Pauline Foucault

발행: 1859년

분량: 586페이지

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분류: 미분류

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j0urnalis te. Quoi de nouueau homme de nou- velles 3 Leministisechaneelle nous aurons la guerre. . . a molns que nous ne rayonspas Le terribie serpent de me a devoreu redacleuris Constitvsionnet mais comme ce dernier avai u numero dujοur dans la poche, te monstre est mortd'indigestion. Il est charmant, dii oui haut madam de Salni-0vide averun pelit ire ouire et complaciant. Il est stupide murmura out basPauline a roreille de so amie. - Attendipourde juger, repartit celle- ei; tu erras Ce sotiises qu'il debite

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servent d'etui, de gaine a sa mechancela. Letouvea venu elati un de coib-mes qui se sontisorioins, omme biendes gens se soni pretres ou soldais p ravoiris elat, mais qui ne iravaillent a

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natures emo sees, et rendent uitas de petiis services inutiles, out en laissant commetire de formidabies infamies. I me aie 'Mouter que e type dejournaliste existe peu, uis'existe plus dans les eondition nouVelles. Nous som-mes en 1841, ne roublions pas, a rheureo ra nyme preside encore avx mys-larisu arrois de Opinion Le ournalisme a iro besoin aviourd'hui de se Iaire respecteriour ne pas redouter ceditaines collaborationique 'anonyme ea-chai autremis L presse a perdide sapuissance collective; mais emereant murchacu ceste responsabilite personnslle qui it rhomme prive solidairo de riseri-vain, elle a purine son action, laut en ramoindrissant.

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souplis par les inirigues de iovilesia iis, altisant iovies es petites guerres, vendant, achetant, rasiquant laur a tourdu prossi de ovies les ambitions confl- denis de iovies le vanites, servant de marcheplexa iovies les oriunes, vivant bie dans 'ombre ei se resignant a ne parveni a rien parce'u'ilitouchaten atout ces auriens de talent soni presque inconnus arioum'hui. Iis elatent en ore asse frequentien1841. La revolution de juillet avait eidenombreux fruit sera et ces vainquevre, vaincus, 'esperant plus de repartitionprochaine, decourages et demoralises, vivalent acla solde desuriomphateum oudes ennemis iis avaieni cree, a cole dela Boheme litteraire, insoueleus et cha mante, une apre Bohεme politique, qui avai sa larce, ses moyensi'aciton, soninnuence, qui vivat dans les flamineis,

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troia ait dans de boudoir comm celui de madam de Sainb0vide, d'curi tenait en echeedes holeis eleganis de ses patrons. Ces crivatus, oux et cyniques, qui falsatent te id par megarde ei te malsans mechancete, valentisne sorte destyle, facile et promps, qui s'accommodati de cules les causes Ilisoni moris presque tous a laclache, plus res de labouieille que de reuerier. Ιls etaieni deforis buveurs, ne ouvant pas ire des mangeurs It composaieni a milieegrouillante que quelque individualites eclaiantes menaieni a rassaut ouincla de- sense dumouvoir Ilietaieni redoutes et

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correspondances mises a prix, et i sepouvat que madam de MinNovide ut sa complice et son associee dans cet hon-

nete commerce.

de so pay naiat Mais Philippe etait a

T. II. 33

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Sa slgure, qui s'Obstinat a vieilli plus vite que tui, irritat sori et robligeait ades preparations de tolleti donici semoquat et donici enrageati. O l'avait mel a die des intrimes de boudoir; mais o ne tui vaticiamai eonnu de maliresse en iitre et si ron tron it desnseuds de ruban parmides pipes culatura

dans ses tiroire, es gages etaieni restes se dolgis comme de plumes restent auxiuissonique les Oiseaux traversenta tir Falle.

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tout baia Adele qui te retenait dans un

glais: reternelle demolselle te compagniequi devient grande dame. - Εllem'es pasciolie, et te sentimentia maigrit.

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