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si cum e partieulier a faire entre mον es mes isteres et sinum comme eo inires de istuet nostre pere et meo d'une pari, et lesiaeta monis d'autre, j ay promis et pro meeta pareeste irrevocablement de benesteter tradicia monta et de cederati prouset d ieeulae se me je fata dea maintenant) ce que me pourea restea' de bony tant de ma portion filiale es biens patrimoniaulae, que du de ursement que j'ay fulci p-r nostre famille, des deniers de mon fallaire en la qualu/sumentisnnia, te totit apres deduction de ce que D suis i si timement re vable et doni je suis prest de faire declaration sincere et pertinerite en estant requis; en Oulire, je me fouismecta a telle moderation de mes greges ou salaire enludiete qualus que Messeigneum I'Illust. et R. archevesque de Mulines et chaneelier de Brabant comme Protecteura desilicis monis trouneront bon de faire dea se Mel paMε. Et d l'aeeomplissement du eon tenu de ceste j'ay obliqε et oblige par erate ma personne et biens presenis et futura
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Ιl est in contestatile que dans i reetion et porganisation
ses fomes avec les nombreux adversatres d'une institution
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gher. linbelle, la fille de Philippe II, moui ut si paux re
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populariti fur son administration, soli nέcessitsi de donner
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te change au public fur la usiri table situation des assai res
pendia, etc. N. Da REiννEsngas, dans ses Muvelles Irahives historiques, tom. T.
In publieanum, reti faeneratorem vulgo a Frigia voeatum uox oscLE aeti avunculum. Bene publicanum Patruum vocant Belgae Ad quem nepotum cursitat frequena turha.
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qui, joinis avx 556 864 n. du capital en prunia, forma ientun total de fl. 1, 208,788 1 rem bourser aux monis 3. Non- seu lement te surintendant-gsingrat des monis, mais a UMiles exsicia teum testamenta iros de la Νύ nissime Infante sirent de temps en temm diverses instancea de bouehe et parescript rera les successi' sora vernetio de ces Provinces a ceque aeroit une sola vivia de cest afaire '. Enfin on obtini du gouuerneur Don Francisco de Mello, aveo permission des exsiculeurs testamen latres de l'Infante,l'otare de procsider k la vente des joDux en gages. Mais, quo gulan etit armaravant convo quέ Par allichea et aut res advertences lea principatim Dyaltera de France, smilando et a uires quartiens L la vente, commencsie te 25 septem-hre 1645, ne produisit qu'une somme de 290 598 florins. De uis S. n. s'en est ressentie Par lettres mur a voir estaceste vente Dicte sanaprmadvertance Hicelle et de gon or e pro re M. C'est cet te circonstance qui indulsit en erreuri,uteur du mmoire gur la situration dea mont domiέω
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Ceux qui avalent en main ta hau te administration desmont d pisitsi s'essi vhrent d'une siluation qui comman
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le conseil Privsi de S. M. coit de soci devotr d'intervenirdans celte question. Le prsisident de ce conseil donna hCh. Cobergher i ordire de M ire par escript Porigina,
institution et conduit te dor monta 3. On ne savait quelles mesures prendre mur retarder le
Charies Co inher voyait sa sania se dέlabrer totis tesjoum par l'esset des tracasseries sans nombre que tui su citatent les doubles embarras de l'administration des monis et de la liquidation de la mortuaire de son phre. Il. offrit,h en croire tine de ses lettros en date du 25 juillet 1645 η, Ia dέmission de ses lanctions qu'il semble n'avoir rempties jusque-la que provisoirement et gratuitem ent ; car il demande qu'on tui fixe desormais uti traiiement de 4. 000 ff.; tui, de son coia, Promet de faire wus te sceau du secret,un testament par teques it a corde a la direction des monta
son Ddre Augustin, moyennant un furoriat de d6penses de 8 h 900 noritis annuellement, et, la liquidation de sonphre arant cid termin6e par une transaction, ii resta chamsi de l'administration des monta, au grand dsitriment de cesinstitutions. Il eut cependant te bon esprit et te murage de fonderii ne des plates de cette administration. Des sommes finor-