Principes raisonnes de l'agriculture; ou, L'agriculture démontrée par les principes de la chimie économique, d'après les observations de plusieurs savans. Ouvrage traduit en français, sur le version latine

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ciet, et dans a mἴme Contrύ , es momes plantes ne peuVent Oint Croitre , et 'lu'on ne rύussit past OujOur , quandra transplante ne plante 'untie dans uti utre , ous te mome limat. D 'aprbs e que nous Von dit fur es parties constituantes de plantes, si 'on Considhre quetout ea pe ut e CDnVerti e terre, Omine onte dimon trera dans le Chapitre SuivRnt, Ou Sommes en roit de conclure queci'air Contient totis es principes donicies sigEtau soni compossis. Ainsi, Ies plantes prosphrenti 'autant plus qu'elles j ouissentd libre cotitae deci'air, que t outes le Urs parties , conssiquemment leur racines en Ont tota Cliges, et

fulvant qu'il est plus adapt Lia nature de chaque Plante, 'aprbs a quantit et a qualitύ. Volla pourquoi es plantes croisse at si bien dans la

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m anthre , en y oignant de la lima ille de fer descend res non es Sivsies, dia able sit aveo dum it re

de Ia potasse et de a farine. Enfin, Charies Alsionrapporto des expUrieli 04 faites dans le ἴme gosit,

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duit de plantes aussi fortes, qu'auroit pudefaire leterrain te plus gras Illa, depuis , remar lusi ii 'en employant a Chau vive, a Croissa nee loli plus solbie , et que 'eau de Chaiax ne rendoit e plantes ni plus belles, ni plus fortes.

lation de a terre. De plus, Da mis des ignotas do jacinthes dans de Peau distilige, et i ema oblent 1

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de plantes pars attes, qui, rhlges, on donn une

qui pes virigi iures , i petit orcitre quatre milJeplantes diffsirentes, dans tesquelles on troiaverades viles et des eis dissύrens Stippofons qu'Onfasse 'analyse chimique de Ces plantes on ob- tiendra resque de chaque plante k peu rbs uneonce 'huile et de sel si cette uile et e selvenolent de a terre, it faudroit qu'elle conlint

seconde distillation, n acide spiritueu ot ne substanc hulleuse.

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petite portion GUETI ABD a re mar lusi que 'si vaporation et oi plus forte dans Certaines plantes, et motos considὁrabies dans 'ati res savant apareit lenient observ que les plantes qui soni X- possies au soleil. 6 vaporent plus que Celles iii soni k 'ombre. Illa fati voti aveo HALES , que lefluide qui s'si vapore est, Comine 'eau pure, priVg

o ire regarit 6 Comme Servantis cur notirriture: la plus grande parti de Celle aia y est allirgepour 'aut res Sages. O ODII ABD a examin la

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56 PRINCIPES AISONNES Comme I et demi k 354. I est difficile de μ

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Chalciar Convenable , our ouuoi dilate les Orifices et les fibres , et poDr ati ἡnuerit divise legparties isqueus es et puisses Car 'eau et les Vapeur froides Contra ieroierit ces bres et cesorifices Aussi es exhalaison froides de fore se des lieu humides , sotit-elles ComulianόmentContraires h la v. gύ talion Il ne aut dono potni

tis au qui sonta a sui face de a terre, et Celles qui Viennent dia ciet. La troparande quantili des premibres est Dui- sit te. I ne nourriture sura hondante empἴChe es plantes de doniae de a grai ne dii mo in Celle ita 'elles dolui erit est ros aqueusu ; sicli si h Ia Chaleur, elle se Confra te et se a te dans ei augrani froid. ne grande quantit de malibre nutriti ve ne dot doti pas donner 'espoir 'unersicolle ab ondante La surabon latice de 'eau dilate

tropcies orifices et les bres de plantes , elle tesdύchi e Mne, et ce sichirement est 'autant plus considErable , que les orifices ou es pore Oppofent