Pauline Foucault

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Pauline lait hie resolue a ne plus causer aveo Philippe Elle ne uoulait pasaugmenter ni aigri te tro is doni vile fougrait En conseque e de cette citem minaiion bie prise, elle ne lares paseehapperci'ooemio de renoue Tentre-lien Doson eoie, Philippe etaitiique auisu Dix minutes apris leur separation,ilis'etaienti Oinis.

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PAULINE FOULAuLTIlo usqifaria verite, et convene que leparadox est a raisonis succes et ledange des j0urnauX. - ous oule dire des ournalistes; maiij ne salsis pas''alluSion. . . Comment, Vousi'avouere pas quevotre theorijsurde sentiment en generale fur mon mariage en particulier elait

guere.

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A quo bon, mademoiselle, prendrepou nous parte les petite premutions hypocrites du monde siue uous ne con-naisse pace que je eonnais imp dit Philippe ave une sorte de dignite; nous sommes dignes de nous eniendre. Gest mur a que nou nem Seniendons pas, interrompti Pauline, avecu petit ire algu qui trahissait de pinquialude uisu depti. Nous ne nous sommes us ou la premiis sol que depuis ne heure, ei vesta imis quarisd'heure que nous disputonS. Oh des dispules commedes notres

ne soni guhre''ennamis, reprii Philippe

Est-ce que a galanterie est aussiune veri de journalistea demanda ma- demesselle Foucauit, qui mali asse deces badinages oratoires, et qui avali baio de renirer dans ledon didebat.

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nage; mon mari me attra eubgire. Votre mari dit Philippe en hochantia die je ni imagine dissicilement que cepuisse ire u homme choisi par uous dans ceti societe banale, que ouid passeiderioute raspiration de vos rgves l-Bahi comment mole laudraiNil done Un siletice serat Pauline sentati soneceu batire a latre resonneris potirine. Leriournaliste, qui avait une plaisanterie surra bouehe, se mordii l lene et devin grave, resque recueilli une lueur etrange lui traversa lecyeux sonvisage, impassibi d'ordinatre re colora

vivement.