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CONTRIBUTION A L ETUDE DES MUCORIN ES. 5a. Champignons simples ou presentant uno simple bifurcation a leur extremite sune seule e spece est dans cecas). Tubes fructiferes fortement renctes a leur sommeten une Vesicule globuleuSe Ou Ovoide, Sur laquelle vie nent 8'inserer les sporangeS . . Syncephalis. b. Champignoris ramisies. α. Dichotomiquument, extremite des dichotomi eS occupee par une cellule petite en comparaison du renflement des Syncephalis, Sur laquelle s'attachent les sporanges . . Pipiscephalis. β. Autrement qu'en dichotomies, te renflement Situe au Sommet deS rameaux est gros et res semble a celui des Syncephalis. Mycelium ramisie, non anastomoSe . . SyncephalaStrum.
nites des genres de cette famille.
Τοus ius genres doni nous venons de donner les caracteres principauX, preSentent entre eux des potntS de res Semblanco qui per- metient de les rapprocher les uns des autres et de constituer ainsiun tableau dans tequel les divers genres Sont groupes d'apros leursassi uites plus ou molns grandes. Volci a mon avis comment cesrapporis dolvent eire e tablis. Le genre Mucor me parati eire te groupe piuot auquel par l'intermediaire de Ses nOmbreuses esseces Ou peut rattacher les diversgenres qui constituent la famille des Mucorinees. Los assinites de ces derniers ne soni pas toriours faciles a etablir, ce qui est dia a ce qu'un grand nombre de termes intermediatres maliquent, Soli parce qu 'iis ne SOnt pas encore connus, Soli parce qu'ils n'existent plus ; mais tous, aussi disserenis qu'ils puissenteire presentent cependant des caracteres de parente indeniat les.
Une premiere tribu, celles des Pilobole es, groupe bien distinci,
Pilaira, surtout par tu Pilaira Causatii. Lu Pilaira dimidiata
Syncephalis et Piplocephalis. Des trois te genre qui a te plus de
caracteres mucorgens est celui des Syncephalastrum, d0nt te pori, la ramification, te mycelium non anastomose est identique a cel uides Mucors. Une forme anormale du Syncephalastrum eleganstrouveo par Mr. Em. Marchal dans Ses cultures rappetait, commeparallelisiue te champignon que j 'ai dsinomme Carnoya capitata. Les Syncephalis ont uti apparuit fructifere identique a colui des Syncephalastrum ce qui elabiit entre ces deux genres Un caracteredo famille bien Dei. Les Piplocephalis disserent asseκ sortement de ceS deuX genres ;
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iis possedent en commvn avec eux l 'appareit sporangitare et jusqu' a Un certain potnt Pappareit sexu ei. Par contre, leur ramification dichotome, leurs canneiures, etc., leS en eloignent beaucoup, Onpetat toute is latro remarquer que te Syncephalis furcata montreune bifurcation, ce qui indique que la aussi, la ramiscation quandelle existe , a uno tendance a se latre dichotomiquement. Le genre Piplocephalis me parati avoir eu la meme origineque les Syncephalis, mais dans la suite, les descendants ontevolue), ssiparement dans deux directions differentes, d'ou sontresulte les disserenoes asseκ profondes que l'on observe entre ceS
Des Mucors simples, on peut latro deriver d 'uno part les Spinellus et les Phycomrcos, d'autre part la tribu des Mortierellees comprenant les genres Mortierella, Herpocladium et Carnoya. Τout ce groupe etant quelque peu en relation avec les Syncephalis, par l'intermediaire des Mortierella qui possodent un mycelium diechotomis et anastomose, analogue a celui de ce genre. De toUS, te plus rapproche d0s Mucors est te genre Spinellus qui, a part lacouleur, a to ut a sali leur aspeet; a colui-ci se rattache directe-ment te genre Phycomyces, egalement colore et comme lui, reSSem-blant tres sortementa uti Mucor, a tet poliat que jadis on l'y avait place et denomine comme tel. Ce qui distingue surtout ces de uxgenres des Mucors vrias, ce Sont leurS gygospores, qui cheg te Spinellus se produisent tres facilement et soni d'une forme quelque peu differente; celles dii Phycomyces s'eloignent enormement de cellos des Mucors, et de celles des Spinellus, elles Se rapproclient beaucoup plus des χΙgospores des Mortierella et des Absidia,
genres doni les organes reprodu cleurs d 'origine sex uelle, sonicon Struits a peu pres d'apres le meme modele, c'est a dire quec'est une sphere compriSe entre de ux bras et recouverte par desprolongemenis qui partent de cenx-ci. Le genre Mortierella meme a d a par lui-meme d 'assez grandes amnii sis avec les Mucors, mai S les genres Carnoya et Herpocladium,ges volsins, en ont encore bien plus car leur mycelium ressemble a
colui des Mucors; il n 'est en esset ni anastomose ni bifurque commecelui des Mortierella. Ce mycelium anastomose existe aias si cheg les Syncephalis coqui cree un potnt de reSSemblance entre ces deux groupeS; par leurS gygospores les Mortierella ont des amnites avec les genres Phyco-mJces et Absidia. Les Thamnidium cnt comme quelques au treS genres Helicostrium, Chaetosi lum), conserves une partie de leurs caraeteres anceStraux, tet est te cas dii gros Sporange que porte i 'extremite dufilament principat des Thamnidium ; sporange qui est tellementsemblable a celui du Mucor mucedo, que Mr. de Bary avait considere ce cham pignon comme une forme du Mucor mucedo. Ilpossede de plus deS rameaux verticilles se ramisiant dichotomique-ment, particularilli qui tui crsie des relations avec les Mucors ramifies en corymbe, en Ombelle et en verticille, au meme titre que te Chaeto-
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cladium. Les Zygospores des Thamnidium soni du meme modeleque celles des Mucors. Enfin te genre Thamnidium possede encore de nombreuX potnis de ressemblance avec les genres Chaetostylum et Helicostylum. Des MucOrs rameux paraissent deriver un grand nombre de
Les Zygospores des Absidia disserent toute is beaucoup de celles du Rhizopus, elles soni du type Mortierella, tandisque celles duRhizopus out plutot de l'analogio avec celles des Muco IS.
proche volsin est te genre Chaetostylum. Le Mucor bifidus me semble eire te promter intermedialae de lassirio qui a donnsi naisSance au genre Sporodinia.
Ensin te groupe asseZ bien Durni des Mucors circines, pourrait bien avoir ete la fouche des Circinella et des Pirella, genres doutl'origine est Uraisemblablement commune, mais qui dans la Suite des tempS Ont evolve un peu differemutent. Les Uirciuella se rapproclient tellement des Mucors proprementdiis, que certainS aute urS, Schroter entre autres, les y fait renirer. Entre te Mucor circinelloides et te Circinulla simplex, it n'y ad dureste, paS une bien grande distance. Il serati interessant dedecouvrir leurS Zygospores, asin de voir si, de ce cote la auSSi,
semblent a ceux des Thamnidium et du Chaetostylum; par lacircinellation des pedicelles de ses sporangioles, ii fait penser auX Bircinulla, aux Pirella et aux Mucors circinsis; ensin P Absidia repenss'interpose entre les Helicostylum et les Absidia urais. Le genre Dicranophora receminent indique par Mr. Schroter est eucore Si peu conitu qu'il est fori dissicile de determinor exactumentses assiuitsis. ou peut tontelais diro qu'il est proche parent des Thamnidium, Chaetostylum et Helicostylum car il possede commeeux, deux SorteS de Sporanges ; seulement, ici au lieu que les spores Solent egales dans leS deuX sortes de sporanges, elles Sont
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inlgales. De plus ses gygospores Ont deux bras tres netlementin egaiax, ce qui n'existe pas chez te Thamnidium, te sevi des genres precitεs Ou los organes Sexueis soni connus ; il s'en suturait donoque ce genre Serait plus eleve en Origanisation que los autres. Mr. Fischer te rapproche du Mucor heterogamus de Uuillemin oula copulation se fuit au moren de deux branches inegales. Il nous reste mainter ant a parier d'un groupe fori interessant celui des Cho an ephore es qui par Sa conStitution, SeS ZygOSpores, Ses chlamydo Spores et Ses sporanges, appartient aux Mucorinees,mais qui par sa forme conidienne se rattache auX Mucedinees, et a certains AScOmycete S. nites de la famille.-Les Mustorines soni tros proelies desChytridiacees terrestres, des Synchytrium notanament, avec leSqueis elles ont de nombreux potnis de reSSemblance. Diverses Mucorinees rappellent certaines Mucedinees et Ascomy-
Ensin nous, favoris que places dans des conditions determinees, certaines especes donnent naissance a des formes levures qui se multiplient par bourgeonnement comme les levures veritableS. a suture.
INDEx LICHENUM BRITANNICORUM. BY TAE REV. J. M. CROMBIE, F. L. S.
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b. Stirps, L. vernalia. 21 L. cinnabarina, Smmi f. 22 L. mutabiliS, Fee. 23 L. lucida, Ach. f. th0iotea, Ach. 24 L. clavulifera, Nyl. f. subviridicans, Nyl. 25 L. quernea, Ach. 26 L. phaeopS, Nyl. f. major, Cromb.
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72 L. misella, Nyl. 73 L. semipallens, Nyl.
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f. limitata, Cromb. 103 L. tenera, Nyl. s. eX planatula, Nyl.
liave two students so thoroughly interested in the study of lichensas the authors of the above-named article have proved them Selvesto be, one result of their ressearchos being the addition os 118specios to tho Lichon Flora os the West Riding. Many notes and potuis os interest in conuection With the discrimination os species must have cropped up in preparing the Work, and one cannot butregi et that so me os these Were not introduced, as Such giVe a ringos life to an otherWisu bald list, and more uspecialty When We callto mind tho extreme brevity of many Nylanderian diagnoses.
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sidered as being equalty important, or even more so, than internalmicrOScopic seatures ; consequently, at this age, When the pendulum has SNung to the oppoSite extreme, and characters are moStly Dunded on colour, Sige, and septation of spores, the old speciesare not recogniZed, the result buing that many sueti are beingagain described as neW species. The above are the principalreaSOns for redescribing old types, and it is much to bo dosired that everyone having an opportunity of examining types-by Whichis meant the actuat specimen hom Whicli the original descriptionWas draWn up-Would give a neW description of Such, in accordance With the usage of modern times, embodying not only microscopic seatures, but also externat characteriSties, habit, etc. Host, matrix, and microscopic meas urements are undent ably very important factors in the discrimination os species, but their abuse in modern times has probably resulted in as great an evit as did their absencesrom the descriptions os the old authors. Hystextum insigex, B. J C.
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on leaves os Capparis Iamaicen8is. Cuba. I am not aWare of the existunce of any previousty publi8hed description os thiS species.
Hysterium cyrilloe, B. y C., Grev., VOl. iv., P. 1 l. Glonium cyrilice, B. y C., Sacc. Syli., Vol. Xi., No. 5593. Hysterium chlorinum, B. y C., Grev., VOl. iV., P. 12. Glonium chlorinum, B. y C., Sacc. Syli., Vol. Xi., No. 5595. On tWigs of Cyrilla, Car. Inf., and on tWigS Os Quercus aquatica, Alabama. Examination os the type specimens proves the tWo speciescited above to bo identicat. I have seon free sporeS agreeing inform and sige With those described above, having 3 septa, and palebroWn. This is probably the mature condition os the spores of this species, although I have not seen such in an ascus. The
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Glonium tardum, Berk., Saec. Syll. . it., No. 5607. On leaves os Cyathodes straminea, Tasmania. Described as'st. tardum, but entered as 'εt. cyathodes, B., in Berheley's
Gregarious, reddish-bro Wn, Sometimes, but nos constantly, Realedon a pale spot; perithecia commencing as circular palchos beneaththe epidermis, then elongating transversely to axis of branch, be-