Principes raisonnes de l'agriculture; ou, L'agriculture démontrée par les principes de la chimie économique, d'après les observations de plusieurs savans. Ouvrage traduit en français, sur le version latine

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ALSTON pretendiniae reali de hau ne Currit potui es ignon des plantes, et ne Contribue oin tu augmenter a Crois sane des sigύ tau mais

chaia et a crate absorbent 'acidi tygura hondante qui se troiive dans e sol. Sotis e poliat de ue , elle est encor propre k struire es insectes ut sibies qui se forment , Commutasiment, dans es terra in clui on de 'aci lily, uis tu' lle ansiantit et te mauu ais qualil si AH resto, e ne uis RSSurer que a Chaiax sit ruise es maliva ises herbes, ne levant 'acidit si Ces si me terres dissolvent lagra isse dia sol, et a rendent plus miscibi Di 'eauen 'attύnuant. Elles soni, de plus, 'une Culture facile. Ν'il est rat, commeri est dit dans es simoires de 'acadύmi de Suhde , annύ I7ψ , que la Chauxfas Se grossi la semen e et 'emp che de Dolrcirou prsivient a telle , ii aut attribueries esset sau qualitύs que nous tui avons troiivύes ci- levant: car a telle ne vient a des insectes , ais et 'acres de a parti hulleus qui bruteria semen cede a d me muni bre que ourroit sitire te seu Onpeii faire esse cet te mala die de a terre , en ut enlevant son aeret qui ieu de 'acide , comme

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a ait dire limitetque chimistes, que e se Calcaire si toti bi silant Ii est dono out simple qu'uniesrrain si j I maigre te sol en ore devenu avanis ge par 'addition de a chaia , vivant la re- marqued'ALSTON. Ces terres, en ac silύrant 'sivaporation , deSSύChent e terrain , et privent esplantes de leur Eourritur humide. Elles 'atia clientis 'envel Oppe de a gemence , bouehente grande parite les orifices de fibres, durcissenti si corce des graines , et Obstruent les passages usu nourricier. Elles dissolvent et absorbent prompte ment la graisse dii sol. 'est e qui a fatidire . quelque pei Sonne , qu 'il ' a que esvieillariis qui profitent , ii 'enrichissent dii prO-duit d'un terrain fertilis par a Chaux. I est done ais de voir que da hau et es

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d'une rhs grande utilit gur ian terra in igre et oid , quandisn y en et ne quantit Conve- nable : Cependant ii aut conveni que , sit geave la glatse et te able , elle ne renne aduret d 'une pierre Dinais 'aprbs es obServations que nous avotis aites, Chaque Cultiva leur Ourra Connoi tredes Circotistances, dans tesquelles usa gedecia hau deviendra VantagQux RUT terres . .

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Tolite splice de mariae mise datis 'eau se divise et per i a liaisono et quelque Compa Clecita 'elle ait sit dans e sein de a terre, expoSύUE 'air, elle se rόduit plus ou molns It O une. pondi e senil lableo de la farine. Νύatimoins, elleo Cela de Comimia ave la glatse , qu 'elle se Charge de 'eau et a relient, mais moin fortement Lamariae calcinge devient plus Compacte, maisensuit elle absorbe J'ea aveo plus 'avidit ὁ, et elle perd a liaisona 'air. Si oncla lave dans 'eau, Oni'en obtient ni parties salines, ni parties graSSeS'

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i 'acide nitreux mai Cette hine dόCOCtion , auhout 'un long tem , a prύcipii si ne petite portion de muriate de mercure corrosis 'une coul ur lanchatre. 'il est rat que Ur BEL aist ipsi ne malibre on tueus de a mariae, i est certain qu 'elle venoit de uel que substanc quis' troia volt inpii e acciden felle metit Par a distillation de in marne , on 'en obsient ni sub

d avarilage elicia dis illant ave de 'eau. Fuisque a mariae par a distillation, ni parciola vage, ni angi'Alcohol, ni dans 'aCide nitrique, ne doniae auCura Vestige de graisse , it 'est pasnisi de voi fur quoi se fonde 'opinion de euxqui pr5 tondent qu'elle en orati erit, k moin quoce De Soli surcia proprisii qu'elle a 'otre doliconia cuCher. a monae observation doli volesti euretali venient au prsitendu et fertilisant qu'on ui

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d 'autres terres qui soni Figes aveo euc iis serventa diviser es terres, et Dies endre molns Compa Ctes et Oin te 2Cesci iis donnent plus de Consistance aiax terres sigέ tales et a celles quison dem nature de a lo urbe Carci'exp6rienco nous appreni que les terra in bas et humides pretinent de a solidit si tors tu'on oin dii sable ,

C est , sans Oule , parce que e sabie se te ave laparti grasse de la to urbe cit favorisent te passago de 'air, qui se porte Sur te racines; enfin es terres sili es de able sont 'une culture facile. C 'est ne erreur de Croire que e gravier et espierres contribuento a fertilit de a terre, en

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ou que a Chaleur ait vaporer de plus, iis Iaisseti tro de passage u roid pou Dappe les