De la philosophie de la nature: ou, Traité de morale pour l'espece humaine ...

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n perte.

D 'existene que tu ἱdaignes parceis qu'elle 'est commune ave les animaux,,, 'est bie prόcteus a moi , parce quon e la partage avec Hercule, Romulus o Iupiter. a Quant a ces esclaves que ton orguetis me de nivea avec te quadrupedes, ea te demande , a mon our,4'il Da essen- , tiellement quelque difference entre una Romai conquόrant Qun Numide con-ν quis istis Teuton est unes te de sommen parce usi porte se malue e litiErear a capitole .pourquo u philosophora te que toto des esclaves D out pennui it ne iustifie a plus a rhomme qui se tue, que homme quin assassine : rennui est de Iuppite Sune

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sentcles migraines violentes , le dctangement Sestomach Masterrea mais rami de Tacite avolt trop tudi la nature our pervertis lamorale grand om me a contente dedire que de se tem On se uolt Sordinatre dans es trois circonstances by il ait

rhistoire u sulcide non son apologie. Ce que lineis' pas dit se trouve dansl'introductio a la philosophie Stoicienne de Iuste Lipse ce lavant la seletieme secte

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dea de la viem es obiet de ces cassentia patri , ramitiέ , es revers de fortune de douleur algues , a mutilation , uno maladie incurabie, rextremesauvretό,yέtat de

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-tes tacides soni des crimes , 'avoue quePARτι ii de paretis crimes sent au-dinias des mesesoges. La misees 'est te quani o a deshras our en sortis , mune tete philosemiaque mur apprέcier. La strene 'a de revers que our petro vir, qui, an elle, se crotroit e demiet de hommes. I est absurde de se uer parce que rori

e les hommes il est bien plus simple dos dature de se terreur que de existence. La ktόpitude austi ne sauroit justita losuieide iura vieissar a rai nn son attentat, Walor iliouves par si tete dire utile a se concitoyens o racte par aeque ilest sorti de la vie est esset u frangement de se organes,' alars la philosophion' trouve plus de moralite dans te premiereas ninmme d&repit qui se tu est a la sola Inconaquent Q upable , dans intre iln'est que malade. Ie ne dira mint aveccles Stoiciens, qua

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nouement.

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viem' saltricempecherda patrie de prolongerso crimein son ingratitude tΜais , mon heros seroi te philosophe qui auroit e courage de iure quoique flόtri, parce que son honneu ne dependias du ainc rice de tyran qui seroti serviesses mal- heur a uidie te coeu des hommes qui teson causis , Qqui tranquille ave se vertu opposeroit Dieuin se conscience avx clameurs de runiveravi Les sophismes des Stoiciens Ont depuis tόrόpetόs par ne foule de modernes , ais sensen acqueri plus d'autorite. Le docteu Donne , prόdicateur de Londres seu te Egne de Iacques I fit. volume in- . Auste titre de Biathanatos id it tenta de prouuer que te sulcide Gloit contraiis nia laclo decla nature , ni a la aison , ni auxrόvόlations runtque argument singulier qu'on trouve est tir d'une constitution apostolique , qui porte qu'un om me doli pluide consentit a mouris de faim M' recevola la

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T - nourriture de la main aeu excommuni H PARτι ii eonstithtion digne , s elle a exist , de servirde bas a la gissation intolerarite de Iair pagande qui n'asu seire tot dans rEurope que dans les sἡcles barbares ou dominolent letinatique Hildebrandinue pere incestueux de Borgia.

Long - temps avant e Biathanatos dudocteu Donne, volt par en France un

preuve , it in , que lassature permet lesulcide, de qu'esse travaille dans les en-

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que , commerae 'a dit, me presque rienpour qui ait apprόcier: Anglumane est donc si ingrat, i .roit ieux de se γόrit de se vices que decla vie. La more volontaire essiuvent te morenseriter de plus granis crimes. Celaseu dire ratiourda sociόt qui Ruit de a mort u scέlέrat, mais non Our leseelέrat qui se tum sans doute, it toti utile la terre quemison se persat de son Φόe mal le sulcide de Νόron 'en est pas moinsta attentat contre la nature digne de co

ronne la vie de rassassinta'Agrippine' de

Britannicus.

Silam est mortelle lesviciis nesauroititii vires elis es immortelie, uiuirendis plus grand des services. I ine semiae qu'il, a bien plus de justine dans te dilemme retorquὐ si rame est mo telle , te uicidera privera plus grand biendon elle puisse ovir , u laifit d'existet fielle servit ab dissiaution de nos organes Me . Dieide rexpose a/ue punielour aves u me