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CuANT III. I 7 3pirer a celui fit felle aime ; elles le con duissent dans te Palais du Dieu, conitruit de pierres-ponces; elles renga genta demearer parmi elles: & le jeune Hia Ias devient, mal gre lui , le Dieu d'uno Fontaine ; mais la tendre Isis 1 en est pas plus heureuse ; Hllas opposse te plus fio id mepsis a la fui eur de fa passion.
Volla ce qui fit chercher leg moTensd'em belli r nos Iardias, par Pelevation continuelle de ces Eaux bon illantes,
doni te j et brillant fati Peget te plus
agre able. I 'Art to ut-puissant a donne des fers a ces ondes errantes & tumul-
tueus es ; c' est dans leur impctuosite la
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parait sortir de ses valles en trailles: la,c' est uia Chasse ur qui semble poursu iure uiae innocente prole ; son geste an non ceUne mori certaine 3 mai S une Vatiae ondes'elance du Tube redo utable & va baigner i 'animal surpris: te spectate ur content rit de l'estet, & applaudit a I'idee.
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l 'Ocean, & des coquill ages de la merRouge ; on V petat conduire , an res, de limpides ruit se aux qui leur communi quent une douce fratcheur : d'autrestes composent de Pierres-Ponces; iis en pia solanent te ce intre avec des coquit-
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La variete dii jeu des Eaux provient de la diversite des equilibres , & dessi gures dimerentes que Pon donne auxTnbes : les uns forment des plutes ar tinctelles en fendant les canaux , en di ferems endro iis dae aut res imitent tes
nomme Caribde, en communiquant auxondes flexibies un tournoJement circu-
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ies ondes en liberte, de leur creus er differenis liis a travers les Campagnes, deles rectieillir dans des reservo irs sp acie ux; car, fans des prccavitans ausit sages,on tes pereroit in Dilli blement. Disons maintenant , quel fretia onpe ut donner a la rapidi te de ces ondes errantes & quel moyen on emplo te, po ur les distribuer en ruisseaux ξ quoi qu'elles obeillent dissicilement, quandelles sontaban donnes a toute beur liberte naturelle; l'Art vient a bout pourrant, de leur donner des loix , de leur decri ro
des routes a travers les terres; de tracer
des sinuosites in finies, te long des ael
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cet te onde, qui se promene amo ureu-
sument autour de vos arditas superbes,
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brages des Foreis. Que celui qui vo udra diriger la cotirle des eaux , a travers sesCampagnes, ait te so in nece sistre derep dre uia limon gras sur te lit qui dote les porter : si par matheur, te ruistseau vient a te qui iter , si tes Eaux de la
Comme il est plus agreable de don-
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Que leur doux murmure interrompe,
a peine te majestueux silence dea Foreis ,
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qu'eve illant dou cement les cchos, ilVous invite a uous reposer sur ses borcis. Et pendant que ces ondes , errantes pacini les fleuis, charmeroni Votre coeur& vos Teux, leur rapidi te uous peindra celle du tenas, & fera passer dans vo treeiprit des reflexions utiles sur l'inconstalance des choses tamaines, fur te flux& te reflux des senti mens du coeur de rhomme, cet e tre, to ut a la is si nobie
is couloille Fleuve du Simois ; c'est alia si is que la fratcheur des Eaux du Penee D embellisso it les valle es dclici Eufes dei, Tempe : aliasi la Scithie volt rouler tesis belles ondes de l'Hippanis, la Sicile , ,, celles du Fletive des Amarones ; telleo, etoit Ja rapidi te du Fleuve Lacedemo D nien , ou la tranquillite du Melanthe; teis et olent te Eoristhene δ: l'Acheloiis γ qui arro solent la Grece.