Principes raisonnes de l'agriculture; ou, L'agriculture démontrée par les principes de la chimie économique, d'après les observations de plusieurs savans. Ouvrage traduit en français, sur le version latine

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plus de rύsistanc Dreati Il est Certain que latros grande lirantile 'eau a te a substance nutritive: en fibi , t 'eau exposύe k la chaleur usolei et aux impressions de 'air, ou se corrompi, us' aigrit, Comme on e volt dans es eau dormantes. I paroit quo 'est datis es sues igris que es plantos irent de 'eau , D'il aut chercher a cause potarquoi es Champs tropi timides prodiat sentdes plante svj et les Dii De sorte de mala die gangrέ-tieuse. Il est Vraisemblable que 'est ussi de-lkque Viennent Cellem tantii de noetid et 'esphcede alle, que 'on remarque u liges et aux

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des eis athalis , ou de lainaia , ou du fumier qui

ia polirritur de la grai ne et de a lige. e tropii 'eau suspend 'op granion de a fructification principalement quand la plute vient datis e tem

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MOYEN QUI CONTRIBUE A LA Vs GETATION

PDis pae 'expsi ience ait oi que es plantes Croissent lenae dans Un terrain, ire dans unctuli e , on e Sauroit Guter que e terrain ne contribue beaucoia k a Vbgsitation , vivant sanature et se proprii los DC 'est mome e qui Cons-

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lu'un terrain se nomine fertile ou si sirile. On appelle erre forte Celle qui, par a pro ti- deur et a tena Cit , Conserve tu long-tem Sagraisse , et rόsiste plus long -tem Dia Chaleur et aux variations de 'air La erre ἴglire u olbie est celle qui a molns de profondeur, et Ui, parsa porOSit si , perdisissiment a graisse et son humi- dilsi, et ne sisis tela aux Variations est 'air Potarcontio I tredes diffsirens terrains, it est importati de

qui,'on que peii 'ἔpaisseu au dessus 'uncii de sabie, de terre o de CaillOux. Uti terrain fertile est, nasingrat, elui qui est potir vii 'une quantit convenable de substances nutritives , et proportionia6e k la nature de Chaque plante Un terrain si sirile est colui qui ne contientque peri u potiat de substances nutriti ves Cedernier petat ire rendi fertile , en tui donnant Osubstances pro presis a nourriture des Vόgsilauae. Ainsi, 'on volt questa fertili tyne vient pas directe-men de a nature particulibre de a terre , mais de substances traia glires quio soni Cl es.

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ferre Vegsi tale est ne terre poreus et divissi , qui se troiave en plus ou molns grande quatilil licia suri ac dii globe. Flle est ordina irement 'une Couleur rune u notrat re elle est Spongieus et Se gonsse quand ona verse de 'eau; mai quand elle est shche, elle 'assaisse et se meten ouSSiἡre Elle procurem passage facile Di 'eaupou se fili re oti our 'duapore r. It 'enire pasdans monil an de sita ille les genres , les esphoes, ni te proprisit si de la terre sigsi tale cie ne Considύrerat , quanto prsi sent, que les qualit sis par Iesquelles elle contribue k la sigsitation. Potir connoitre es principes constituans de laterre vύgsitate , onda ait bovilli Lun seu modgrsi I 'on ait vapore ensuite a lessive qui en pro-Vient, et elle si posemne potadre a unat rei'umgosit salin. Si 'on alagmente te eu, 'on Obtient nexi r i quid de Couleur brutae qui, Concentr par

I'ύvaporation , prendisne sa 'eur uere et une deurpiquante. Si ora pors ed'gvaporation usqu'h siccitfiliaste une matthre visqueuse et saline, solubie dans

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libru a Citieuge est dii LI mileque 'on obtient patia distillation.

Lorsque a terre vύgί tale est ex possie aiax ab onsdu soleti, elle perii Sara bstance On tueuse, et laparti aqueus dans laquelle olle est eu Velopi be , O il ne res remit' u e terre en potissilire Mais laterre oggiale des lilia humides et dia volsinagedes calix, oin 'sprouver a moindre dύ perdition, S'alagmento Cliaque annύ parcia Ourriture des plantes et des racines Voilli 'origine de la tourbe et des ourbieres, dans tesquelles la terre vύgsilales troii e Comme totist e. I 'eXpsiriunce a fati con-noi re que es Champs en graisss aveo de lito urbe di-Visge .n'en si prouvent plus 'utilit ala bout de de uxans. I ii' a doti aucula profit se servir de Celin- grais Ili aut beau Coummielix mole de laterre V tale aveo de a glatse, parce que e silange es divise . Ceu qui prsi tendent que a terre sigi tale se Convertit en glatse, paroissent 'avoi examin ni a nature de celte terre , ni Celle de a terre argileuge. Par e qui ierat 'otre it in volt que a terrevi gύ talo contribue beau cou es a sigi tarion.

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propreo nourri te plantes, et uno Substanee saline qui serta combiner a graisse Vec reau mais 'eau et a chaleur divisent facilement esterres cibi aut donoe, potiri inpecheriet te division in ter a terre vύgb tale a Ve la latae. En CCON dlieu elle 'imbibe de a parite grasse de 'air, qui est dispossie a s uni aveo des substanCOS analoguOS. Aia ob en de a porosit et de s solubilit6, elledoniae passage lici'air qui 'approcli des semen Cesqui germent et de leur racines Enfin , et te terrevόgsi tale est facile hora valiter. Cependant, ii aut emarque que tonte terrevsigsitate 'est pas galem ni fertile Celle qui sotroiive dans es lieu ombra g est ordina trement plus graSSe que Celle qui est ex posse aux rayon dus oleil 'acide qui se troiive accidentellement enpiti ou molns grande luanti 5 dans es diffsi reo test erres vύgi tales, est de detix sphces 'un est de nature Vbgsitate , et vient, Ou de plantes momeoia luto des au stagnantes : et acide se dissipe par te essύchement Morsque a terre est exposi pinu soleti I 'nutre Mide participe de 'acideminύral il est si auxiau qui 'entra inent, et lachaleur ne auro it te dissiper. et acide minύrales ou sulfurique, et se rotave dans lanoMThe ii Ooren Contre avx pie is de montagnes , ou dans e paysmontiae tax Cette clo urbe, mi se dans uia grani fuit,

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ne 'allia me pas aissiment, et ne ait que se Changeten harbon o bieni et acide est de la nature de elui dii niuriar Sotide La lourbe quide Ontient , se troiive an te volsinage dela mer Aussiles Chimis tes, qui ont analis la tourbe, inl-iis

ditsi, ni a graisse qui tui soni propres oumu' elle ire deri'air Celte terre, rhsitastique , est dilatsi pari' eau doni elle 'imbibo , et est condenssi tors tu' elleen est privsie, Conssiquemiment a Semen e ne petat