Pauline Foucault

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lementi'avait paceie iro amen et Pauline putua pleure Sans remordS.I 'absene de a baron ne 'empsichapas M. de Satnt-Paares de veni regulierement, ious e sotrs, prendressa placea cote dilauleuit vide de solamie Hectorie traiiai ave une condescendane quieui sal fourire les anciens adorateurs dela baronne, si te comis 'eu pas ei ledernier furvivant de ces naufrages de Cythere Pauline, indulgente et bonne a Secheures, a musait de vieillar par quelque friandises de conversalion, et prenati plaistrina'en latre adorer.L'abbe Legros avali vovi se leni suria reserve mais, utre qu'ona ovait en-core u Whisi, Hector avati insiste pourque te vicaire sui assiduiomme autrelais. I salsati vis-a-vis au bon M. de Satnt-Paares Pauline elle-meme, qui aquinati

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1 une querelle theologique avait silui inspirer te desi decla convertir. Cliaque Oir, a la meme heure, M. deSain,Paares, en ournant angi de larue de Moncestu, percevait de tot te bonvicaire qui avant d'enirer, Pallendau devanida porte de Pholet. Quand M. et madam de Villemoranallaient dans te molide et fortalent te scir, rabbe et e com te ne se croyalent pasdispenses de venir, ou, 'iis talent VenuS, ne Se croyalent pas obliges des'en alter Ilisaisaient ensemble, par teschaude sotrees, quelque petits Oum dans leuardin puis licentralent au salone commenqaient ou continualent Delongue serie de recit qu is ne variatent pas oujours, et doni a morale etaiLinvariablement celle-ei: a monde est devenu grossier, disait te comte. - . ilest devenu impie, disai rabbe.

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tres dans ceti periode reguliere qui commence repreme decisive, et furtout aprhs a mori de la baron ne de ille- moran, qui elait encore te pretexi desvieilles habitudes, Pauline s'apercut que rabbe Legrosi'elait pas u aigle, et que . de Satnt aares eiait u touriereaubien monotone ei bien vieilli; elle eui desbaillemenis nerveux et ressentit des lassitudes elle ne regarda plus te comte et rabbe que comme deux accessotres ellechercha indisponsabie, 'egi-a-dire desamitiἡs, des relations fulvies, un salon

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Lesbonheur domestique ne se com Sepas seulement de l'estim et deri'amour reciproques cles eirangere les relations e sontis elemen essentiet. I lautencore 'aimer, 'estime a traver lemonde se chercher et se retrouver dansles au tres. L'amitte doli rendre, si de ce tains moments a 'amour, toute''electricite qu'elle en a reque, et ii est bonio metire son esprit en depol cheises amis,pοurriu'il le restituent aux heures ouron se sentiau re. 0 attribue te matheu et te defordrede bien des menages a l'imprudene ei ala venalite des union modernes maison ne tientias asse compte dipe de solique les epou metieni, attendemain des noces, a recrule leurs amittes Lej0ur, monsteu cour a la Bourse, ma-

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dam couri es magasins; e sotr, onbaille, en ortant de table, et chaeun se separe, pour sui rennui qui tui fait vis-a-Vis. Quand par hasard, o s'ellore de rester a logis, 'est par vanite, eis est pas par istisir. Dii a des musiciens oudes caries o cree, o achhte des pretexies, pou demetirer che sol sans impatience Ono allire la obue Mais lacobue est ioujours demande pou d'au-ires seies qui soni concurrende elle pari, ave la rapidii de regoisme, et elle ne laisse pasH'autre trace de son passageque lalaiigue ei te vide dicoeur et de la bourse. Les cercles, es cases an enseigno, soni des dissolvanis energiques de la*ied'interieur Ioigneia et ennemi l'insu Nnsane de redueation de a lamme, et

la lamino 'espri et de rabondane dediscordes qui se soni sentir.

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Ι 'elegance et a conversatio ne sontpas oujοurs, ins qu'on Ourrat lecroire, des apoues angereuses our ramour et les sentiments heroiquescat se degage, a contraire, des relations intelligentes umenseignemen perpetuet une rivalite, une hypocrisi memetu beau et duiten qui n'est pas sans prossi Lapremthre corruption, Cestra solitude.L'homme qui se contemple 'abeiit lanecessite de laurni une reptique fient enhaletne et renouvelle rinspiration. Sans doute la galanterie et lesimi coles mondain ne sont pas ramour puret' verite incontestabie mais iis men gent e les preservant des hocs et des Doliemenis inquietanis, te sentimenta purs, et les Verites carrees qui sans cela, se heurteratent et se briseratent a contaci brutat La politesse est, en deflnitive, la menue monnate du devovement et la

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T. III.

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par peu de paratis pliee. En generat,p0uriant, es reventions aulai nesqu'elle redouisit, ne tui valeni potnibarre la mute: mais elle eisit si flere, si

phali avec lanii'ectat, qwelle deconcem laticla sympathie. Hector vati tro de also pour nepas comprendre qu'il saltat in alimen aractivite de celle ame qui aurati bieniniflui de broyer son amour, si elle iournait