Principes raisonnes de l'agriculture; ou, L'agriculture démontrée par les principes de la chimie économique, d'après les observations de plusieurs savans. Ouvrage traduit en français, sur le version latine

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eonvenable, parce que satis a Chaleiar On ne eulex Citer ni motaVement, ni fermetitation, consύ-queminent oint de germination On verra, dans

est possibi , chaostia et in rie de totas es cotόspar se sole d. Troisibinement, Is faculi multiplicative des

humidit convenable an le 'rre a Car, o utefermentation exigeant ne quantit proportion-nelle de parties iam ideo salines et uileia ses, Iasticuli multiplicative de graines exige pareit-lement ne Dantit convenalite de Ces principes

ut appropriό Pleur nature Ii ne aut dono pas

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que a quantit de graisse et 'humidis varie

Quatribmement, ensia, on petat augmenter a cultio multipli alium, par ian leva in o mali bresermentante Cona enabi , qui, poli se Oindre kla graine, demande uia crus se rein lorsque es

et de xlimat contribue a a multi olication Q

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terres opinion Ni est contredite par 'exp5rieno et paria Bison.

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DE 'AGRI CULTURE. 33

de sitourne te homines de ienter de areilles expύriences Que jugement tant-i porter de

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t up plantos minsim Me es animaux , Ne peIIIaeras vix re an Chaleur Dans 'aut omne, orsque lachaleur diminiae, a vi gύ talion devient unguis- sanie , a Couleia des plantes disparoit, et se Tanim au elour de a Chaleur Dans es fύsfrolds, es plantes Croissent aveo plus de lent ur: et parviennent plus prompte metit licia maturilsi, dans es siti s haud ; a chaleur contribue dono heaucoui licia sig6 talion to a croissatice des plantes. Pota connolire Commendis opere Cethgnoinline,il aut distingue detix sph es de Chaleur: l 'une, contenue dans 'air, t 'aut re dans a terre qui s'elbveo haut Voyons uel esse is es eu es phcε de chaleur pro duisent fur es plantes , Sur a terre dans laquelle elles croissent, et fur 'air qui leg

baleti agit de deii manthres surdes plantes; IV. 1 bellement et formellement , en C qu 'elle produit et favoris te molavem erat des SUCS: Car a ceSSR-tion decla chaleur occasioniae Celle dum ouUement

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mati bres grasses, Son produite parda terre grasses et inflammabie. 'aurai occaSion, par a Suite, do 'silendre plus amplement Sur et Objet. La chaleur de rat et celle de a terre agissent de detix aqons surcia terre elle-mo me. 'abor ld 'une anthre gelle et formelle, en rύsolvant ea vapeu l'eau et a parti grasse de a terre, et entes potissant vers a furface des Vύgstaux Cetesset est da particulibrement Chaleta Sou-

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terraiiae, qui ait sit aut de 'eau qui vient de Ι'air, vapore 'humidii qui se trotive par-tOUt datis a terre, et a porte vers a racine des

En secon lieu, a Chaleu de 'air et celle dola terre, agit Sur a terre elle-mhme 'une anthremat grielle , en Combinant in parti inflammabie, qui se rotave , et dans a terre mome et dans 1'air, ave Ia parti grasse dii sol, D'elle rendi ar-la plus sertile et plus nourrissant. RemarquonSOnCore que a substance spiritueus dii rhgue vόgύ-ta se combine ave les usi, tances uileiases ;voilli ourquoi es terrain gras sontes oujCur plus Chaud que es terra in arides et seCS: 'est quod an un terrain qui anque de graisse la substanc inflammable e petat Oint se combiners parce tu' a torsiliem' potnt de substanc analogiae

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et se asse senti jusque dans son int5rieur Ellenuit avx plantes, quanti cile est iro forte, parce qu'alor elle fore la substance nutritive de sortirde a terre en forme de vape Hrs , les suos et les fibres des sigsitati dessύchsis , ne euVetit troalignusis, et 'sipaississent Lauro parande chaleur produit e nil me esset fur es animaiax, ora pals-sissant parcillement leur humeura. a Chale urtro foli, te uit alassi aux plantes, parC qu'alor si Mouvementi des suos nourricier est a Tolbli, cum me totalement arr te.

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vivans declamature liennent lxvio, i 'ac Croisse ment tria conservation mais 'est Dia chalcur que escis is soni sis. I parois que et sprit dii monilen 'est aut re hos quo a malibrs de a lumibre udo a chaleur, te caloriqtis fulvant a nou velle nomenclatur Chimique), Combine ave les parties invisibies de a malibre inflammabie. En esset,la chimie pro uve que a malisere eli ausi ante, Cu te a foriqtis , est e si sultat de a combi-naison de in inlibre aveo a substanc inflaminable ou e principe hypollisitique de STII A L.