Principes raisonnes de l'agriculture; ou, L'agriculture démontrée par les principes de la chimie économique, d'après les observations de plusieurs savans. Ouvrage traduit en français, sur le version latine

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j 'ai ait rem per de graines dans CC ite Sollatiora, et 'at remat qui que es graines ne se onsolent

piis, se di issolent , et ne evolent auctanement.

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terre aveo des plantes maritimes ἴlees Vec

I limon laiseu de a mer commo CA MEDEN assure que e font les habitans de Cornouailleso aveo te able de a mer, vivant IIII DRE , qui proten d que e saliae est 'aulant meille ursi cet sage , D'il est ii si des endrotis es Plus avara cύ de a me , Arce u 'alor il est Plus char g de muria te de Gude On ASSUrede monae que les habitans de a Gothi I ri4

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olorent e terres , petit Voi des avarata ges nais cela ne Couelut iri en a Veii di muriale

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94 PRINCIPES BAISONNESgsitii ration et de a multiplication des lanies,

et que an Nitre, elles ne Croitroient Oint Ceux

a amat troitu te plus petit alome de se neutrg.

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gratias L se aikali, qu'on obtient en hi silantles plantes, 'est a forin par te nitre, qui eloti ὁj lui-menae; mais i est pro luit par ne noui elle Combinaison des parties, telles que Pacide, Plutile , a terre. Quanto 'exp6rietice, 'avolaeque a terre nitreus favoris la fertilisation , et que e fumier est Changs en ne terr Niti OUSO, Par a putrsi factio G ais it ne 'en fuit a de-llique et te sertilis alion soli due ma graisse de

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de champs fertiles soni devenus 1 Uriles par l 'addition tu nitre. Queique personnes antent 'usage des aikalis fixes, ora des endres non essivόes Elles donnent potar arant i experien C des anciens et de modernes , et sur-tout eri simoigna se de VIRGILL , de COLUMELLE, de PONE, et de beau ODp 'aut res, parce u 'il est sicid que e Dalron uia rhonate de sotade des anciens est ian se a hali Flles al-Jύguent en utre 'exemple de Anglais, qui fertilisent leur terres aveo des endres de plantes brsi sies qu'il nihlent aveo dii able Elles en citentd 'aut res Di ont 1 graista leur terres ave de amousse rhisie, ou ave de Cendres de ho is, et C.

D'aut res se solident fur de riChes moisson quoquelque culliva leur Ont oblenues, en et tantle seu li des hi Dybres Eufin , elles insistentsur e qu'o troiive dans o ut terrain fertile un

se uJsolvent ii ea a 'air Ces suis dissolveritent threment

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nuisibi es que ous es aut res et , si oti lega ef n troi grande abondance. Ain si es eis ingrata et artificiet ne Contribuent que peta, upoitit hcia fertiligation, ais comme it, 'existe pas ne eule plante Di uia seu arhre , dans leg iueis On neor Ouve ne portiora 'une substance salio . e fera voi ici me e se est acide parsa nature , et tu 'i vient iminsidia temetit de 'airou de 'eau qui, pendant a fermentation, 'est combinύ datis a plante me me aveo ne subtan Citisammable Ce se est diffsirent our e gosit et dans se proprisit sis, vivant a diffsiren e d molinvement de fermentation, et de la proportion des

parties qui e constituent. J'expliquerat en e de molsci manthre donli conqois que 'air et i 'eau euvent pro duire es dissὁrentes parties On8 lilia antes que 'on troiive dans es ἴgit avx. I se forme uti acide distorent dans es diverses plante , par Π ΟuVementini erue de fermentalion 'une substanc infam-mable , qui vient, Ou de 'airci ou de 'eau , onqui a sit communi lusi au terrain , ou ensi quis trouVe an Chaque semelaC , Ou qui vient de