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nOuce pas non plus que d'autres Eveques alent pris la parole dans celte assem blue. 0n sait seulement que t suoque ii 'Arras, Gux de Seve de Rochech ovari, resusa de Signer, et sui, pour Son opposition, oblige de se retirer. 0n te priva inemo de Iapresidence des etais de Sa province, et on donna lieu par lade se plaindre dia peia de liberie qui avail regnst dans tesduliberations. C'est ce que ne maliqua pas de laire t 'auleurd 'unc Critique manuscrito qu' in trouxu solivent j oin te auxexemplaires di s proces-verbaux du clerge. . . fel uerit Sem hieel re d'un aut eur asser favorable aiax jansen iste n is Anii de
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dans io saul urg Suint-1nlotiae do Paris, etail uia monastere de la congregation de Noli o Danae, in sillusi par te hien heu-reux Pieri e Fourrier. La nomination de la Superieure. Sui-vant les regles, apparienaita la communaulsi. Le roi, fur larecommandalion de M. de Hai lay, Archeveque do Paris, numma une religi eu se d nn aut re ordire, qui sui instat leo par l'Archevoque. Los religieuses se pla ignirent au Pape, quietati alors Innocent XI, de la violation de leur regle. Le Papetes aut orisa si ne pol ni reconnailre la supsiri eure qui leur avaithisi donnsio, et leur ordoiana de procsider a l election d 'une aut re superieure. Telle est i origine de l'assairo de Charonne v f Mureauae useules de cabbd Fleury, seconde edition,
Paris, 18l8, note de la page 209 .
DocouENTUM III. - Νotae quas munuseriptas reliquit Fleury. Nolas illas eum abbreviationibus, prout in autographo extant, edidit B. Emery, Sulpilianae congregationis Superior generalis, in opere cui titulus Noureauae opuseules de Fleum
pagina 2 l0 editionis secundae Parisiis, 1818 . tas inde,
absque abbreviationibus, transcribimus :u Chaneelier Le Tellier et Arche sique de Reims avec l'Evoque de Meaux en font te projet , principalement polir regale. Archevoque de Reims on pari ait au roi appuTe par Son Pere. Evoque de Meaux ne para issail. Boi uoulut qui voque de Ieaux en siit. Personne d autorito. Question de I autorite dupape regardeo comine secessatro a ira iter par rarchevoque de Reims sapparem ment excitidi par Faurei et Son pere. 0nno la d&idera jama is qu en temps de division. Cotheri insis-
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u Archeveque de Paris. 0idredia mi de traiter celte ques-lion. P. La Chai se joint. Pape nous a potasseS. s'en repentir3. sve que de Meaux propose examiner totale la tradition pourpou voir allonger lant que l'on votadrail. Complait satre dureret finir quand on vo udrail. Archevoque de Paris dii au rotque duret ait trop. 0rdre de conclure et dἡcider sur I autorithdu Pape. M. Colberi pressa ii. Exeque de Tournar charasi de dresseries propositions. Mal et scholastiqueineni. sveque de Meaux les di esse. Assem bides cheg l'Archevoque de Paris ouexaminees. Disputes. 0n volat ait 3 satre mention des appellations au concite. Evoque de Meaux resista : oni sitsi nominδ-ment conda innues par des bulles de Pie II et Iules II : engagos
ii Rome a les condaninor : ne reculent jam ais : ne donner prise a condamner nos propositions.
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sera obscvrcie par ces propositions odie usos.
a M. coiberi insist ait potar qu 'on ira it M la question de Paulori id dii Pape, et pressa it te roi. L'Ares levoque de Paris,le P. de La Chaiso insime, agissalent de leur clusi dans lo insime
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DocΠ3iENTi M IV. - istola gubernatoris Boulier, ad ministrum regium, quae refert suum eum Archi piscopo aqvensi colloquium, et ea qua constat deputatos eonventus anni 1682, non libere, sed jubente et eos designante rρge fuisse electos. - Εxlat hoc
magni momenti documentum in Bibliotheca imperiali Parisiensi, l78' munuserit mi lay, pieee 26'. Priora verba, letire de M. Roulier, ab ipso met de Haria I exarata sunt. TranScribimus dumtaxat quae conventum cleri gallicani anni 1682
α En ce qui est de la procuration, M. te Cardinal a dii
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10 TRACTATUS DE PAPA.d putas; que e Hait o ter tu libet id de to ute mansere...; qu 'ii
Doc ΕΜΠκ V. - Manuscriptae animadversiones, inter eartus ministri Colberi repertae, quibus eonventus anni 1682, inter alia, redarguitur, quod deputati nequaquam fuerint libere electi .u Remorques fur la drilaration de P assemblee du cIergd tou- hant Ia puissanee eeelgsiastique, reo e eι autoris e par P ditdu roi du mola de mars 1682.
lj I es ministres, dans la formule de proeuralion impossie par eux. avalent design6 l'assemblest fous te nona d'A sembi e o nerale eatraordinatre da clerod, representant te concile national. commo on volt dans les procri-verba eleryd. t. I, page 205 deg 'ipeta justimatives. A Roueni on modisia un passago de cetis formule. Ivi modhle ouvovse par te roi porta it que les d6putos avalente charge et mandement ex prses d'emploΤer toutes les Voles convenablos potirreparer les contrarentions qui out ese commisera par la coiar de Rome aux decretadu concordat v l 'assemhloe de la province ecclesiastique de noueri mit : a Iosconir ventions quila ιromerom oroir et commisses. ν La ptheo se trouve fi lii bibliothequo imperiale, Maeanstra coiberI, tomo Vll. 2ὶ li useo scripti anonymi auctor milii videtur suisse Fleurv. Fam si eons ras cum opero Xourmur opuscules ae meum fodito a domino Emery' easdem reperies sententias, eumdem dicendi modum di ed quisquis auctor fuerit, id eortum, ex ipso tenore, scriptas fuisse illas adnotationes, nondum soluto conventu anni l682. Habetur autem istud documentum in bibliotheca imperiali Parisiensi, Wlanges coiberti l Il, ubi textum quatuor articulorum immediate sequitur.
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elesiae Gallieanae decreta et libertates a m oribus nostris tanto gludio propugnat , .etc., et c'eSt fur cela qu'on a cru devotrsa ire les declarations sui vanieS.u Ce qu'on appelle liberi sis de Pialis' gallica ne consiste
principaleinent dans l'observation dii droit commvn, sondsesur I'ancienno discipline et Sur Ies canons des premiers conciles, selon l' ideo mgine qu'en donnent les auleurs si ancais qui ont trai te de cette mattere. l.e rate que l'assemblde timo igne ici pοur ces libertos deurati su risui parat ire li mainte-nir les provinces non siij ites h la rθgale dans leurs liberisis natu relles et canoni ques, et a s'opposer a Pusurpation desoniciers ro Iaux qui ont enlrepris de les en depouillernu preiudice d'un concite gδnerat, recit et aut orissi dans leroTaume depuis plus de quatre si ecles. α Il sallait encore temoigner ce rete en prenani la dδsensedo P liso de Panators, qui est depuis si longiemps dans une ex irpine oppression par l'emprison nemoni et la dispersiondes gran is vicaires et de lous les clianuines du chapitre, pari'entroprise schismatique de M l'archeveque de Toulouse, qui s est attribuli, contre lout droil, Padininistration de cello Eglise, durant la vacance dia si ege, et par rinfame arret dii Pariement de Toulouse qui a condanae a muri te P. Certes,run des graniis vica ires dia chapitre, et l'a sait exsiculer pu
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Lya holition dos conciles provinci aux, qui eSt un des plus grands maux de l' gli se . . les ent reprises continuelles des partem 'nis et des magistrais Sur PK life fous protex te des appelS comme d'abus ... silaient encore un obj et digne de .
royauine, et de celte Sorte iis ont consomnisi, aulant qu'il esten euae, culte importante assa ire, sans te consente ment et laparticipalion du Pape, quoique ce fuit certainomeni une des causes majeures doni ii est parte dans le droit, qui ne peu-
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vent et re terminees sans Paulorith du Saint-Sive, que SaSaintele en ait etsi salsi e par des appellations juridiques, et qu'elle r ait pris beaucoup de pari par les bress apostoliques... Il est clair que te Pape, dans ses bress, n'a sait que dessendreles droiis me me et la liberte des Eglisos de France, en pres-
greques aiens une en liὸre liberig. D'ailleurs, quand ces usis auis ne se trou vera leni pas dans la plupari, te clergsi do chaque province ne leur a doni si nul pota voir de laire une tello declaration au nom de toute PKglisc gallicane, et de demander au roi un edit qui en ordon ne la soli scription a diverses person nes, et contient encore plia Si eurs auli es clau-es qui n'δ-