Hortorum libri IV, et cultura hortensis

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leur coutume ordina ire, innocente ju

qualors, mais doni la Deecte ou trage eleur fit bientot uia crime , qu'el e nem an qua pas de punir avec la derniere rigue ur: iis se delasiolent de leurs tra-VauX ; couches mollement fur te bord

maiS : une ciernelle o i sive te les punit

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x 2 L E 3 J A RVINS,mais innocent: l' humidi te de leur sejourleur donn e uia epais seu illa ge , Dibi ede domina gement d'une forme infiniment plus heureus e t to ut respire en e uxta cratiate & la tristesse ; leurs se uilles , presque sans coloris, n'ont rien de bienslati eur; & pour combie d'ignominie , on preten d que te cri des grenouilles ennit continuellementia satyre.

tagnes escarpe es; & que les fers Sapins

ver les tem p te S. .

Lo F ne exige un sol fertile; il ne

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ero it heureus meiat queri rase cana pague ; cet arbre est devenu fame ux

phes cnarmantes pleuroient la mort fa- meu se & trop cmelle de leur ambitieux fiere ; elles fondolent en tarmes : to ura coup, elles disparaissent, & laissent voir a leur place , de leunes Pe Eers ,rorne ment des Foreis : les pleurs de ces Nymphes to uchantes coulent encore ;& l'ambre leur do it to ut son prix ; leurcoeur meritoit bien ce triste honiae ur. Que ces arbres occupent donc uiae placedistinguee dans les Bois que Vous plaΠ- te Z : mais tes terres Italiques soni leuru Eri table element; l'Eridan les fit naitre,

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leurs diverses plantations. Que te Pin,

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C A A N T II. I 27 14ε dans les belles Foreis du Royaumede Pont, ne tire poliat vanite du lieude fa naisi ance; qicit ne vante pas non plus rantiqui te de son es pece l je ne me suis poliat attache a decri reles vastes pepinieres de Pins de rancien Licee, nices Buis qui serpentent sur te Mont Ci-

reur pretendue qu'inspirent les noires Foreis du Mont-Ida, & la terreus que font epro uver celles de PErimanthe , Montagiae fame u se dans PArcadie: quel-ques belles que solent ces Foreis, elles soni pourtant inferi eures encore a celles qui embellissent la France ; elles S'cva- nouissent devant ces dernieres. Queique is p ourtant , lorsque les euilles du Hitre s'echarient tu bou-ton qui les reten olt enfermees, lors'u'elles commen cent a fournir rombrage Ioplus agreable , trem bie Z : uia vent pesti

l ὶ Le texte porte Citoriaeo de Vertice.

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dement au jeune se uillage ; les Sau- teretias , Ies Chenilles , les Cantharides se repandent an lo in dans la Foret, & disiatilent leur polson funeste fur respoirde la belle salson ; te regne vegetat est detruit ; on volt d'horribies fourmillieres s'amon Celer , se groupper , de mille manieres, sur les plantes les plus feres & les plus heureus es. Triste Cultiva te uri vetix-tu les preserver ξ detruitscet te peste qui tes menace, ou crains deIes voir germer avec Ies fruits de laterre; cratias qu'elle ne fonde avec tespluies du Prin rem S.

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ti euae certains , pour les divers planisd'arbres, en sorte qu au premier coup d'ceii, on en puisse distinguer respece &porter un prompt seco urs a celle qui sero it Ia plus endommagee. Quand uous aurea plante la Forer,& qtfelle aura de)a roarni de rombre ;que Votre premier solii soli la culture duJardita : transportea-y mille leunes ar bustes qui dolvent en e tre uia j our l'oria ement ; teis sont les Tilleati , les Misethes, les auriers , les LaurierS-Ros s , les citronniers & les C res dociles. Le Charme Sc le Ci res bor deront avecgrace te terre in propre a porter desse urς : le Charme aime a fuit dans les grandes alle es ν ii ai me encore a circulerdans les sentiers obliques ; sies faciles

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dctournos, des en fonce mens obscurS, Oudes ramea ux cpais λppellant les Zephirs, font o o uter au milieu des chaleurs de

I ordre plait avssi dans les Cipres, lors qui is soni tailles par une main habile ;mais on sera fur de les rendre agreabies,lors ti arranges sur uiae meme ligne, iis rem plironi l 'espace que uous leur assigne-

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Silva in aj te a sa douleur par ses repro-ches a mers. C'est a tors qu'il gemit so uste polds de sola matheuri: la terre estinonde e de ses tarmes ; sa propre exis te iace est uia tardeau qu'il ne pe ut plus supporter : tabele , to uchee de la dou-lear de ce jeu ne homine & de celleda vi ei lard, ac corda a ce dernier, de transformer Ciparisse en C res; long

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Que te flexibi e Philitias eo uure les

tante; ce lissu fra is, doux & brillant, varie quoique simple , ne te cederoitpoint a lpari sedulsam d'Arachne , a cesriches lapis , vanites des Palais ; qu'iloriae donc, qti ii embellisse les bos luersen chanies de Pomone & de Flore; qu'ilboit la volup te , les delices de leura

amans l