Pauline Foucault

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T. II. sa

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Baslien, que ous te poetei 'ecria madam de Min1-0vide en ricanant illaui se desse des hommes de chis res. I saut se desse de out te monde, madame, repondii te anquier aigre

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la diplomatis de allaires alguis resprii

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respectioni elle avali senti tor leta sum, elle ougraitiouriant de ce melange de poesi et de also qui tui vehat enaide.

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vingi scis des deceptions. Si te lecteur eui bien se appeter achaque nouueau developpement que nous donnon a ceti histoire, que Pauliue

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Foueauit est une nature ardente et aigris, qui a Mur dumondo et qui te convolte, qui Mut eu eire die aecusillie, et qui muriant Uudrati e fougrir, ast de le lier qui a tro de la doulsur, si quineis'aceommoderat pa de ne plus lasentir qui porte en elle ce ver ronosurdu Oui que rabbe Gaum empectera de trouver, s'il continus a uoules le de- couvrir; si te lecteur,eut bion reconnai-tre aussi γ'ilo a certaines superstitions auxquelle les aison les plus lares et les plus eclairoes almeni Deeder, et que Pauline, ara veille de retourne cheg M. de Villemoran, de commeneer avec lasoeteiana querelle qu'elle croyat inevitabis, eberchait ei sImaginati trouve des augures dans e salon; i comprendraque cella premthro discussion dans laqueus, artiste de reputation avai blas- pMine rari, et ou de linquiere avesent

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deuris a discussion Il donnerent anoire heroine latreuve accablante quele sentimenti'estias exelusis de la vulgarite iis melareni des latitudes a destheories delicates si biemque laiauure1isse, a chaque instant meuriri et sta itee, eiait iente de eur crier de se aire, et fougratiun insupportabie martyre, celui qui uerit les plates our ieux es