Hortorum libri IV, et cultura hortensis

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Mais, lorsque la salson propre po ur

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soni ncs dans le terre in , ii y faut enter des es peces qui leur solent e trangeres; telles que des Potriera, des Pommiers :les fruits en soni me ille urs & plus ab on-

avolt bes in & les apporta dans sesJarditas: elle scut meme les multiplier, en Lhangςant les estpeces de fruitsi &

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CHANTI V. 2I ssournit, par cet Art industrieux , les fictions les plus agre abies de la Fabie:

c' est d'elle que te Muraer a recu de nou-veaux destitas, de nouvelles cou eurs; dans le tenas ou rota vit, au pres des murailles de la Lime a se B ibilone , latriste avanture de I ranae dia de Thisbe, ces matheureus es victimes d'uia amouri qui leur e toti interdit par la lis ne deleurs parens. C'est la Fabie qui notis ainstruits ausit de la metamorphose dei'infortune e Phillis ; cette Princesse, impatiente d' attendre fur te rivage soncher Demophoon qui PaVoit abandon-nee, se pendit de desespoir , dc futchangee en uia Amandier qu'ola vitcro tre dans les Jarditas de son pere. C'est elle en fili, qui nous a appris que Bacchus a te premier deco uvert la V

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planta te premier, dans les Jarditas de sesperes, des cera fers qu'il avolt fait venit de la Ville de Zephano ') ὶ Commentie Mode fotarnit a Rome des Pommes , la Ville de Damas, des Prunes 8 Com

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quand it aura prepare t 'clite de sonje uiae plant , ii faut qu'il apprenno

a marier ces ramea ux adoptirs a destiges de dimerente natu e. It y a plus

on fend des pie ux en quatre, & fontdescendre bienavant, dans cet te sente , te sommet de la branche fertile. D'au- tres prati quant des feates, fur l'ecorcem eine entre d ux bourons, y incor,

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de fer, ' ens iacent leurs planis ; i s lestient avec de la filiasse , qui en fait sept

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Coignacter to ut es sortes de Potriers qui en prennent la couleur , quand it en est adopte : te Coin se prete volontiers adon ner sola gout au Pommier, & a cona- muni quer sis nature au S tuo; bien plus,

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Prtini et fati vage. Telles sont les experie iaces, qui se prati quoient autre o is, & que l'Art devenu frivole a Dit abaia- donner aux Jardinier, de nos jours. Les habitans de rAuvergiae grestentdes Pommiers sur des Saules , naris queique belle apparence qu'ayent les Potn-1nes qui y Viennent, elles degenerent;

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Cu AN et IV. a dirgre able, cache cependant so usta peaulamieux coloree & la plus trompe a se ;sembi able; au fari des fenantes qui n'est seu vent que te masque delatas deur. Il est tem; d' examiner, quelle est latemperature ou de l'air ou du sol, qui est te plus convenable o a te plus nul- si ble aux plantes 3 Le Pomm ιer se plait

dans une terre humi de , & a uiae chalear moderce ; si vo us te placea fur descollines & dans les pierres, te fruit ensera defectu eux , aura pei ne a te ni r al'arbre , & courra risque de tomber. Le

rier ne malaque pas d'air, si dans uneboniae exposition , it en tire u ne douce chaleur , eu recoli quel ques seco urs de rhumidi te de la terre , vo us Verre Z sesbranches se charger de fleurs, Sc ses fruits grossir au gre de vos lautiatis.

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njers soni plantes dans une terre cor-1ige e par la culture, & que, d'uia petit sillon , iis solent exposcs au plein soleti, te stic en sera lus abolidant , iis seront

rencontre uia iana de terre mediocrement chaud , la quantite de ses fruits