Aristippe ou de la cour. Par monsieur de Balzac

발행: 1658년

분량: 279페이지

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rara m

TROISIES ME.

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ARISTIPPE

bie, les reduisent a neant , a force delas subtilis er lis uaporent en sume laspius solides affaires. Dison que e sint de Heretiques 'Estat, qui vetilent fatre dans a Politique , e u Origenera ait dans a Religion Ils uiuent les Ombres, les mage des hos es , allieu de s attacher a cur corps Q leur realite Iis embrassent a Vra sena blance, parce qu iis ron pein te cmbelbe a leti mode uemais iis detienti Verite, a causeriu'essen est a de leur inuention uelle asonion lement en elle mes me. Ces eliseur se gurent que, par Out,

in a dia desieinin de la finesse , de quetoute les actions de homines soni medi-tees Ric ne leti passe deuant les eu ,

doni iis ne herclient essens mystique, i allegorique lis ne sarrestent amat a lalatire , es subtiis Interpretes de pens cesil autruy. t quan deu Princes s atta

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o V DE LACO UR. 6

autres Princes It soni des iugemens presiaque uni plaifans que ceux, qui dis ient a Athenes , quo ne se fau pas a la mort

tout expres. pour attrapa les Atheniens. On volt par e mauuai mo ius uoli

berte qu iis ne deuolent, a leurs coniectures, Dacicur solapsons Parce que Iunius Brutus contrefit e Sot , iis on ei de ladesfiance de tous es Sol Iis se sontigurea, que ous es lais imitotent Brutus; questa simplicit apparente stoli via artifice acheri que ceu qui ne s auolentrien dissimuloient cur science, que e silenc de ceu qui ne dis ient mot, Ou-uroit de dan percus es pens ces.

Cestoit opinion quavolt via PrinceRomain in certain Imbecille de son

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temps , que les Page sissiolent queperioniae ii estimoit que luy. L Histoire rap- porte qui en i prehendoit e vertus fe- creti es que te mes pris uniuerse de a Cour vingi u in t an d impertinen-ces Oifestes, o dites, ad face dii grandMonde , ne lauoiciat ii assure de cet

Du me me Principe de fausse subtilite , sontisces es Visions, que nostre homine trotaue si ingenteus es, qui me emblent si ridicules ue que les Ocheur admirent, que te ne uis fouiseir. En et endroit Aristippe adressant sta parole au deu Gentiishommes, qui res couiolent PenscZ-VOus, leti dit i , comme es Docteur subtiis,

qu Annibal ne oulti pas prendre Ome, de cur de nestre his utile a Carthage, de se voi oblige , par la, a fini la uer-re , qui auoi dessein de perpetiter 'vostre auis, Auguste choisit-i Tibere potirson Successeu , fila de se seire regretter, recher cher de a gloire pres a mori, par a comparaison Syne te, qui deuotc

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estre si differente de la siennes Votis imagine votis que e contei quoia trouua dans se Memoires , de metire des ornes a I Empire iust vescit et de son nute, contre a Pollari te inuolt it cur, qu Vniour via avtremonam iust plus grand Sei-gi cur que tu , S commandast a plus de Sulcis ast i cro able que te me me Au guste ne alibi l amoti , que par maxime distat, idio Oit les ames de Rome, qu pou apprendi e te secret de leur Maris o a fit deci apparence, que son amene se remitas que par eigle par com pas que outes ses actions iussent si guin dees, totas se vices si studiea' mon auis c est inire e Monde plus sin qu 1 n est C est interprete les Princes, comme quelque Grammatricias expliquent Homere mis orouuent e qui y est

pas accusent destre Philosophe

Aledecin , en des endrotis oti illa est queFais cur de contes de chansons Contenton nous queiqucfois dii sens litterat. Ne herchon pason acrement ous cliv

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o ARISTIPPE que syllabe sius chaque poliat. Nesoyon pas si indulgens a nostre sprit , nisi curielix, dans celu data truy. Illae aut pas alle queri sicloin a Verit , ni pren-dre es hos es de si aut Il ne aut pasrapporter a de cause reculces , d auxConsetis dii Siecte passe , de succe , uarriue fortuitement, o a qui ne legere occasion aura doniae lichi.

Les totques, qui, ontias Moulu, qάetne fuisse Tarbre se remuo, san or re particulier deia Prouident e ni que e Sage euasile dogi, fans conge de ia Philosophie me iu-geoientia plus uantageus ement de Dieu, sic de a Personiae plus proche de Dieu, que ces Rafineur presument dii Homnae, qui est soliuent molns que mediocres quin a que te quari, ou la mollie de a partieraisonnabies qui de salie ne songea a esse tre Sage , ni a s approche de Dieu. Illa ya polia demoyen, qutis justent leur opinion a nostre commune capacite His nepeuuent descendre usque a nous Dansle iugement quil son des hommes , iis

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ne euvent resupposier ne infirmite humatiae , est a dire, via principe derreurs de fautes one mala lic de la naisi ince, de laquelle Alexandre, Cesar ne sontpa exemptW via dcfaut qui traisne presso tant autres dei auis, en a Personiae de plus Parisiis encia conduitte de pliis Sages en celle de Salomon mesime, sit

jour produlis, par es grandes causes Lesressoris sont cache , cies machines pa-roissent quand ora vient a des cou-uri ces resibris , on festoniae de te voir

lia ut opinion qu on en uolt eue. Vne ia-lousit danaour entre dc personiae parti culieres , a ste a mallere , ne uerre

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sai , qui sy cx plustost quelle ne sy

arreste. Et neanimoins, in cite legere vapeu , c est et e nuce presque impercep-

tibi , qui exciter te fatales tempestesque les stat sentiront, qui branter te Monde, usquau fondemens On est ima mine autref is que cestolent les in terest de Maistres , qui mettolent en stutoutela Terre cestolent Iesiassion des Valets. Ie ne dolite potnt que leao de Perlene prist de pretexies tres specieux , Our iustifer se armes , quandrit in ei Grece que e Manifestes ne dissent merueilles de se intentions It ne anqua pasde retensions ni de rotis. I noublia

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toit avx euples viae ricli d abondante liberte , a lieti de leur maigre dc sterile seruitude I falsis sola dessein, en pluscursautres Di ons, citara , petit estre , que cedes sein tu auolt est inspire immediate-ment de Dicu immortet , d que e Solet en stoit e premier autheur. Cependant quelque Manifestes qu i fit vo ter , d quelque ouleur de Iusticeo de Religion qui donnast a son Entreprise, voic la verite decla chose. Vn Medecin re , domestique de a Reine, yant enui de reuol le Pori de Pyre es, de de mange de figue d Athenes , mi cette fantaine de guerre, dans lateste de a Maistresse , d la porta a seire re udre son Mary. Si bien que leRo de Rois , te uilsant redou table

Xerxes ne eua ne armce de trois cens mille Combattans , ne coupa les Monta-gnes , ne tarit les Riuieres, ne combia laliter , que our conduire via Charlatanen son ais Ilisae semble que e galant-

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molns defrais, en plus petite compagnie. Mais it me vient de ouueni , Mons ei-gneur,ta viae auire hos qui merite 'esse

ma .plais ante. lle arritia au Royatim de Macedoines, plus de quatre Vingis ans, deuant a naislance dii Boy Philippo autems' de ceti fameus Coniuration, cui dii Estat en fit dux , de qui partage laCour, es illes cies Familles. Ce ut a Femme de Meleagre, Ouuerneu dine Place frontiere , SI Genera des a Caualteri . qui cita son Maridans a reuolte certes poti via fori di

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