Hortorum libri IV, et cultura hortensis

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viendra votis anno iacer les tems neb

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que urs bri sent tes nobi es ramea ux pours'en Dire des couronnes; ce ii est poliati'outrager; c'est te ni re uia honneur que tu merites. Mais' queis heureux champsoni uu naΤtre te Chἐne 3 Quelle est sapatrie 3 est-ce te Menale, te Ladon , les campagnes fertiles de la Chaonie 3 Cia lui doniae plusieurs origines; & toutessent de Pantiqui tela plus reculee. I 'HiL

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C u A N T II. II stetomberent inanimes sur te sein deIeur mere : to uchee de compassion poureux , elle les metamorphosis en arbres ;leurs corps devinrent des troncs eno mes; leurs bras temerat res se changerent en fierς rameaux : iis me nacent enco re

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& du Chine qui les appellent; l 'Atidie

pourra meme figurer decem ment avec

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II cou veri de

Myera , quon y trouve ausit des Gene-ν ners & force cidiaignierat Comme it vo us est utile de connalire es diverses manteres de planter les dissi, rentes es peces darbres, observea lesio ixque je V ais vo us presserire.

oriaement des Iarditis les plus riches;

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fertili te lCe fui rorme qui couvrit de son epais: seu illage, te celebre & matheureux O

desole se transporta fur te Mont Rho-

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iongs ramea ux s eleverent fierement vers

volt dexemple au triste Orphee;. to ut ueni bioti l avertir de ne potiat mepriser uia lien qui ne lai avolt ete que trop f neste; naris illat lotia sentendre ce triste Iangage; & to ut te reste de fa vie, it e ut

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informe.

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bi en tot, & rari , re en sera plus beau ; ilsera toujours distingue des a uires arbres qui peu plent les Foreis, a cause du caractere divin que tui imprima la predi- legion de Cibele : cet te Deesse i 'a niisso us se protection , depuis rinstant fatalou Pindifferent Atis , osant resu er de

tidicule vanite,

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111 L E s JAS. DINs, plus hautes Montagia es , les Aquilons furieux & les tri si es mades : aucun sol ne tui convient mi eux qti uia terre in leve ; il languit, it meuri dans rom-bre des Vallons. Pour les Coui iera, les Cornouiliars& les Freves sau vages, iis croissent, ca& la , dans les terres les plus arides; laculture leur est absolument inutile : les

loient des j burs pat sibi es fur te bord desctangs; iis se prome nolent fur te cristat

bro it la solemnite des Fctes de Pales,tous les Villages des enutrons gouiolent