De la philosophie de la nature: ou, Traité de morale pour l'espece humaine ...

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edi oujours une age proportion entre les

pardonneron te supplic de leur pere, sa euve mourra satisfaite 'avolt sub laderniἡre, te plus sensibi Cl. plus injuste Mes opprobres. Fin decies seconde Partie.

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PROFESSIO Ν

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. 'ROFES IO, , cc. 39point M'on leues ravisse , parce quec'est te plus ancien de ses monumentarc est Rome qui possede te palais Sordemeron inui conserve la cabane

de RomuluS. Les nations qui croupissent dans testanges de la barbari soni encore plus attachees h leursantiques superstitionsscomme che elles ilis oujoum te defendide rie batir elles n'oni potnid'obj et de comparaison: 'aYant a- mais, de palais Sor, esses ne foup-SOnnent meme pas quaelles Uliabitentque de cabaneS.

Enta presque ou les habitant dumonde sociat, grace a leur education pusillanime, semblent des automates

qui ne se dirigent que par te finde

pniant te burii de a credulite, se

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16 PROFESSI ad conservent quand si devient homme hil est ausidissicile de gueris reue quine pense mala d'apres lubmeme de

Iour effraye te philosophe qui elo ne ova secouer avec Samson les Flonnecta tenapi Philisti erige a lasupersition ii ny a eu pour luid'autre Dasila que cene fausse prudence qui est venue tui arracher si plumes en

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chaines dAnaxatre: 'ai pressenti que mon ueste de Die metoli publicque quando serois dans son sein,

rai pes tout cela, 'at crit: avec des intentions au pure que les ennes, je me suis repos surda possiterit du sein de ma defenseri 'at eule ourage de lesse la generationpresente Iou faire te bien des generations qui soni 1 naitre. Cependant comme parmi me con temporiam meme ito amne foule

de gens de bien doni 'ambitionne lesuistage se dola initar devant eo mahardiesseri jecie. Mis une professionde sit qui tes emphche de me condam

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racteres de seu dans mon me, 'at epulse a lagique aci faire passer

dans celle de me lecteurs. I, te nobi orguet de me mire immortet: 'aime a me flarier que moni re servira a expier in tribunal de Die me erreos & me foliaesses:

ma te, en tui demandant leur grace. Un Die qui veille in bonheu desetres , attente de immortalite quienchaine homine licia Vertu voillites eu principaucanicies de monsymbole: 'est te precis de mon evan-gile, moni-rage eniter bien en- tendu peu endue regatae comae te

commentatre.

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aedes es altaques avec seu j'ai consola sphce humatne par ma logique pacisque, parae tablem que 'at οὐ seris Da sensibilitε; de magistrare qui veillent a depol de la religion

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16 'Ror Es V orae Qu impone assend acta societe que j'attaque dans les cines rouvrage despretres, po o que e respecte ou-vrage declamaturet Ou'impone que ediminue la sol, po umque 'augmentela vertu pM morale sera bien plus sevhre quecelle des ministres des auteis je prou-verat qu il est bien plus aisela observerdes eremontes que de iure sans remords, de se purifier dans te Gange, que 'entre dans te tonnea de Regulus.

l injuste ; e demonue que lesbonheurdes eues libres est essentiellement lie ramour de rordre cie efferre aurant γ'il est e moi tous lectiens qui enchainent la grande famille des hom

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cumons avssi delicates toute la circonspection quitem 'allier avec te comrage .d'hue vrassans offenser personne;

d'eclairermes contemporains, sanctes faire mugis.

Si se me suis cari quelque is dece principe, 'est quandri a fallu de-

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presente a mes eici ; 'ai cru devotrpar inserε pou les habitant de ceglobe leu faire connoitre a fon cesnegocians sacris, qui sent trafic de laterreur de resperance, qui vivent i de noue credulite sola des ouu ges qu is font Lia morale declamature. Mais a Die ne plasse que 'attaquela personne des prΦtres, qui dans Cesicle de lumihres soni servesties partes Oix Il en estis grandisombre qui enchesnεs pou faire te mal fonti bien me energie, qui consolent par leur morale les peuples M'iis epo Vantent par leura domes, & qui sunt