Hortorum libri IV, et cultura hortensis

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puissans vegetanx qui dispensent les om-bres, & les humbles plantes, & te do uxgazon , lit heureux des Amansi Vous qui

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En esset, qui ne stati, que la Loire napide , te Fleuve immense de la Ga-ronne, & la Seine Majestueu se, doniles: Eaux baignent de fertilissent les Pays. Francais qui ne stati que te Rhin, P eatit, te Rhone dcle Danube, qui porse

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Il en est, s & j'adopterois plus volon-rieri leur sentiment, J qui pretendentque les riviores di les Fleuves tirent Ie s

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Globe , penetrent par des e speces desoupiraux , jusqu'au sein de la terre, de meme que te sang qui s'echappe du

dela , dans des cavites plus spacteuses, percees travers les pores de la terre,& se glissanr par les sinuosites les plus

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Fleuves tirent leur origine de la mer , leurs Eaux ne soni po urtant poliat sale es Comme elle, parceque fit trant a traVerstant de montagnes & dero chers, obli-gees de faire de si longs circulis, elles ydepossent les seis qu'elles en trainolent

nent que de la qualite des terres par ouelles orat passe: dela vient qu'il y en a denuisibies & de salutatres; de ces dernieres, les plus renommces, sont les Eaux de Botirbon & celles de VicM a quelles Ia qualite du terrein a communique des sucs cap abies de guerir la plupari des maladies les plus dange reuses; to ut i Arddes Medecins ne scauroit imaginer de renae de plus effcace , & celu1-la, donu

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C a A N Υ ΙΓΙ. 11'Ist Ciel notis os e te favorabie us age, prouue bien tes tenties solias de la Providen ce des Dieux'. Pour Uous, que V Otre principale a tention soli de conduire, de la collinevolsine, un Ruisse au dans votre Jardin; car c'est de la colline volsine, quevous deveg chercher a te tirer: que lofer uous serve a sonder profondement&a fouiller les terres. Si par matheur, la nature du sol uousote i 'espoir ε, si vo us fouieveZ, ape ine, une glebe pes ante , tous vos essoris sero ient infructu eux; cesse Z de les prodiguer a cet te terre ingrate: J'ai vu des

ment des s urces d'Eau vive, implorerte Ciel, mais plus valia ement en Ore, Au pied des collines de Meudori , Viis volt uia homme, d'une opulence extraorin

dinaire, & qui posse doli des fonds de

terre immenses: te Monatque tui co

soli ses richesses: ce Cresius se disposeit

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la Ville : des Iarditas superbes & plantes

avec go ut, des Foreis majestueuses en-Viron nolent cet azyle de la fortune ;mais ronde manquo it a tant de beautes , te do ux murmure des Rui Teaux n'y flat

toti potnt l'ore ille delicate: notre Cresiusfait fouillet la terre; les Artistes les plus habiles president aux trauaux ; tous tessotias soni prodigues ; ror n'est pol ni Cpargne pour un objet si important & si de sire ; il sonde plusieurs terre ins; maist Eau ne les humecta jamais: it trembu mais il espere que 1'autres seront plus favorabies a ses voeux ardens ; ses songesmeme tui pres agent son boni eur; enfindes terres sioupconnees de re celer Pondo preci euse que ron poursuit , soni de- couvertes ; 6 combi en iactions de gracesil rendit avx Dieux l noubliea jamais rexemple qu'il vous ostre.

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Surtout, ne prodigue et pol ni Va inement les secret; de l'Art; il est at se de selaisser dccevoir par l'apparence du ter- retia: Volci des signes assures.