Études historiques et critiques sur les monts-de-piété en Belgique

발행: 1844년

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분류: 미분류

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norins '. Volci un aut re calcul Encore, comprenant fixannoes de plus et fournissant des donnsim fur chacu ne de

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Anvers. . . .

ua line . . . .

Gand . . . .

Arras . . . .

Valenciennes . .

Cambrai . . .

Lille . . . .

Bouai . . . .

Namur . . .

2, 540, 233 267, 32

Appi siciant dono te coisi utile de l'institution des monta-d pisitsi, le gouuernement leur continua it toujOUrs in hien- veillance. Les Protecteurs et te sui intendant-ggiagrat desmonis avalent repr&entsi h S. M. qu'on ne reconnaissa it plus du tout les privilines accordes aux ossiciers de cesmonis, et que ceux t rencontra ient partout de l'oppositionet subissalent des vexations de la pari des magistrais desvilles. Ces tracasserim n et alent pas nota velles. D a, du temps du premier surintendant. Woncestas bergher, on rodigea uno masse de requotes, On enla mades prochdures sans nombro mur latre respecter les privi-

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leges accordsis avx ossiciem des montain pisiia 3. L'obstination que les Εinis des provinces et les magistrata desvilles mettaient a ne pas uouloir reconnat ire ces privilines, hinit d'autant plus odieuse, qu 'iis avalent totinoum jusquela respecta ceux des tombards , et qu'en dύfinitive ce ti' talent pas les employsis des monta qui ύtaient les victimes de cette violation de privilines. puisqu'on tes indemnisait de ce ches, mais hien tes classes ouvi thres qui devalent payer uti iniaret d'autant plus sileusi. Cobergher, fils, ren- contra plus de dissiculisis encore. Exce tέ seu ement, di ii lui-m sim uae de se vilis de Brumelles, Malines et de Beryues- in Nin q, totis lea magistrata des aulares villasas bande ut ou vertement par procMures et voles do 'it contra te contenti de ces privili ges. La dsisense en cinit dono devenue impossi hie, parce quo la direction des monis avait totinoum succombo dans sos prsitentions, devant i 'au inritsi administrative comino devant I'autorita judicia ire. Laviolation de ces privilύges sembluit chose jugde. Les causes de celle opposition des Elata et deis villes a reconnat ire les privilines accord& aux ossiciere des mont

ce qu'On ne rogardait pus ces institutions comme l. ira ou la bourae dea paraures, mclis abusivement comme M

negociation particuliare donι te ring ou peris et chameam cherois ut auae aurintendant et ostiolera desilita monia.

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Queiques recherches dans les Archises si Conseia Prisέ

natent lieu. Aussi, dsis 1652, les doyens des msitiers, firent- iis, dans l'intsiret des principales industries denos villes, d'unanimes rύclamations contre ces franchises 3.

Mouisa a cela que beaucoup de magistrata avalent vud'uti init jaloux te caracthre indύpendant donnsi aux monis. Puis a force de calomnies et d'in trigues, on avait fini par rendre leur institution impopulatre, mome au priades personum les plus haut plausies, meme au pria des autoritos les plus respectabies. Ces exemptions d'impols et ces franchises devalent, d'ailleurs, choquer d'autant plustes populations, que les temps sitaient durs et les charges fort lovi des '. Quoi qu'il en init de la cause de cetis opposition des

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stata et des villes, torioum es ii qu'elle clinit devenue plus violente et plus gEndrale que jamias. Le roi Philippe, paracte dέclaratoire en date du 26 januler 165 1 3, confirmaces privilines et plaγ les Protecteum , surintendant et

tant des logementa, du guet, etc. Et afin quisn 'en psit piatexter ignorance, te roi permit is ces lanctionnaires de placer, h l 'eutiae de leur domicile, les armes de SaM estg. Cependant ces mariues de protection de la part dugouuernement et les modifications de dέtail propo es parte surintendant gngral, ne mu valent sussire h vaincre tesnombreuses et rieuses dissicultas de la siluation. Une rsiforme cinit devenue indispensabie dans la direc

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II 6tait hien prouuέ mur totas que les deux causes principales de la dsitresse de cos institutions silaient te non- rem boursement du restant des em prunis et i 'abuissementpiamature de l'intsiroi des gages. Ntan molns, it hiait hors de doute aussi que Ch. Cobergher, totaioum malade Ouoccum de l'administration de ce qui tui restati des moeres aequises Par son phre n'avait pas conduit les affaires desmonis aveo cette luciditsi de uves et celte sermetsi de v lonisi qu'il esit fallu potar teni r tote aux circonstances dissiciles que ces cliablissemenis venalent de traverser. Les deux Protecteurs des monis, i 'archevoque de Malines et te chan celier de Brabant, avalent montrέ sans doute duethle dans la hau te direction qui leur έtait confisie ; maiatemharras de les rauembler, de leur imposer uri trana lassi , te Maoin de la conflance du public dana les comnatasances Pratiques dea membres de cotta commissiori su-

Le sati des eontinuelles indispositions de Ch. Cohergher est attestidans presque t les ses let tres Irehines de Pareheocthri ; eelui du goinqu'il donnait a ses propriεths particuli hres est rapporth dans diverses notes confidentielles repogant aux memes Archives.

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yeraonne rei se bien Publiin, qui consistati h laisser hces magistrata uiae part dans la direction des monis. D'apiasce projet, te Protectorat gύnsirat deces sitablisse menta devait Otre config a monseigneur l'archevsique de Malines et aupresident dii Conseil Privg. Ensuite, it y aurait eu au prta de chaque mont deux Protecteum particuli ers, te ches duri Aa et te ches aseulier charg& de la revue des comples, de la collation des ossices, de la constitution dct rentes, etc. On aurait fondii dans ces monta, les institutions possέ-dsies par quel ques villes sGand et Bruges, entre a uires , ou l'on pretati gratuit ement aux Pati vires; οn y aurait outέ me me la caisse des dεpois et consignations ; le tout aveo dύfense expresse de jama is permetire, mus queique prsitex te que ce sui, te dύtournement de inus ces fonds deleur destination Propre. Αυ cune sui te ne fiat donnsie h ces detix pro eis. Sur cesputrefaites, un certa in Iean-Baptistr de Berty, reniter des

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conceu dea impresgiona ginistres au desarantve de I'k-neur et reputation des directeum dea monta, les Protecteumoxighrent d'abord, te 19 septembro, la communication de lare lusite de ce rentior et des comptes qu'il y avait joints. Leconseil Privsi commit, te 5 octobre, te consciller L'Hermite

POur examiner, ensem hie auec te consei iter fiscat, los questions sotile sies Par Cette re lusite et en msime temps tesmmures a prendi e potir relevor l 'institution des mont de-

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uno lettre dans Ce Sens.

constitua la direction suprome des monis-do-pi etsi surdes bases nou velles que diria, en 1649, te roi avali fait Pressentir 3. Sa Majestsi, mur procaver tes domaiges publicu et conserver iradictet morris en leur estre, ordonna, par son sidit

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