De la philosophie de la nature: ou, Traité de morale pour l'espece humaine ...

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DE A NATURE. 18 la sentence royale, inus lecΜusulmas ement

ia permission de ui racber a vis geo zzz

molns riniolόrance , cherche auiant qu'il esten tu a extermine ces matheureux soli avecte cordon des ueis, soli avec la flamme

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la divinitέ. . Son livre de immortalit de rame, olii la nim celui des enchantemenis, o,il se laterae desenseu de influence des astres;& elui si destinis i serioue de la providence, fitent beau u de ruit en Italis ron te mitra Pinde maisa teur erit pashrsit , e qu'i seu attribue en parti a lacisconspectio de se cara 9ἡre carcit avolepou maxime de parte en homme ciadule,& de pense en philosephe. Pomponace avolt la plus haut idό dea philosophes e sont, diNil, dans un de sesouvrages , es fias tres qui meritent lenom aeho es Ppourus autres , fauiles regatae eomme des ira figures , proprea

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DESPERIERS.

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vellies de la natur oli ponsuisse entrevoiria licence de se opinion : 'est-la Uil conseille de dόcharget os illes de vieillarti des laineant & de tous te hommes inutiles la patris, tae metiae an a mort ous Ies an un million 'hommes comme desnonces qui eoussent les plantes salutatres; idem atroce , mais qu'il avolt pulse dans lalέgislation de Lacedόmone carcii Κέtoit pasciit mur tirer de sariete meme ne erreur. Le minime Mersenne qui auroiicit te plus obscur des moines qui sont les plus obscure des hommes, sans rhonneu que tui silet es. cartes de cultiver a correspondanee, sei ramex uesanies tot parti de Naplas

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meo douge apotres our convertat univers