iln 'est a dou leu non plus que e Suos Ourricier ne passent plus isύment par des ores largi si par ne en Veloppe a mollie Alusi, ne dύCouverte qui prodii troit ces esseis, ne Seroit

potiato rejet ter Examinon cependati si Cello pratique ' pas de dύsavant ages inbuit abies, et plus grand que te avant ages qu'On 'eu ΓΟ-met. Il est is de voi que a semetice in Siamollie, est plus ex possie aux impression du Veni et k 'intempsiri de 'air , qui petivent 'en dommager oucia a ter totalement. 'il survient uno tro grande chaleur il est Constant que outo 1'humidi g, tant de a semene que di terrain, doit 'si vapore : insi, a semene en peril plus tu'elle 'en eqoit conssiqueminent, elle doli sudessἡcher, se fisi tri et sirir. 'it sui vient duaroidi'eau intύrie ure se hie et les fibres se sichibrent. Si 'air est tro humide, es fibres sonitro dilat sies et se silent Ii aut rei carque de

Plias, Π'iane tro grande quantis ὁ 'ea verssiesur a Semen Ce, petat aut an tui ter de a forceque ui en donner, si te sit rempernent e Sei ait pas ave pri caution. En es et, si on laisset remper a se me nee jus pi'ὰ ce riu'ulle se gonsta