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nos principales familles, l'indiscipline des troupes qu'on nepayait potnt; il dύmontra h S. M. combien ii cinit humiliant potar elle de dsipense de quelques usuriers et de voiruendro h vil prix des rentes fur ses domaines ; il prouua a
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rens bien bel Gillae, mala que par fatius de fondementa si
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semit plus astur et auitant a Mur commandemeret quen leur
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cet homme Guέ de rares verius et de belles qualisa. Ces Conseils έmirent l'avis sui vant que nous crOyODs d voir donner in eoetenso, parce qu'il contient de curieuxdsitatis offici eis fur la situation financihre de nos Provinces h cetis sipoque si eritique. si En premier lieu, quilκ treuvent tresfainci et utile te fruici que par ieelluy discoum se promeci, quest dextirpertes Lombatas et usuriers et latre accomoder tant Sa n jesω que les subjectκ dicelle en leur necessiteg dargent a
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si petit interest ou rente que de si x mur cent, en lieu desexcessiis interesta que Sa Majestg et la republique fouffrent et que quasi fur semblabies mis en avant de plusseum au tres τοι 3 pagger vivi et trente rans, on a goraveret tache aesis mectro en practoque, mais a estύ laisse pour les dissicul-tea qui sy sont rencontr6m, o Dont entrauitres la principale est, la faui te de credici, quil y a tousiours eu tequel estant astheures tant du costelde Sa Majesia que des estata et villes de pardem doni l dici Oudegherit sentend de prevaloid moindre que ne fust
n De sorte quil y a petite apparence potir sur ce fonderdenter ou aut tres aydes potar fonder te capital de telle im-
Portance que ii te fauit, ne fust quil pleuist h Sa Majesta
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sit 3 a que ques uos qui peta vent a voir amass6 quelque petit tresor doni est a croire que te nomhre est trespetit
aymerioni mieuix de te cacher soυbs terre que de les mectro aux tresoryes Publiques. n Τiercement si on tes vetiit fonder fur les dentem des marchands et rentiers, est une Chose tresasseuitae que tantqu'On trou vera rentes a vendre vlix deniers XII et XVIe pardeca Permises, voires en desso abs leur constitution sur nnes et Mures hypotecques, ii ny aura Person ne qui volat ira donner son argent a rente et moindre proussit
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ment sera favorissi par totales les autoritas, n'inspirerontelles pas une aussi bonne opinion, une aussi grande conflance que les Lombards qui, eux, ne soni Pas embarrassct
de tro ver des fontis 3 Peu importe que les domat nos do Sa Majesth et ceux des provinces et des villes solent tellement engagds et chargis de rentes qu'iis ne puissent plus servir h donner du ciadit avx tessoreries ; cet giat de choses
domaines de Sa Majestέ solent vendues h vil prix, c'est queles villes solent obligges de demander dsilai fur dsilai potar