Nova Acta Regiae Societatis Scientiarum Upsaliensis

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de mpheu lui-mo me sans unco ura gement signalsi dii throne, maisaias si sans emphehement. En alton dant, les ira 'nux de in Socioisi des Scie nees - qui, pendant les matheureus es antides des derniers tomps dii rogne de CHΛn-LES XII sita lent presque arrhisis - avnient sitsi de nouueau ranimes dans Io courant de l'annsie 17 19 et d'aprsis uia plan plus Utendit, par E ric Leuetelius D h l'niansio sui vante, une nou velle sUrie des aetes dela Socisitsi, solis te lit e d'Aeta Litteraria Sitecim, fiat prole a paratirc. Dans l'introduction bion sic ritu de Lentelius il est dit, enti 'nutres: VPer movit nos, tit manus huic labori admoveremus, Patrice amor, quam viginti annorum luctuosa belli tempestate quassa am decet se ipsam exhortari ad litteras iuvandus. V - Ces acies partirent par cabiers, par trimeStres, et dans la langue Latine, qui, encore de nos j urs, continue illo treemplo Ssie, seulement avec celle addition que, dans les derniers temps. In Socioisi dos Selences a sans disseullo necori 6 une place dans S PS ae- tes h des insim tres illuri insirite distinguo, heriis dans in langue Fransalse qui de nos iours a commencsi a se sui re valoir, solas plus illun rapPOrt, comme in langue des sciences eXa CleS. Les qua ire premi ors volumes de cos Acta Litteraria Suecim o talent dispossis h l'instar dia . urnal des Sahinnis et des Acta Eruditorum Lipsiensia, qui, de leur temps, iovis satent ii 'une grande estimo. - Iis furent d'abord recus avste uiae telle approbation par te monile erudit, que les premiers cabiers en dure ut oti e rsiim priuisis en Λllem agne, et que la Socisit si des Sciencos se vit oblighe, plus d 'une scis, de sui rere venir de celle contrsie ses propres Ouvrages q). Cependant une si poque de dix ans de la nou velle carrisire de lyn eti-

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nome instruit dans Ia person ne d Eric Burinan, institu leur et prodέ- cosseur de Celsius, tant dans les soractions professoriales, que dans colles de Soci silaire. Ce fui uti boni me digne d 'bloges, et en l'hon- neue diiquet On doli observer que, dέjh en 1722, ii avnit commen-eb h Upsal tos premiseres Observations radisio rologi ques , Ies quelles, plus iarit, par un esset des solias et de l'enco uro gement de tu Societsi des Sciences, commenchrent is hire nites nussi dans les provinces tesplus siloignhos de in Suside. Elles starent, ensuite, I si unies et mises en ord re par les soliis de la Societe, potar oti e transmises h la n ovat So ciet v de Londres, socisitsi a xec laquolle la ni tre s'cinit iroux he en

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ment dii Gouveri ement.

La premiere marque de profection que la Socisitsi des Sciencos oblint de son Proeses Illustris, nouxollement choisi, sut qu'il lui procurata sanction noyale donnsie Ie Novembre 1728j dii protot de Statuisque Ia Soci sitsi avait tros-humblement prύsentd. Il est dit dans cetie sanction quo Sa Majoslsi aeeorde h la dite Socisitsi te noni de Sociolas negia

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la Soeisito' '). - Commo objols de l'activith de la Socibi si des sciences sontpreseriis en ghnhrat nos Litteraria, surto ut les sciences Mathonia liquos et Physi ques, i 'Histo ire Natur ullo et la Goographie de la patrie, Ia langue Susido i se et les Λn liquit sis. etc. Los insimoires de Ia Socidisi noyale des Sciences pariarent ensuit e Sous le iitro d'Λcta litteraria et Scient iurum S uociae. Eric IIui munsul, apros Lenetelius, pendant un couri espace de temps, Soci sita ire de lasodisitsi. Le colobre Andi si Celsius tui succeda, et durant ses vOyages h l'sitranger, les memes functions stirent ri)mplies d ahord par Samuel Ictingensverna, et ei sui te par Jean Inre. Los revenias de la Societsi des Sciences etaient alors fori restreinis. Iis derivnient principalementdes subventions donia si es par les membreS eux memes et des venti sies quela vente des Actes de la Societo potivnient f urnii , los queis se vcndaiciat certa inement olors tros avara lagoii sement dans Ies libratri es h lrangh-xes, mais qui cependant i 'auraient pas Sum aux dopenses croissantes,

si Diic Benzelius ti avait, par son influenco, procure h la Sociel si des Selences uia reventi supplsimonia ire de S 000 Dalers, montante de cuivre ' . De colle maniore, tu Soci etsi des Seiuncos pul, de temps is au tre, payer des ais i 'instrumens potir 1'institution d'Observations Mothorologi quos dansles provinces, uin si que des voyages dans la patrie vers ses conli hos tesplus septentrionales, qui en ce temps lis si talent, pOur ni iasi dire, une terre inconniae. De cetio maniore sui expsi disi vers la Lapponio, en 1 752, M. Charies Linlineus, alors j eune Liudiant de 2 o nias, avoc un SQ cours tet quo lus fontis de la Societsi pota valent I'od mel ire, savolt 400

cependant plus consid sit abies que, dans des temps postsiri eurs et avec desuevcnus plus larges, la Soci sitsi a pii aliouer si cet objet. Lo ictine old-ve remi, oursa bientOt largo ment Ie secours do voynge doni ii avait joui, quoique, par suile illincidetis asseκ singuli ors, ta publication de in description me me dii vorago, appelsie Lachesis Lapponica, sui long-

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Les revenus restreinis de la Soci sitsi des Sciences arrhisirent, plus d 'une 1ois, son activit si et purent illa utant molns permetire de Venir au secoursilia dournal commencsi qu iis suissa ierat si potne h la publication de sespropres risim Oires.

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L a Philologie en gh librat et cello dii Nord en particulior avult

de honne heuro fix. l allention de la Socibi si des Sciences. Les matbriniax rhunis par ol. Nudbech sis potar uia Thesaurus Linguarum Harmonicus, auXqueis la Soci sitsi des Sciences consacra uiae paritedo son noti vitsi ei doni les Λcles de la Socioth conservent des hchanti l loris si pars, soni h la usirito peia considerabies. Les insimo ires solarnis par Di Celsius Ilainb ot G. y Vallin soni plus importanis, et ibino ignorat de plus de critique. Leur valeur archeologique et philologique leur assure-ra en to ut temps une place distinguee ). Les anno lations saltes engui se de iournal par la Societsi des Sciences alles lent pus si que de bonitu heure l'on songea h des recuetis de nauis potir uia Dictioiana ire des Dialectos Suhdois. Le sonat eur Conale Gusta De Londe, qui on 755 succoda h M. leComte Arvid Horii on qualith de Proeses Ditistris, accorda h collo

oeuvre patriolique uiae altention particulisere. Ol. Celsius t 'ain si, commelui timi des langues et des antiquiisis, accueillit avec empressement l'id fed 'tin Dictionianire Suhilois, et ii ins bra dans le I me volume des Aesa Litteraria de l'niansie 1752 uia commen cernent de ce travnil, embrassant uno partie de Ia lettre A. Vers la monae bpoque, tin aut re IMPm

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publies, ce qui cependant, durant la domination changeante des partis,lui allira plus illiine 1 is des d sis agi si mens. La postsi ritsi devait mi elix queses contempora ins rendre justice is une odii 're qui avnit deman id tantd 'ann sies de ira, nil in. Los anno lations dii journ ut de in Soci sitsi dos Seiunces altos tent aussiqu'elle a de honne boure consaci si ses solias h l'si lude gύοgraphique de

i 'un a vani- propos de in Soci sitsi des Sciencos, sigia si par son Secrsita ire A. Cclsius, Oti cel ouvrage est furtout recommand si h la j eun esse studieiise qui ius tu' iei, sauto illuno telle publication, sit ait rest si otrangore dans sa propre patrie. '' U) - 'hinit datis Ia mpino in fontion quo tu Di-roeteiae de l'Observat ire d'Upsal D. P. IVorter a ait, deici en l759,d' apros l' invitation de la Soci sit. des Sciences et is ses frais, publisi iiii Calendrior Λstronomi que. Λsia de savoriser de plus en plus led si vel opponient des si ludes ghographiques, qui, stulte de guides convena-bles, ren contra it inninis emphchemens dans nos etablissemens illenset gno

metit sui siri eurs et in riuurs, ta Societsi des Sciences prola, nutant qu'ildbponda it d'olle , de l'eneoura gement et dia secours au Graveur attach. h son service A. Ahermau. I 'Λllas portalis qu'il a publisi, et furtout ses Globes de grandes et de pelites dimensioris, confecti oransis solas i in- spodilon de la Soci sitsi des Sciences, de 1760 h 1770, eurent ian grandsucchs. - 'histoire natu relle de la patrie ne sut pas non plus luisssiesans attentiora. Un ouurnge en eo re denos jours fori estim si, Ies Λranei Sueci ci de C. Clerch, ouvrage de luxe potar celte sipoque, Ornsi de planches illuminsies avec solia, sui aussi publisi h l 'instigation de la Socioisi dos Sciences en ITO T. Sur tu recommandation de M. te Coin te de Bonde, te proj et diu noorganisation plus convenable relativement au nombre et si la classis cation

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des membres de la Soeisit. et elle sut aliasi autorissie hhonora ires. des Membres oblint la sanction royalo, te is aula vier l742, choisii , Outre ses 24 membres Ordinat res otbirungers, des dioints et des Correspon-

Λpros S. E. M. te Conite Donde, qui moliriit dans uia fige sori n- vanesi, en 176l, nyant rempli pendant pros de 50 ans les sonctions de Prsis ident de celte Socioth, colle ci choisit polir son Prinses Illustris S Λ. n. le P einde risii sidii aiste CHΛRLES, D uc de Sudermannie; choixati quel cet auguste Prince da igna metire uia si grand prix que, torsque plus tard Il monia fur tu throne de la Suside commo no i , It vo ululbi en d si clarer que, la Soci sitsi des Selences ii Upsal nyant sil si in premiore

Soci sitsi savante qui L eut appeto dans son sein, Ii vovinit nussi conserverpendant Sa vie cet te prsifidelice, qui ne sui transsbrbe qu'h l'occasion duddeos de S. M. oti l Sl S, a S. Λ. n. le Prince norat OSCΛR, noti enuguste Soli vera in actuellement regnant. La insimoire de la pro siden cusonii-ssiculaire de CHΛRLES XIII est conservsie par la insidaille quo laSoeioth des Sciences sit si appor en 1 Si , et presenter h S. M. La devis eheu reii sement troux de: Primus Amor Phoebi, explique t embldme dula urier, qui fui te premier amour de Plisibus, avarit que les coursi ors dus oleil sussent encore confisis h sa main.

Los Soer6laires de Ia Suci sit si des Sciences, pendant coite longi ephi itide, starent: le saxant Orientaliste C. Auri illius, l'Λstronomo E. Prouenerin et te Bibliothoenire P. F. Aurivillius. Le premior eut lebonheur de polivole reprendre l' impression des Me moires de la Soci sitsi, interro inpiae pendant uia asseZ long intervalle sau te des morens requis. Cufut son Proeses Illustris quo in Societh dus Selences dui l'importante subvention qui tui permit, entre l770 et 1780, de publier uiae Dori velle suile de ses Memo ires, fous te illi e de ΝOva Λcta Regiae Societatis Scientiarum Up salie n sis, avec une d si dicace h S. Λ. R.

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le Due CH LRLES de Sudormannie, oh il est dit: V Vellemus publice

praedicure Posse, quot quantis Itie P0noribus Societatem hanc litterarium devinxeris, et continente gratia devincius. Verum enim vero, pium cumereri jusseris, Publice vero laudare vetueris, parebimus, ut semPer, Au

gusti Deuefuctoris jussui, silentiumque nobis ipsi imperabimus.' - L i dition peu considorabie du 1 r et dii 2:d Volume sut hientot sipuissie, et ahisi rhina priuisio depuis en Λlle magne. Mais la Soci sitsi des Sciences possὐ-

dant encore une bonite provision des volumes sui vans, ain si que les plaques grausi es des planubes de cet Ouvrage, it seruit peiat Otre avarila gelix d'entreprendre Ia rsi impression des Volumes en question 3M .L'auguste exemple donia si alia si par te Prinses Illustris de In Soci- sitsi des Seioneus influa, jusqu'h uia certa in potui, Sur SeS PrOPr S membros. L'ami de Linnsi, te Duron Charies De Geer, en core de nos jourscήlobre comme proso nil Ento mologis te, et doni les M simoires potarser vir si l 'Histo ire des Insectes msi ritent l'estimo des savans, sica deau d'un certa in nombre d exemplaires de son Ouvruge potar hire distribu sis, selon te proj et de Lirino, comitae enco ura gement h quelques 6-tud iuris en histoire natu relle. Un de ces exemplaires, colui dii chlobre Voyageur Fors di, ne compagne des observations de Linnsi, se troiave dans

a donation de S. E. M. te Conite de Fleming, h la Bibliothoquo dol'Univorsith d'Upsal. La Soci sit si des Selences res ut une pretive d'une munis cenee encore plus grande de la part de detix nutres discipies de Linnsi, te savant Mineralogue Jean Abraham Gyllenhaal et l'Λpothioairo de Ia Coue Frddsi, te neruodiei ). Unis, illis leur j eun esse, par Nn a in ur multa et de i histo ire natu relle, par uia penchant insatigabie potaries collections et par des sentimens identiques, iis sitaient convenus, d hon 1'annsio 1785, de sui re dori h la Socisitsi dos Selences de leurs importantos collections d 'histoire naturesse et, de plus, d'un capital de 4,si Rdr 15 sch. 4 r. Spsicles , somme consido rabie pOur ces temps-Ih. ur. Gyllen hiaal avait, en outre, de son vivant acheth llaticlen ne habitalion du

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que t 'espace H troit a pii te permollire, par les Λdio in is de la Socidisi Mi s. G. 0 ahlenfers et G. Mi hlin. Dans une petite maison de plud appareiace, ancien mussio de Schesterus, se irOuve la Bibliothoque asseae considerable de Ia Societe des Selences, qu'on doli nussi h lu gonorosiisi