Pauline Foucault

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harmonis tendre aison de sabori, undisset celeste dans ses traiis fatigues. Vsitu simplement se salsant honneur de so luxe, an en abuser, rimant lenoi par coquetterie et parvidelite de so venir, preses'avoi aimo par conomie, remplacant seulamenta tolle par la sole, e la sole par te verium, Pauline si assis dans son salon pres de la senetre. Elle travaille, mais sans ardeur Elle s'interromptiour ire, mais avec distraction. Muvent elle regarde la pendule Elle sosouvient ditempsisu, admise par olerance dans e salo qui est devenu sondomatne elle passait de scirees delicieuses, 'epouvantant, a mille de sajoie decla marche des atmilles surcle ca-dran, qui semblai tui vole des heures de felicite Elle rouve maintenant que lesaiguilles sont lentes.

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- 'iei a me petite soldies se nibolimses, dii Pauline jesserat oblige detent tete a rabbe Legros. Je ais te scandaliser, e 'en avertis; occasio est bellespour nous disputer.

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Pauline leva a tete et regarda sonmari dans es deucyeux avec uimelange de tristesse et 'amour qui irahissaltranxiete de solame. Que tu es boni tui dii elle. Tu meri-iais 'avoi une lamme meilleure quemoti ais avoue que tu commences asilre aibout de tes ateries, et qu'a molns de latre oue des ieces our Oi, dolaire crire des romans ou moi, tun'auras bienio plus te a me Iaire mir

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Pauline leva la tela si garda quelques